Le prétraitement de la vitrocéramique en vue d’un collage s’est pendant longtemps fait par l’application d’un acide fluorhydrique permettant de mordancer la phase vitreuse de la vitrocéramique, suivi par l’application d’un agent de couplage chimique : le silane. Une récente innovation (annoncée à l’IDS 2015) permet aujourd’hui de conditionner l’intrados des vitrocéramiques en une seule étape. Le Monobond Etch & Prime est le premier conditionneur monocomposant permettant de mordancer et de silaniser la céramique en une seule étape.
Selon Santéclair la plainte repose sur des arguments « totalement fallacieux »
Suite à la plainte déposée par la CNSD (Confédération nationale des syndicats dentaires) devant l’Autorité de la concurrence, Santéclair dénonce des accusations mensongères et propose un dialogue.
Dans un courrier recommandé adressé à Catherine Mojaïski, présidente de la CNSD, et dont une copie a été transmise à la presse, Marianne Binst, directrice de Santéclair, déclare que la plateforme « n’a jamais mené de politique de dénigrement des chirurgiens-dentistes par aucun moyen que ce soit » et que les accusations portées par le syndicat sont « particulièrement graves et mensongères. »
Alors que la CNSD affirme que, lors de l’envoi d’un devis questionnant sur la prise en charge, « le chirurgien-dentiste traitant est systématiquement critiqué sur ses honoraires pour détourner son patient vers un partenaire de Santéclair », Marianne Binst assure que la possibilité de bénéficier d’une diminution du reste à charge en se rendant chez un des 3 000 chirurgiens-dentistes-partenaires est expliquée « uniquement si le patient n’a pas entamé son plan de soin chez un dentiste traitant. » Elle rappelle par ailleurs que l’Autorité de la concurrence a rendu en février 2009 une décision de justice confirmée en appel puis en cassation, condamnant le Conseil national de l’ordre des chirurgiens-dentistes et cinq conseils départementaux pour pratiques de boycott vis-à-vis de Santéclair.
« Alors que le protocole CNSD – MGEN a été dans les faits le premier réseau de soin en dentaire, permettant aux adhérents de la MGEN d’être orientés vers les seuls signataires de cet accord, comment devons-nous interpréter votre action de dépôt de plainte contre le réseau Santéclair ? Sommes-nous devenus l’instrument des enjeux des élections professionnelles à venir ? » questionne la directrice de la plateforme, en soulignant que, contrairement à ce qu’affirme le syndicat, Santéclair n’a jamais été sollicité pour dialoguer. « Je vous renouvelle en revanche ma proposition de nous rencontrer pour évoquer l’immense problème d’accès aux soins dentaires pour les Français qui est notre seule préoccupation », conclut Marianne Binst.
source : http://www.opticien-presse.fr/2015/05/05/la-plainte-du-syndicat-dentaire-repose-sur-des-arguments-totalement-fallacieux-reagit-santeclair/…>> Lire l’article complet…
Link:
Selon Santéclair la plainte repose sur des arguments « totalement fallacieux »
Conflit Santéclair / chirurgiens-dentistes : perquisitions en série
Le conflit entre Santéclair et les chirurgiens-dentistes s’envenime de jour en jour. Suite à une action en justice menée par la plateforme, plusieurs perquisitions ont eu lieu simultanément cette semaine dans les locaux du Conseil national de l’Ordre des chirurgiens-dentistes, de plusieurs de ses Conseils départementaux et du syndicat FSDL.
Des perquisitions ont eu lieu mardi au Conseil national de l’Ordre des chirurgiens-dentistes à Paris et chez des représentants syndicaux, à la suite d’une plainte de la plate-forme mutualiste Santéclair, qui les accuse d’appel au boycott, a-t-on appris de sources concordantes.
Ces perquisitions ont été réalisées sur commission rogatoire du TGI de Paris à la demande de l’Autorité de la concurrence. Leur objectif : trouver des éventuelles preuves de boycott contre Santéclair, et éplucher dans ce but tous les e-mails, communiqués, échanges sur les réseaux sociaux et même SMS des praticiens. « Ils ont emporté avec eux près de 300 pages de documents », indique le journal Sud-Ouest à propos de la perquisition réalisée au Conseil départemental de l’Ordre des chirurgiens-dentistes de Dordogne.
La société reproche à la Fédération des syndicats dentaires libéraux (FSDL), l’un des principaux syndicats de la profession, et à certains conseils départementaux de l’Ordre d’appeler au boycott de ses réseaux de soins.
Elle les accuse notamment d’intimider ses praticiens partenaires en invitant leurs confrères à porter plainte contre eux auprès des conseils de l’Ordre, où ils seraient parfois menacés de sanctions.
« Plusieurs dizaines de dentistes » ont ainsi rompu leur partenariat avec Santéclair depuis l’année dernière et le début de cette « campagne de boycott », selon sa directrice générale Marianne Binst.
Selon une ordonnance du tribunal de grande instance datée du 5 mai 2015, consultée par l’AFP, des opérations de visite et de saisie ont été autorisées au conseil national de l’Ordre à Paris, aux conseils départementaux de Dordogne, d’Isère ou encore des Bouches-du-Rhône, ainsi qu’au cabinet du docteur Patrick Solera, président de la FDSL, comme dans plusieurs antennes régionales du syndicat.
Le président du FSDL n’était pas joignable dans l’immédiat. Christian Couzinou, le président de l’Ordre, s’est quant à lui dit « très étonné » par la perquisition visant son institution.
Une « surprise » partagée par Marianne Binst, selon qui le Conseil national de l’Ordre était plutôt resté en retrait dans l’affaire, à l’inverse de certains conseils départementaux, quand la FSDL y est bien représentée.
Cela fait des années que des conflits opposent la profession à la plate-forme mutualiste, elle-même accusée par certains dentistes de détourner leurs patients vers ses partenaires.
En 2009 déjà, l’Autorité de la concurrence avait condamné l’Ordre à 78.000 euros d’amende pour avoir incité les praticiens à boycotter un partenariat avec Santéclair. Une décision confirmée en 2011 par la Cour de cassation.
Santéclair est une société filiale de plusieurs organismes complémentaires d’assurance maladie (Allianz, MAAF-MMA, IPECA Prévoyance et la Mutuelle Générale de la Police) qui revendique 7.000 professionnels de santé (dont près de 3.000 dentistes) membres de ses réseaux.
Ces méthodes suscitent l’indignation de la profession. « S’agissait-il de rechercher de dangereux terroristes qui auraient pu trouver abri dans ces locaux professionnels ? S’agissait-il de rechercher des malfrats impliqués dans de louches trafics, d’armes ou de substances prohibées ? Non, la vérité est ailleurs et, comme souvent, elle est beaucoup plus simple. Les perquisitions lancées un peu partout sur commission rogatoire du TGI de Paris avaient pour but de rechercher des preuves : celles de notre résistance et de notre refus de collaborer aux réseaux fermés des complémentaires », explique notamment l’UJCD-Union dentaire. Le syndicat juge qu’un « tel déploiement de la machine judiciaire semble bien surprenant dans son ampleur tout autant que dans sa rapidité, et nombreux sont les justiciables qui apprécieraient que la justice montre autant de célérité pour tous les dossiers dont elle est chargée. Souhaitons que si la justice se montre rapide, elle ne devienne pas expéditive. Souhaitons qu’elle ne fasse pas fausse route et que ces procédures n’aient pas pour conséquence d’alimenter, une fois de plus, des critiques injustifiées à l’encontre de notre profession ! »…>> Lire l’article complet…
Credit –
Conflit Santéclair / chirurgiens-dentistes : perquisitions en série
Selon Santéclair la plainte repose sur des arguments "totalement fallacieux"
Suite à la plainte déposée par la CNSD (Confédération nationale des syndicats dentaires) devant l’Autorité de la concurrence, Santéclair dénonce des accusations mensongères et propose un dialogue.
Dans un courrier recommandé adressé à Catherine Mojaïski, présidente de la CNSD, et dont une copie a été transmise à la presse, Marianne Binst, directrice de Santéclair, déclare que la plateforme « n’a jamais mené de politique de dénigrement des chirurgiens-dentistes par aucun moyen que ce soit » et que les accusations portées par le syndicat sont « particulièrement graves et mensongères. »
Alors que la CNSD affirme que, lors de l’envoi d’un devis questionnant sur la prise en charge, « le chirurgien-dentiste traitant est systématiquement critiqué sur ses honoraires pour détourner son patient vers un partenaire de Santéclair », Marianne Binst assure que la possibilité de bénéficier d’une diminution du reste à charge en se rendant chez un des 3 000 chirurgiens-dentistes-partenaires est expliquée « uniquement si le patient n’a pas entamé son plan de soin chez un dentiste traitant. » Elle rappelle par ailleurs que l’Autorité de la concurrence a rendu en février 2009 une décision de justice confirmée en appel puis en cassation, condamnant le Conseil national de l’ordre des chirurgiens-dentistes et cinq conseils départementaux pour pratiques de boycott vis-à-vis de Santéclair.
« Alors que le protocole CNSD – MGEN a été dans les faits le premier réseau de soin en dentaire, permettant aux adhérents de la MGEN d’être orientés vers les seuls signataires de cet accord, comment devons-nous interpréter votre action de dépôt de plainte contre le réseau Santéclair ? Sommes-nous devenus l’instrument des enjeux des élections professionnelles à venir ? » questionne la directrice de la plateforme, en soulignant que, contrairement à ce qu’affirme le syndicat, Santéclair n’a jamais été sollicité pour dialoguer. « Je vous renouvelle en revanche ma proposition de nous rencontrer pour évoquer l’immense problème d’accès aux soins dentaires pour les Français qui est notre seule préoccupation », conclut Marianne Binst.
source : http://www.opticien-presse.fr/2015/05/05/la-plainte-du-syndicat-dentaire-repose-sur-des-arguments-totalement-fallacieux-reagit-santeclair/…>> Lire l’article complet…
Link:
Selon Santéclair la plainte repose sur des arguments "totalement fallacieux"
La CNSD porte plainte contre Santéclair
La Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD) a saisi l’autorité de la concurrence le 30 avril pour lui demander de condamner « les agissements » de Santéclair.
« Nous avons tenté la voie du dialogue », explique Catherine Mojaïsky en indiquant que malgré la charte de bonnes pratiques signée par les partenaires conventionnels depuis deux ans, « rien ne change et les remontées du terrain sont désespérées, des confrères perdent des patients ». Le syndicat reproche à Santéclair de pratiquer « une distorsion de concurrence ». Alors que la publicité est interdite aux chirurgiens-dentistes, la plateforme qui n’est pas assujettie à cette interdiction en « fait bénéficier les chirurgiens-dentistes de son réseau ». Le second grief de la CNSD concerne la manière d’analyser les devis. Santéclair « appelle les patients pour essayer de les orienter vers un praticien du réseau. Le seul critère de réorientation est le tarif. Ils n’ont aucun devis de comparaison mais affirment au patient qu’en allant chez un praticien du réseau, ils paieront moins cher. Mais il y a différents niveaux de qualité. Qu’est ce qui garantie que le travail sera identique ? », interroge la présidente de la CNSD.
http://www.cnsd.fr/services-a-outils/espace-presse/communiques/1314-la-cnsd-porte-plainte-contre-santeclair…>> Lire l’article complet…
Link to original:
Logiciels dentaires : Un tutoriel de formation en ligne pour les MacDentiste…
Paramétrer son logiciel dentaire pour le passage à la CCAM, parfois difficile à s’en sortir si rien n’est prévu à l’avance par les développeurs qui laissent parfois les utilisateurs gérer les menus à leur place afin de créer de nouveaux actes inexistants dans la liste… Et heureusement, il y a des tutos disponibles pour s’en sortir… Comment créer un acte inexistant dans MacDent ? comment effectuer un rapprochement de cet acte avec la codification CCAM. Comment insérer ce même acte sur le schéma dentaire et formater la FSE ?
Un petit tutoriel de formation continue réservé aux MacDentiste se trouve aux adresses suivantes :
http://www.macdent.fr/telechargements/liste/285
ou voir la vidéo sur Youtube
>>> https://youtu.be/Us30AvJl2Dk
Source: Dentruc
La publicité est autorisée pour les centres de santé.
Dans le cadre du projet de loi de santé adopté en première lecture à l’Assemblée nationale en avril dernier, un amendement du rapporteur de la loi, Richard Ferrand, autorise les centres de santé à « assurer » toute information sur leurs activités et leurs actions. En clair : la publicité est autorisée pour les centres de santé.
Au motif que les centres de santé ont une vocation « sociale » et constituent un levier de l’accès aux soins pour tous, le rapporteur de la loi à l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, a présenté un amendement sur les dispositifs de communication de ces centres. On veut croire que le député n’avait pas en tête les centres dentaires dits « low cost » lorsqu’il a présenté cet amendement. Centres low cost ou non, cette disposition crée un régime spécial pour ces établissements en matière d’information et installe une véritable distorsion de concurrence entre ces structures et les praticiens libéraux.
Que dit cet amendement ? Nous le reproduisons ici in extenso : « L’identification du lieu de soins à l’extérieur des centres de santé et l’information du public sur les activités et les actions de santé publique ou sociales mises en œuvre, sur les modalités et les conditions d’accès aux soins ainsi que sur le statut du gestionnaire, sont assurées par les centres de santé. » Ce texte signifie tout simplement que la communication du centre de santé relève de sa seule prérogative. Il dépasse de loin le format des plaques professionnelles (on devrait plutôt dire, désormais, les panneaux de signalisation) et peut se lire comme la possibilité d’« informer » le grand public par tout moyen que les centres jugeront bon de mettre en œuvre (sites Internet, réseaux sociaux, etc.).
Pour l’Ordre, cette disposition est inacceptable, mais elle n’est pas surprenante. Depuis des mois, les centres de santé et les centres low cost militaient pour « sortir » du cadre de la déontologie. Une concertation avait d’ailleurs eu lieu au ministère de la Santé avec l’Ordre, qui s’était opposé avec fermeté à une telle « libéralisation ». Le ministère de la Santé passe donc outre cette opposition. L’Ordre jettera toutes ses forces dans la bataille lors de la discussion au Sénat, puis en commission mixte, pour la suppression de cette mesure inique.
http://www.ordre-chirurgiens-dentistes.fr/actualites/annee-en-cours/actualites.html?tx_ttnews%5Btt_news%5D=536&cHash=4b954b5197fa6e6d390b30ed2b4dc30530/04/2015 …>> Lire l’article complet…
Visit source:
Empreinte optique avec Carestream : Protilab et propose la caméra CS3500 sans frais
Le laboratoire Protilab poursuit sa percée dans l’ère du numérique et propose d’équiper les cabinets du nouveau scanner intra-oralCS3500 sans frais ni engagement.Grâce à la technologie Carestream Dental,cette offre permet aux chirurgiens-dentistes,sous certaines conditions, de compenser les frais de location du scanner en confiant les empreintes numériques au laboratoire Protilab. Le nouveau scanner intra-oral CS3500 offre les atouts d’une solution compacte sans chariot, ergonomique, intuitive, rapide et simple d’utilisation. Sans poudrage, il permet d’acquérir les empreintes numériques avec un très haut niveau de précision. L’empreinte, une fois réalisée, est transférée en un clic au laboratoire Protilab via un espace internet personnalisé, Le tour est joué !Cette offre est également ouverte aux praticiens déjà équipés d’un scanner numérique….>> Lire l’article complet…
Read this article:
Carestream s’associe avec Protilab et propose la caméra CS3500 sans frais
Diagnostiquer le bruxisme nocturne avec un capteur électronique
Un dispositif intéressant pour diagnostiquer le bruxisme nocturne a été présenté à l’IDS 2015. Il s’agit d’un capteur piézo-électrique destiné à enregistrer l’activité des masséters pendant une période de 5 heures, nocturnes par exemple. Appliqué sur la joue, il enregistre les épisodes de contractions musculaires et restitue sur un affichage leur nombre au cours de la période observée. Nul doute qu’une version connectée du dispositif soit en cours d’élaboration: cela permettrait Il ne s’agit pas a proprement parler d’une nouveauté puisque ce dispositif a reçu le Médical Design Excellence Award en 2004.
http://www.up2dent.com/
…>> Lire l’article complet…
See the original post:
Diagnostiquer le bruxisme nocturne avec un capteur électronique
CFAO et usinage laser : Heraeus Kulzer s’associe avec Dental Wings
Le fabricant Dentaire Heraeus Kulzer, base à Hanau (Allemagne) et le spécialiste canadien du numérique, Dental Wings, ouvrent de nouvelles voies dans la fabrication par CFAO (CAD-CAM). Au salon “International Dental Show 2015” (IDS) à Cologne, les deux entreprises présenteront les résultats de leur coopération sur une nouvelle technologie d’usinage innovante, développée par Dental Wings: l’Usinage Laser (Laser Milling).
Ensemble, Dental Wings et Heraeus Kulzer distribueront cette nouvelle technologie de FAO (CAM) avec des matériaux Heraeus Kulzer spécialement dédiés, afin de révolutionner la production numérique de restaurations dentaires.
Ce partenariat réunit les années d’expertise d’Heraeus Kulzer en matériaux et le savoir-faire numérique de Dental Wings. Partout dans le monde, Heraeus Kulzer assiste les prothésistes dentaires et les chirurgiens-dentistes en leur fournissant des matériaux et des services utilisés pour les techniques numériques et les techniques conventionnelles.
La compétence fondamentale de Dental Wings se situe, elle, dans la technologie numérique appliquée au secteur dentaire, avec un portefeuille de produits qui inclut des solutions telles que des logiciels de prothèse assistée par ordinateur et des scanners 3D.
La nouvelle technologie place la production numérique de couronnes et de bridges à un nouveau niveau.
Le processus sous-jacent est l’ablation laser : au sein d’un processus 3D en circuit fermé et d’un contrôle qualité intégré, le laser “usine” le matériau. C’est pourquoi cette technologie se nomme “Usinage Laser”(Laser Milling). Les matériaux dentaires contenant les tout derniers types de composites, mais aussi des blocs de zircone et de céramique peuvent être utilisés.
« Les utilisateurs veulent produire des restaurations dentaires durables de façon efficace et flexible. Ceci nécessite que nous intégrions étroitement des matériaux de haute qualité et des technologies modernes.
« Avec Dental Wings, nous avons un partenaire compétent pour cette nouvelle technologie d’usinage, qui partage notre volonté d’avoir une longueur d’avance », explique le Dr. Martin Haase, Directeur Général de Heraeus Kulzer GmbH . Novica Savic, Directeur de la Division Dental Materials (matériaux dentaires) chez Heraeus Kulzer, ajoute : « L’usinage laser offre des opportunités intéressantes de fournir aux patients des restaurations dentaires efficientes et fiables.
Mais même dans le domaine de la prothèse dentaire numérique moderne, la base d’une restauration de haute qualité demeure des matériaux adaptés aux besoins des technologies dentaires.
Notre métier c’est de fournir ces solutions. » Mike Rynerson, Président de Dental Wings, explique : “L’expression “changement de paradigme” est véritablement appropriée pour évoquer l’Usinage Laser de Dental Wings.
Cette technologie a le potentiel de réécrire les règles de la production de restaurations dentaires. Avec Heraeus Kulzer nous avons à nos côtés un spécialiste expérimenté des matériaux, qui a su conduire la restauration dentaire et technique, depuis des décennies, avec des matériaux innovants et fiables. C’est uniquement avec des matériaux convenant parfaitement à la technologie d’usinage laser que nous pouvons exploiter totalement le potentiel de cette technologie pour les applications dentaires.”
Focalisés sur les demandes des utilisateurs Heraeus Kulzer et Dental Wings présentent les possibilités de cette technologie révolutionnaire au salon IDS, à Cologne. Dans le “Future Corner” (“coin du futur”) du stand Heraeus Kulzer, les développeurs discuteront des champs d’application et des besoins avec les utilisateurs.
Les partenaires de cette coopération travaillent actuellement ensemble pour optimiser la technologie et les matériaux. La machine d’usinage laser et les matériaux correspondants devraient être disponibles à la vente au premier semestre 2016….>> Lire l’article complet…
Credit:
CFAO et usinage laser : Heraeus Kulzer s’associe avec Dental Wings
Santé Dentaire connectée, un univers à conquérir !
Les objets de santé connectés (15 milliards à travers la planète) sont munis de capteurs qui mesurent des paramètres du corps (poids, fréquence cardiaque, pression artérielle, etc.). Les informations ainsi relevées sont transmises à une application sur smartphone ou à un service web spécifique pour y être stockées et analysées. Pour l’IFOF, près de 6 millions de Français sont équipés d’objets connectés permettant de suivre leur santé.
Dans un livre blanc sur les enjeux de la santé connectée, le Conseil national de l’Ordre des médecins témoigne de son enthousiasme et engage les professionnels à accompagner cette numérisation appliquée à la santé, tout en en soulevant les risques.
On recense aujourd’hui trois grandes catégories sur un marché qui devrait à terme se développer sur l’hypertension artérielle, les infections respiratoires, l’insuffisance rénale ou encore le diabète.
• Le bien-être… Ces objets connectés, destinés principalement au grand public, montres, bracelets, fourchettes, podomètres, pèse-personne, piluliers, et autres applis répondent parfaitement à la demande. Ils délivrent
des informations dont on n’a parfois même pas conscience, et nous permettent de savoir précisément comment se comporte notre corps. Ils tirent bénéfice des nombreuses fonctionnalités du smartphone et analysent le poids, le sommeil, le rythme cardiaque, le nombre de pas ou encore le grain de beauté de l’utilisateur…
• L’aide au diagnostic. Ces applications offrent au professionnel de santé des infos médicales utiles dans le cadre de sa formation continue.
• La relation directe entre un praticien et son patient Le suivi d’une pathologie souvent chronique est possible : glucomètre, tensiomètre, pompe à insuline ou autres appareils médicalisés connectés.
La profession dentaire soutient cette initiative, mais regrette que le nombre d’applications et d’objets connectés créés pour elle soit, à ce jour, si faible.
Le Dr Bouteille vice président du conseil national de l’Ordre des Dentistes s’est exprimé sur le développement des technologies de « santé connectée » dans le domaine.
« Le livre blanc du CNOM est un document exhaustif excellent sur l’état actuel de la santé connectée. Il a le mérite de poser les bons problèmes. Les applications connectées, qui seront considérées comme des dispositifs médicaux, devront répondre à des critères de qualité et être soumis à une recommandation ou à un label. Concernant le monde dentaire, force est de constater qu’en dehors de la brosse à dents connectée les applications mobiles à destination des chirurgiens-dentistes sont quasi inexistantes à ce jour. »
De 6000, le volume mondial des applications mobiles portant sur la santé (au sens large) est passé à 20000 en 2012 et à 100 000 en 2013. Les objets connectés (montres, tensiomètres, balances, bracelets, piluliers) sont eux aussi en pleine expansion. Dans ce contexte, le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) publie un livre blanc sur la santé connectée.
Un encouragement au déploiement numérique
Ce livre blanc encourage les professionnels à accompagner le déploiement du monde numérique appliqué à la santé et suggère même que certains outils (suivi de pathologie et d’aide au diagnostic) soient remboursés par la Sécurité sociale.
« Je suis très favorable à la position prise par le CNOM, qui reconnaît la nécessité de se pencher de manière précise sur la question de la e-santé, annonce Paul Cattanéo, chirurgien-dentiste à Paris. Le fait qu’ils aient bien différencié les objets connectés relatifs au bien-être, au suivi médical et à la consultation me parait pertinent et important »
Dans son livre blanc, le CNOM formule six recommandations, parmi lesquelles la nécessité de promouvoir une régulation adaptée, graduée et européenne.
« Les réserves et les interrogations que ce phénomène soulève sont justifiées et très intéressantes, notamment au sujet de la protection des données – qui peuvent servir aux praticiens, mais aussi aux banques de données ou aux assurances »,
commente Paul Cattanéo. Le CNOM préconise que les outils fassent l’objet d’une déclaration de conformité à un certain nombre de standards : la confidentialité et la protection des données recueillies, la sécurité informatique, logicielle et matérielle, et la sûreté sanitaire.
Les applications connectées dans le secteur dentaire « Les applications et les objets connectés représentent un vrai plus pour le patient, analyse Paul Cattanéo. Ils favorisent son autonomie, le sensibilisent davantage et, si besoin, alertent le praticien. Pour ce dernier, ces outils sont synonymes de gain de temps et de performance ainsi que de meilleur suivi. » La profession dentaire commence à être gagnée par le phénomène, avec notamment la brosse à dents électrique connectée par Bluetooth, qui évalue la qualité du brossage, repère les endroits mal brossés et établit éventuellement une communication avec le chirurgien-dentiste.
Les applications connectées qui seront considérées comme des dispositifs médicaux devront répondre à des critères de qualité
L’hygiène bucco-dentaire en est considérablement améliorée. Certains dispositifs innovants, comme la consultation à distance adoptée pour les populations de Montpellier ayant des difficultés de mobilité (personnes âgées, détenus), se mettent également en place. Le principe ; une infirmière équipée d’une caméra intrabuccale photographie les dents du patient; les données sont envoyées à un centre réfèrent qui décidera s’il est nécessaire de faire déplacer le patient ou pas.
« On voit apparaître également des objets connectés qui permettent de gérer à distance la stérilisation, ajoute Paul Cattanéo. J’ai aussi entendu parler d’un projet destiné è assurer la maintenance des fauteuils dentaires. Mais, en dehors de cela, très peu d’objets connectés sont adaptés à la santé dentaire- La balle est dans le camp des start-up et de la profession. Nous sommes au début du processus. »
Source : ADF Infos Avril 2015 – ID Avril 2015
Vers des dents connectées? Nos dents intégreront la technologie Bluetooth
Le projet des chercheurs à l’Université de Taïwan consiste à développer une dent artificielle qui, au lieu de recevoir des informations, transmettrait via un émetteur Bluetooth des données afin de surveiller ce qui se passe dans la bouche ou raconter à un médecin les habitudes buccales.
Pouvant être considéré comme une véritable innovation dans le secteur, le capteur de dent s’adapte à une dent artificielle et est équipé d’un accéléromètre tri-axial. C’est grâce à ce dernier que les mouvements de la bouche sont surveillés tandis que les informations transmises via Bluetooth au smartphone permettent de réaliser un diagnostic plus concret et plus précis.
Au lieu donc d’intégrer un émetteur radio dans la dent artificielle comme c’est le cas dans les films de James Bond, ce concept utilise une mini carte électronique recouverte de résine dentaire. Ainsi, la dent offre une meilleure étanchéité à la salive tandis que la petite puce peut facilement être insérée avec un ciment spécial lors des soins dentaires. Pour éviter que le câble sorte de la bouche, un câble qui sort de la bouche assure la fonction « émetteur ». Ce qui permet au sujet de ne pas avaler l’appareil si jamais il se détache.
Pour tester le projet, huit individus dont trois femmes et quatre hommes ont chacun reçu un capteur installé au niveau de leur bouche ou plus précisément dans une dent artificielle. Ces sujets étaient ensuite invités à réaliser une série de tâches telles que mâcher du chewing gum, tousser, boire de l’eau mais aussi lire à haute voix. A la fin de ces tests, les chercheurs ont conclu que le capteur a été capable d’identifier correctement chaque activité orale et ce, avec un taux de réussite d’une moyenne de 93,8% grâce aux données de l’ensemble des sujets.
Actuellement, l’équipe de l’Université Nationale de Taïwan est entrain de se pencher sur un autre prototype plus intéressant qui consiste à transmettre les données via la technologie sans fil et qui sera alimenté par le biais d’une batterie rechargeable. Ensuite, il ne restera plus qu’à apporter des améliorations sur le système et notamment sur les problèmes de sécurité qui peuvent y être liés.
http://www.homo-connecticus.com/e-sante-1956/vers-des-dents-connectees-bientot-nos-dents-integreront-la-technologie-bluetooth-a35109.htm…>> Lire l’article complet…
Source article:
Vers des dents connectées? Nos dents intégreront la technologie Buetooth
Assistantes dentaires, les grandes gagnantes de la loi santé
La loi de santé qui vient d’être adoptée à l’Assemblée propose de consacrer aux assistantes dentaires un nouvel article du Code de la santé publique.
Quels seront les avantages d’une inscription au CSP? D’abord la possibilité de créer des passerelles aujourd’hui inexistantes entre cabinets libéraux, hôpitaux, centres de santé, mais aussi établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) ou structures d’accueil pour handicapés. Car l’inscription au CSP, cela veut dire obtenir un diplôme unique reconnu par l’État et donc valable en toutes circonstances. Cette reconnaissance officielle est une vraie sécurité juridique. Elle entraînera une revalorisation du métier et probablement la mise en place de délégations de tâches, la possibilité de « faire carrière » avec des évolutions de postes et, peut-être, à terme, la création du fameux métier d’hygiéniste tant réclamé. Pourtant, le plus dur commence. L’inscription au CSP est un préalable indispensable, mais tout reste à faire. « Après le
vote, tous les représentants des assistantes dentaires, les centres de formation devront se réunir, négocier, avec les chirurgiens-dentistes, syndicats, Ordre, université, pour construire la profession et écrire les décrets d’application de la loi », souligne Dominique Munoz présidente de l’Union Française des Assistantes Dentaires (UFAD),. Un travail de longue haleine. Il faudra définir les conditions de formation, les tâches dévolues, les spécialités accessibles et leurs
formations (endo, ortho, pédo…), les nouveaux postes, par exemple la présence d’assistantes dentaires dans les services longs séjours des hôpitaux ou dans les écoles pour faire de la prévention, refondre des grilles de salaires, etc…
Source : L’INFORMATION DENTAIRE n° 15/16 – 22 avril 2015
View the original here:
Assistantes dentaires, les grandes gagnantes de la loi santé
La loi santé est un piège qui est en train de se refermer sur les Français.
La guerre a été déclarée par Hollande et ses lieutenants, on comprend mieux pourquoi tout dialogue est impossible. La loi santé est un piège qui est en train de se refermer sur les Français.
Depuis maintenant près d’un an, les médecins libéraux, généralistes, spécialistes tentent en vain d’informer la population. Marisol Touraine et le Parti socialiste veulent tuer la médecine libérale actuelle, et il n’y a aucun relais des médias sauf à dire que les médecins sont des nantis qui profitent du système.
La loi santé a été présentée à l’Assemblée en procédure accélérée, c’est-à-dire sans le concours de la démocratie, elle est en ce moment au Sénat et les socialistes espèrent bien la faire passer avant l’été. Pourquoi cet acharnement ? Pourquoi cette précipitation ? Pourquoi les médecins ne sont-ils pas entendus ?
On a voulu faire croire que seul le tiers payant généralisé était refusé par les médecins. C’est faux : bien d’autres articles de la loi sont aussi dangereux pour les patients mais le gouvernement ment et désinforme en continu. Sauf qu’une tête pensante socialiste, professeur d’économie à l’université Paris IX-Dauphine, membre de la MGEN et surtout personne influente dans le think tank socialiste Terra Nova a vendu la mèche. Au cours d’une émission sur la loi santé à France Culture, Brigitte Dormont (pour la citer) s’est fait prendre à son propre jeu de la pensée unique. Elle a affirmé : « Cette loi santé, c’est la mort annoncée de la médecine libérale et c’est une bonne chose. » Sur le tiers payant : « L’intérêt principal est qu’il rend les médecins dépendants du financeur… Si l’assurance maladie veut faire pression sur les médecins, elle en aura la possibilité. » Enfin : « Les médecins recevront leur rémunération de l’assurance maladie et des mutuelles », ajoutant : « Ils dépendront pour leur niveau de vie du financier. »
Cet aveu, terrible pour la santé en France, n’a bien sûr été repris par personne dans les médias, ils auraient trop peur d’ouvrir les yeux des patients. Les médecins se battent pour tenter de garder un minimum de niveau de vie effectivement, mais leur combat est bien autre chose. Ils informent sans être entendus que les circuits de soins seront organisés et les patients n’auront plus le choix de leur médecin. Ils affirment, à juste titre, que le secret médical est mort : les fichiers seront communiqués à toutes les assurances, entre autres. Ils disent que les socialistes ne rêvent que d’une chose, une médecine à la botte, des patients qui seront fichés, triés, dirigés vers où bon leur semble. France Culture ne pensait pas, en faisant cette émission élitiste sur la loi tant décriée, qu’elle jetterait ce pavé dans la mare.
Il est évident, maintenant, que le pot aux roses est découvert. La Sécurité sociale est morte, elle plombe le pays, les médecins sont dans un piège infernal qui consiste soit à obéir aveuglément à l’État et faire une médecine de pauvres avec des pauvres, ou se révolter et continuer à exercer leur art sans se soucier de l’État, continuer à faire de la bonne médecine, prescrire les médicaments nécessaires. Les patients, eux, devront se débrouiller avec ceux qui les assurent. Les médecins sont au bout de leur combat pour défendre notre système de soins, je crois bien qu’ils ont perdu.
La guerre a été déclarée par Hollande et ses lieutenants, on comprend mieux pourquoi tout dialogue est impossible. La loi santé est un piège qui est en train de se refermer sur les Français, l’État donne la santé aux assurances privées sans le dire, il veut nationaliser les médecins sans le dire. Les organisations de médecins avaient prévenu : nous sommes maintenant tous partie prenante du problème. La résistance est organisée, les cabinets médicaux se défendront, quitte a tous se déconventionner – il en est question.
Auteur : Patrick Crasnier…>> Lire l’article complet…
Source:
La loi santé est un piège qui est en train de se refermer sur les Français.
Cluj, le malaise des étudiants français
Que se passe-t-il parmi les étudiants français en médecine de l’université de Cluj-Napoca, en Roumanie ? En quatre semaines, entre début mars et début avril, la petite communauté de ces jeunes expatriés a été frappée par deux suicides et deux tentatives de suicide d’étudiantes. Un terrible enchaînement qui révèle un profond malaise, si l’on en croit certaines familles et les autorités françaises. Les quatre jeunes femmes étaient en effet toutes inscrites dans cette université roumaine devenue célèbre ces dernières années pour offrir une nouvelle chance aux Français ayant échoué en première année de médecine.
Le quotidien explique qu’« en échange de frais d’inscriptions de 5.000 € par an, ils sont près de 500 à espérer obtenir un diplôme roumain valable en France dans cette ville de 300.000 habitants, située à 450 kilomètres au nord-ouest de Bucarest, où des cours de médecine sont dispensés en français. En comptant les étudiants en pharmacie, en odontologie et en médecine vétérinaire, Cluj dénombre plus de 1.000
étudiants venus de France ».
Le Monde cite le père de Margaux Baudin, 24 ans, qui s’est pendue le 3 mars, pour qui « il ne fait aucun doute que sa fille «a pété les plombs» en raison de son surmenage ». Celui-ci déclare : « Elle nous a laissé une lettre dans laquelle elle explique qu’elle préfère vivre ailleurs que survivre ici et qu’elle ne voyait pas comment elle pourrait arriver à devenir médecin ».
Le journal note que selon Rémi Baudin, lorsqu’il est allé récupérer la dépouille de sa fille, les étudiants français « exprimaient la frustration de travailler intensément loin de leur famille malgré un avenir incertain, en raison des difficultés de la communauté médicale française à accepter ces étudiants qui contournent le numerus clausus ».
Rémi Baudin indique ainsi : « Margaux dit dans son message qu’elle a senti un rejet de l’Etat français ».
Le Monde relève que « cette vague d’actes suicidaires a fini par inquiéter la direction de l’université de Cluj, qui a mis en place une cellule psychologue le 27 mars, mais celle-ci assure «qu’aucun lien n’a pu être établi avec le processus éducatif ou la situation scolaire : les causes en semblent être de nature personnelle» ».
Le journal explique que « les étudiantes qui sont passées à l’acte étaient toutes en fin de cycle […] et espéraient pouvoir passer l’examen classant national (ECN) afin de retourner faire leur internat en France ».
Le quotidien souligne que « les conditions de préparation de cet examen ne sont pas les mêmes qu’en France. Les étudiants doivent suivre le cursus normal de Roumanie, tout en préparant l’examen français le soir. Ils n’ont pas non plus accès à la plate-forme numérique de préparation, réservée aux étudiants des universités françaises ».
« Les résultats des premiers étudiants arrivés au bout de leur cycle d’études en 2013 et 2014 se sont révélés médiocres : le premier étudiant issu de Cluj est arrivé 4505ème sur plus de 8000 candidats. Or ce classement est crucial, car il permet ensuite de choisir sa spécialité », rappelle Le Monde.
Le quotidien observe qu’« une ligne d’écoute a été mise en place par une cinquantaine d’étudiants volontaires. […] De son côté, l’ambassade de France à Bucarest fait tout pour convaincre le ministère de l’Enseignement supérieur de faciliter le retour en France de ces étudiants pour leur internat ».
http://www.lemonde.fr/societe/article/2015/04/25/a-cluj-le-malaise-des-etudiants-en-medecine-francais_4622609_3224.html…>> Lire l’article complet…
View this article: