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CCAM / Prise en charge des implants sous une prothèse implanto-stabilisée

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Une prothèse complète mandibulaire résine implanto-stabilisée (avec 2 implants sur 33 et 43 et attachements type bouton-pression) ne sera plus remboursable en CCAM. En effet, le code HBLD118 « pose d’une prothèse amovible supraimplantaire complète unimaxillaire à plaque base résine » comporte une note de facturation mentionnant uniquement une prise en charge liée au traitement des agénésies dentaires multiples liées à une maladie rare ou aux séquelles de tumeurs de la cavité buccale ou des maxillaires. Ce qui rend « NR » la réalisation de cet acte surun patient « lambda » pour qui cet acte est médicalement justifié et que son édentement remplit les conditions prévues au 07 02 03 03 « au moins une dent absente ». Quelle est la conduite à tenir : A/ Codage HBLD118 mais acte NR car ne remplissant pas les conditions de la note de facturation ? B / Utilisation d’un autre code CCAM en ne tenant pas compte de la notion de prothèse implanto-stablilisée? Les mêmes questions se posent pour les autres prothèses implanto-stabilisées décrites en CCAM

REPONSE : On peut prendre en charge les prothèses amoviblesimplanto stabilisées pour les patients qui ne sont pas traités pour agénésies multiples ou séquelles d’un cancer de la cavité buccale. Les implants et les attachements ne sont pas pris en charge.
Le praticien code la prothèse amovible selon le nombre de dents remplacées (en général une prothèse complète / exemple : HBLD031)

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Prise en charge des implants sous une prothèse implanto-stabilisée

CCAM : comment côter une prothèse amovible implanto-stabilisée ?

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Pourriez-vous nous indiquer le raisonnement à suivre pour être logique à la fois avec la CCAM et les données acquises de la science concernant de la prothèse amovible implanto-stabilisée. En effet une conférence de consensus internationale décrit la prothèse complète mandibulaire implanto-stabilisée sur 2 implants au niveau canin comme étant la technique de référence. Si cet acte techniquement conforme est réalisé sur un patient ne relevant pas d’une agénésie / maladie rare ou de séquelle de cancer il n’y aurait pas de remboursement vu la note de facturation existante. Est-il envisagé de modifier la note de facturation ? Faut-il utiliser un autre code de description des actes ?

REPONSE : Hors agénésies et cancer les implants ne sont pas pris en charge même s’ils servent à stabiliser une prothèse amovible

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CCAM : les réponses de la CPAM / les attachements sont ils toujours NPC ?

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Réalisation d’une prothèse totale unimaxillaire stabilisée par 2 attachements sur 2 implants : le praticien code HBLD031 pour la prothèse totale unimaxillaire et les 2 implants et les 2 attachements sont NPC ? Le code HBLD118 répondrait mieux à l’acte réalisé, mais il n’est remboursable par l’AMO que dans le traitement implantoprothétique des agénésies dentaires multiples liées à une maladie rare

REPONSE :
Pour les patients qui ne présentent pas d’agénésies dentaires multiples ou des séquelles d’une tumeur de la cavité buccale ou des maxillaires, on utilise le code HBLD031 pour la prothèse complète.

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CCAM : les réponses de la CPAM / les attachements sont ils toujours NPC ?

CCAM : les réponses de la CPAM / comment côter une PAC implanto-stabilisée ?

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Prothèse complète mandibulaire implanto-stabilisée– Une conférence de consensus internationale décrit la prothèse complète mandibulaire implanto-stabilisée sur 2 implants au niveau canin comme étant la technique de référence. Si cet acte techniquement conforme est réalisé sur un patient ne relevant pas d’agénésies dentaires multiples liées à une maladie rare ou de séquelle d’une tumeur de la cavité buccale ou des maxillaires, il n’y a pas de remboursement pour la pose des 2 implants compte tenu de la note de facturation. Est-il envisagé de modifier la note
de facturation ?

REPONSE : Les implants et les attachements ne sont pas pris en charge sauf pour agénésies et séquelles d’une tumeur de la cavité buccale, les prothèses amovibles implanto stabilisées le sont quels que soient les cas,

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CCAM : les réponses de la CPAM / comment côter une PAC implanto-stabilisée ?

CCAM / comment côter une PAC sur attachements ?

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Comment coder une prothèse amovible définitive complète unimaxillaire à plaque base résine stabilisée par une barre de conjonction ou à l’aide d’attachements ?

En dehors des cas d’agénésies multiples liées à une maladie rare et des séquelles
d’un cancer de la cavité buccale
1. Prothèse amovible complète implantostabilisée àl’aide d’une barre de
conjonction posée sur 2 implants :
pose de 2 implants : LBLD010 en NPC
pose d’une barre de conjonction entre les 2 implants : LBLD034 en NPC
pose d’une prothèse amovible complète HBLD031 prise en charge en AMO.
2. Prothèse amovible complète stabilisée à l’aide de 2 attachements dentoportés :
pose de 2 attachements : HBLD008 x 2 en NPC
pose d’une prothèse amovible complète HBLD031 prise en charge en AMO

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CCAM / comment côter une PAC sur attachements ?

CCAM / les conseils de la CPAM : noter la localisation des dents remplacées

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Comment noter la localisation des dents remplacées par une prothèse dentaire amovible

REPONSE : Il est recommandé d’être le plus précis possible sur la localisation de l’acte prothétique avec la possibilité d’utiliser les numéros de dents, de quadrants, de sextants ou des arcades.
Exemples :
– remplacement de 11, 12, 21 et 22 : le praticien inscrit le numéro des 4 dents.
– remplacement de 11, 12, 13, 21, 22 et 23 : le praticien peut inscrire le numéro du sextant, 04 en l’occurrence.
– prothèse complète au maxillaire : le praticien inscrit 01 sur la ligne localisation.
– remplacement des dents 14, 15, 13, 12, 11, 21, 22 et 23 : le praticien indique en localisation 04, 14 et 15

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CCAM / les conseils de la CPAM : noter la localisation des dents remplacées

CCAM / les conseils de la CPAM : la PPA chez l'enfant

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Comment coder et facturer une prothèse dentaire amovible pédodontique chez un enfant ?

REPONSE : La prothèse dentaire amovible pédodontique peut être codée et facturée dans le cas
d’agénésies multiples liées à une maladie rare

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CCAM / les conseils de la CPAM : la PPA chez l'enfant

CCAM / les conseils de la CPAM : la PPA chez l’enfant

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Comment coder et facturer une prothèse dentaire amovible pédodontique chez un enfant ?

REPONSE : La prothèse dentaire amovible pédodontique peut être codée et facturée dans le cas
d’agénésies multiples liées à une maladie rare

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ADF 2014 : l’Esthétique en Odontologie (Vidéo Interview de Marie-Violaine Berteretche)

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Vidéo de l’interview de Marie-Violaine Berteretche à l’occasion du congrès de l’ADF2014 à propos de son livre « Esthétique En Odontologie » .L’esthétique constitue à l’heure actuelle une préoccupation majeure en Odontologie. C’est, en effet, une attente, voire une demande des patients, quel que soit leur âge, quelle que soit la réhabilitation orale concernée.


#ADF 2014 : [Web TV] Esthétique En Odontologie…

Ils fabriquent les seules brosses à dents made in France

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Un drapeau bleu blanc rouge bien en évidence. Les brosses à dents Bioseptyl affichent fièrement leur origine française. Fabriquées en partie à La Ferté-Bernard, dans les ateliers de BVI, elles sont aussi les seules et uniques à être faites dans l’hexagone.
« Le « made in France » est un argument auquel les gens sont de plus en plus sensibles, on sauvegarde les emplois et on n’est pas plus chers que les produits chinois », soulignent Yannick et Xavier Bouglé, originaires de Bellême, dans l’Orne, et cogérants de (…)

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Ils fabriquent les seules brosses à dents made in France

Revenus: les prothésistes dentaires dans le top 5

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L’enquête annuelle de la Fédération des centres de gestion agréés (FCGA) dresse fin octobre le classement des rémunérations des petits commerçants. Le résultat courant moyen brut, c’est-à-dire avant prise en compte des cotisations sociales dues parle chef d’entreprise, s’élève à 49000 € pour l’ensemble des petits commerçants. Le top cinq des meilleures rémunérations se compose des pharmaciens (181900 €), devant les opticiens (88500 €), les ambulanciers (et taxi ambulanciers) (76300 €), puis les prothésistes dentaires (67000 €) et les tabac-journaux (60 600 €).

Source ID 41 42 26 novembre 2014

L’utilisation de la digue prouvée par une étude scientifique Taïwannaise

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L’ensemble des autorités professionnelles (HAS 2008, ESE 2006, AAE 2010) souligne l’absolue nécessité de la pose d’un champ opératoire avant toute manœuvre endodontique. Or, les praticiens français seraient encore moins de 30 % à recourira son utilisation systématique (Bouquard, 2013).
Les auteurs Caroline Trocmé, Marielle Glikpo, Dominique Martin se basant sur une étude de chercheurs Taïwannais (Lin PY, Huang SH, Chang HJ, Chi LY), ont analysés les résultats des probabilités de survie des dents traitées endodontiquement entre 2005 et 2011.
Les dents traitées puis extraites durant ces 6 années ont été comptabilisées. Au total, 517234 dents, dont 77489 traitées sous digue soit environ 15 % de la population, ont été incluses dans l’étude et suivies sur une période moyenne de 3,43 années. 29919 dents traitées entre 2005 et 2011 ont été extraites.
Le taux de survie moyen obtenu pour l’ensemble des dents analysées est donc de l’ordre de 94,4%. Ce résultat est comparable à ceux reportés lors d’investigations précédentes (94,44 % chez Lazarski et al en 2001 pour une période d’observation équivalente, 97% chez Salehrabi et Rotstein en 2004 sur un suivi plus de 8 années) et supporte le choix de la thérapeutique endodontique pour la pérennité du support dentaire. On note une différence significative entre les dents traitées sous champ opératoire avec un taux de survie de 95,15 % (73728/77489) et les dents non traitées sous champ opératoire présentant un taux de survie plus faible de 94,21 % (414287/439475). De plus, la probabilité de survie des dents dont le traitement endodontique a été réalisé sous digue est significativement plus importante. Elle s’élève en effet à 90,3 % après 3,43 années contre 88,8 % pour les dents n’ayant pas été isolée de la cavité buccale.
L’étude a également montré que l’utilisation de la digue diminue significativement le risque d’avulsion dentaire. En effet, le risque relatif d’avulsion des dents traitées sous digue est 0,81 fois plus faible que les dents n’ayant pas fait l’objet de la pose d’un champ opératoire.
[1] Article analysé: Lin PY, Huang SH, Chang HJ, Chi LY. The effect of rubber dam usage on the survival rate ofteeth receiving initial root canal treatment: A nationwide population-based study. J Endod 2014; 40 (11): 1733-1894.
Caroline Trocmé, Marielle Glikpo, Dominique Martin
Diplôme Universitaire Européen d’Endodontologie Clinique Paris Diderot Paris 7*
Influence de l’utilisation d’un champ opératoire
sur le pronostic des traitements endodontiques initiaux…>> Lire l’article complet…

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L’utilisation de la digue prouvée par une étude scientifique Taïwannaise

Des protozoaires oraux… pas si pathogènes que ça ?

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Selon un article paru dans « Information Dentaire » élaboré à partir d’une analyse de la littérature concernant le rôle pathogène des protozoaires oraux (E. gingivalis et de T. tenax), celui ci ne pourrait être mis en évidence. De plus, la présence de ces protozoaires chez les sujets atteints de maladie parodontale serait très variable. En contrepartie, chez les patient sain on trouverait une part non négligeable de ces protozoaires.

Chez des patients présentant une maladie parodontale, gingivite ou parodontite, la fréquence de détection d’E. gingivalis et de T. tenax varie respectivement de 12 à 100 % et de 4,5 à 28,6 % selon les auteurs. Par ailleurs, les études s’accordent toutes pour préciser que la prévalence d’£. gingivalis et de T. tenax est nettement supérieure chez les patients atteints de maladie parodontale pur rapport à ceux qui présentent un parodonte cliniquement sain et qu’elle augmente avec la sévérité de l’atteinte parodontale.
Mais les protozoaires se retrouveraient également chez les patients « sains ».
Certaines études montrent une absence ou un nombre négligeable des protozoaires buccaux lorsque le patient ne présente pas de maladie parodontale. Féki et coll. en 1981 montrent au contraire une présence significative d’E. gingivalis et de T. tenax au niveau de sites dentaires non affectés par la maladie parodontale, respectivement de 40 % et 13 %. De même, de Albuquerque Junior et coll. en 2011 constatent une prévalence supérieure de T. tenax dans la salive et dans la plaque dentaire chez les patients sains (respectivement 55,5 % et 22,2 %) par rapport aux patients atteints de parodontite (respectivement 16,7 % et 7,1 %), mais le nombre des patients sains est 4,6 fois plus petit que celui du groupe malade.
La variabilité de ces résultats s’explique par la disparité des protocoles, des échantillons sélectionnés (nombre de patients, âge, sexe, contexte socio-économique, contexte parodontal et niveau d’hygiène différents), du type de prélèvements (plaque dentaire et/ou salive) et de la méthode d’identification des protozoaires (observation phénotypique au microscope et/ou analyse du génome par biologie moléculaire). Par conséquent, toutes ces études montrent un grand nombre de limites et leur pertinence reste à discuter. Pour obtenir des informations fiables et exploitables, il est nécessaire de prendre en compte plusieurs sites chez un même individu de façon randomisée.

Les auteurs concluent :

« Même si l’amibe E. histolytica est pathogène pour l’homme, aucune étude scientifique ne permet d’émettre une conclusion similaire pour E. gingivalis et T. tenax. Un parallèle entre le milieu intestinal et le milieu buccal est donc inopportun au regard du manque de preuves concernant les protozoaires buccaux. Des études complémentaires sont nécessaires pour comprendre le rôle joué par ces micro-organismes dans les lésions parodontales. Par conséquent, la présence d’f. gingivalis et de T. tenax dans la plaque dentaire n’a pas de valeur diagnostique ou pronostique et ne justifie pas une modification des recommandations officielles concernant le traitement des maladies parodontales (cf recommandations ANAES parodontopathies: diagnostic et traitements 2002, prescriptions des antibiotiques en pratique bucco-dentaire 2011). A ce jour, les protozoaires buccaux doivent être considérés comme des organismes commensaux qui peuvent proliférer au sein des biofilms buccaux, sans pour autant être néfastes pour le parodonte ».

Implications des protozoaires
dans l’étiopathogénie des parodontites, Mythe ou réalité ?
Élise Auber, Pamela Passerai de Silans, Sophie-Myriam Dridi, Catherine Bisson
ID 41 42 Novembre 2014
…>> Lire l’article complet…

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Des protozoaires oraux… pas si pathogènes que ça ?

Où trouver du perborate de sodium ?

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Le perborate de sodium utile pour l’éclaircissement des dents dévitalisées est parfois difficile à trouver
Demander à votre pharmacien mentionnant les références suivantes
Labo Cooper, MELUN 77000, téléphone 0164872000.

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Où trouver du perborate de sodium ?

Les techniques d’hygiène du sommeil et de relaxation sans effet sur le bruxisme

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Le but de cette étude était d’évaluer les effets des mesures d’hygiène du sommeil associés à des techniques de relaxation dans la gestion de bruxisme du sommeil ( SB ) dans une expérience contrôlée , en double aveugle en essai clinique randomisé . Dans les limites de cette étude , il a été conclu qu’il n’y a pas d’effet des mesures d’hygiène de sommeil ainsi que des techniques de relaxation progressive sur le bruxisme du sommeil sur une période d’observation de 4 semaines .

Lopez MV, et al. 2014 : Do sleep hygiene measures and progressive muscle……>> Lire l’article complet…

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Les techniques d’hygiène du sommeil et de relaxation sans effet sur le bruxisme

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