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La consommation de calcium diminue la prévalence de la maladie parodontale

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La consommation de calcium est associée à une diminution prévalence de la maladie parodontale chez les jeunes femmes japonaises.
Les auteurs ont étudié la relation entre l’apport en calcium et la prévalence de la maladie parodontale. Les résultats suggèrent que l’apport en calcium plus élevée peut être inversement associée à la prévalence de la maladie parodontale.

Nutrition Journal, 01/12/2014 article clinique
Tanaka K, et al. – …>> Lire l’article complet…

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La consommation de calcium diminue la prévalence de la maladie parodontale

Moins de carie de la petite enfance avec des jus de fruits à 100%

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Vargas CM , et al . – Les résultats de plusieurs études menées aux États-Unis ne montrent aucune association entre la consommation de 100 pour cent de jus de fruits et carie de la petite enfance (CPE ) . Les auteurs ont examiné cette association selon la pauvreté et la race / ethnicité parmi nous enfants d’âge préscolaire . Les résultats de l’étude sont cohérents avec ceux d’autres études qui montrent la consommation de 100 pour cent de jus de fruits ne est pas associé avec ECC .

Early childhood caries and intake of 100 percent fruit juice
The Journal of the American Dental Association , 12/01/2014

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Moins de carie de la petite enfance avec des jus de fruits à 100%

Un détartrage à 43,38 € ? C’est possible ! (UJCD)

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Le détartrage complet des deux arcades dentaires dans la même séance vaut 43,38 € ! Comment est-ce possible ?

Et bien il faut avoir une lecture fine et experte des notes de facturation et des textes législatifs qui fondent la CCAM. La note de facturation associée à l’acte « HBJD001 : Détartrage et polissage des dents » ne fait plus référence à une notion de séance mais d’acte ! Le libellé en est le suivant : « deux actes au plus peuvent être facturés par période de six mois. Un détartrage complet doit être réalisé en 1 ou 2 actes maximum ».

En conséquence, si vous réalisez un détartrage des deux arcades dentaires en une seule séance vous pouvez facturer de la manière suivante :

– HBJD001 Arcade du haut (=> 01), code d’association 1, soit 28,92 €
– HBJD001 Arcade du bas (=> 02), code d’association 2, soit 28,92 € / 2

Le détartrage des deux arcades dans la même séance a donc une valeur de 43,38 €.

ATTENTION : Deux actes AU PLUS peuvent être facturés par période de 6 mois.

L’UJCD, réclame depuis des années une revalorisation des actes conservateurs et de prévention qui sont sinistrés. Une lecture experte du J.O. permet donc une revalorisation de 50% de l’acte « Détartrage et Polissage des dents ».

JEUDI 22 JANVIER : MANIFESTATION NATIONALE À PARIS

RETENEZ CETTE DATE ! NOTRE AVENIR EST EN JEU !

Le Conseil National de l’UNAPL, qui regroupe les présidents des 62 organisations composant l’UNAPL (dont l’UJCD, membre fondateur), a décidé de s’unir pour préserver le modèle des professions libérales réglementées que la loi Macron veut remettre en cause.

À l’unanimité, l’UNAPL appelle TOUS les professionnels libéraux à manifester à Paris le jeudi 22 janvier 2015.

L’UJCD fera tout pour que l’unité professionnelle soit sans faille et que nous allions UNIS à la bataille.

Cette manifestation sera l’occasion de nous mobiliser, notamment contre la fourniture de la facture de prothèse.

Source : UJCD.fr…>> Lire l’article complet…

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Un détartrage à 43,38 € ? C’est possible ! (UJCD)

Prothèses dentaires, enfin la transparence ?

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©PHOTOPQR/LE PARISIEN ; Sujet sur le tourisme dentaire à Tenerife (iles canaries) Docteur Olivier BOURNAY, un dentiste français spécialisé en implantologie, à ouvert une clinique dentaire où les prix sont moitiés moins cher qu'en France pour les implants dentaires. La clinique El Cedro se compose aussi d'un laboratoire de prothèse. ©Matthieu de Martignac LE 28/11/2013 (MaxPPP TagID: maxnewsworldthree384207.jpg) [Photo via MaxPPP]

Les règles changent pour certaines professions de santé, et notamment pour les dentistes. Couronne, bridge, dentier, ces prothèses dentaires ont coûté 4 milliards d’euros aux Français en 2012. Elles sont parmi les plus chères, mais aussi les moins bien remboursées par la Sécurité sociale.

Faire baisser les tarifs

Pour faire face à l’incompréhension des Français face aux tarifs des prothèses dentaires, le ministère de l’Economie réclame plus de transparence. En France, les chirurgiens dentaires peuvent en effet fixer librement le prix des prothèses dentaires. Or, les tarifs varient très fortement d’une région à l’autre, et sont déconnectés des taux de remboursement de base de la Sécurité sociale.
« C’est la conceptualisation du travail à faire, le diagnostic, l’analyse des radiographies et la réalisation, le temps de travail passé dans la bouche du patient », déclare au micro de France 2 le chirurgien-dentiste Christophe Teillaud pour justifier les tarifs des spécialistes. Actuellement, le dentiste doit indiquer sur le devis le prix de vente de la prothèse, le montant des soins et les charges de fonctionnement de son cabinet. Le gouvernement souhaiterait ajouter le prix d’achat du matériel au prothésiste. Objectif : faire baisser les tarifs. Mais les spécialistes s’y opposent, assurant que ces actes leur permettent de compenser le faible taux de remboursement des autres soins dentaires.


VIDEO. Prothèses dentaires : le gouvernement réclame plus de transparence des tarifs

Prothèses: un syndicat soutient Macron

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L’Union nationale patronale des prothésistes dentaires (UNPPD) a apporté son soutien mercredi à la proposition du ministre de l’Economie Emmanuel Macron de demander aux praticiens d’inscrire le prix d’achat des prothèses sur les devis des patients.

M. Macron avait annoncé dans le cadre d’une émission télévisée dimanche qu’il comptait rendre obligatoire l’inscription sur les devis du prix d’achat des prothèses dentaires proposés par les chirurgiens-dentistes.

« Ce que nous allons proposer dans la loi, c’est une transparence dans l’ensemble de ces actes. C’est-à-dire que l’on sache combien le chirurgien-dentiste a payé pour avoir une couronne. Je suis convaincu que ça fera baisser les prix. Le consommateur final va regarder ce prix et créer une pression sur son médecin », avait-il dit sur la chaîne privée M6.

L’UNPPD s’est déclarée favorable à une « transparence totale en matière de prothèse dentaire » et a demandé dans un communiqué que l’origine et le lieu de fabrication de la prothèse soient également remis aux patients. Le syndicat patronal est en revanche opposé à une facturation de la prothèse par le laboratoire et réglée directement par le patient, et contre l’entrée de capitaux extérieurs dans les sociétés d’exercice libéral de santé.

source : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2014/11/12/97002-20141112FILWWW00280-protheses-un-syndicat-soutient-macron.php

L’UNPPD s’engage à défendre les prothésistes

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L’Union Nationale Patronale des Prothésistes Dentaires, syndicat représentatif des prothésistes dentaires, suite à la concertation nationale de la profession, demande que ses positions soient prises en compte par le gouvernement pour la loi sur les professions réglementées, et par les syndicats de la profession de chirurgiens-dentistes dans les relations avec les prothésistes dentaires.
L’UNPPD réaffirme sa position pour une transparence totale en matière de prothèse dentaire :
l’UNPPD demande aux praticiens de remettre obligatoirement aux patients le certificat de conformité, édité par le laboratoire précisant l’origine, le lieu de fabrication ainsi que le prix d’achat de la prothèse dentaire à la sortie du laboratoire.
L’UNPPD est contre l’entrée de capitaux extérieurs dans les sociétés d’exercice libéral de santé.
L’UNPPD est contre la facturation de la prothèse par le laboratoire réglée directement par le patient.
Le prothésiste dentaire n’est pas un professionnel de santé, l’UNPPD souhaite l’ouverture vers certains services au patient, réalisables par le prothésiste dentaire ne nécessitant pas d’actes médicaux : entretien, réparation, gouttière sportive, prise de teinte… En effet pourquoi certaines enseignes (magasins sportifs, grandes surfaces, Internet) commercialisent des kits de réparation de dentiers ou des protège-dents et que les laboratoires n’ont pas le droit de réaliser ce service au patient ?
Les prothésistes dentaires sont actuellement absents des discussions de l’UNOCAM et de la CNAMTS, l’UNPPD souhaite y participer au même titre que les autres membres des dites commissions pour la mise en place de la politique de santé dentaire en tant que syndicat représentatif des fabricants de DMSM.
L’UNPPD demande expressément que soit instaurée l’obligation d’un diplôme pour la création, reprise d’un laboratoire ou la gestion d’un centre d’usinage dentaire.
Conformément aux discussions en cours depuis 2 ans avec les représentants des chirurgiens-dentistes,
L’UNPPD demande que les relations commerciales entre chirurgiens-dentistes et prothésistes dentaires soient contractualisées individuellement.
L’UNPPD demande aux syndicats dentaires de reconnaître la charte professionnelle CQLAB défendant la transparence de la prothèse dentaire fabriquée en France en l’intégrant dans leur promotion auprès des patients en matière de prothèse dentaire.
L’UNPPD demande aux syndicats des chirurgiens-dentistes de démontrer leur attachement au service de proximité, de qualité, que leur procurent les laboratoires de prothèse dentaire français, en se positionnant face aux entreprises d’importations de prothèses dentaires, concurrents déloyaux de nos laboratoires, notamment en stoppant la promotion de ces entreprises d’importation dans leurs publications réservées à leurs adhérents.
L’UNPPD s’engage à défendre la profession de prothésiste envers et contre tous.

Source : http://www.unppd.org/rfpd_new/zoom_rfpd.html

En bouche, une prothèse est insaisissable

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Une fois posé en bouche, un dispositif médical est considéré comme un élément du corps humain. À ce titre, il ne peut en aucune manière, sauf raison médicale, faire l’objet d’un « droit de rétention » de la part du praticien.

Sauf indication médicale, un chirurgien-dentiste ne peut pas retirer un dispositif médical qu’il a posé en bouche, et ce quel que soit le motif allégué.

Une fois posés, ces dispositifs sont considérés selon une jurisprudence constante comme des éléments du corps humain. Ils ne peuvent être saisis ni faire l’objet d’un droit de rétention de la part du praticien.

Le Conseil national a récemment été sollicité par le père d’un enfant à qui son orthodontiste avait posé un dispositif de contention. Pour des raisons qui lui appartiennent (l’éloignement du praticien puisque, en l’espèce, l’enfant poursuit sa scolarité dans une autre ville), il souhaitait changer de chirurgien-dentiste, ce qui est évidemment son droit le plus strict (1).

Selon les propres termes du père de l’enfant dans son courrier au Conseil national, le praticien menaçait alors de retirer « l’appareillage de l’enfant ». Sans raison médicale, explique le Conseil national au père de l’enfant, « ce praticien engagerait lourdement sa responsabilité civile professionnelle ».

Ce principe vaut dans tous les cas de figure, y compris en cas de non-paiement des honoraires par le patient. Un tel mode de « règlement » des conflits placerait le praticien en grande difficulté. Le praticien ne peut invoquer un droit de rétention. La Cour de cassation considère que la prothèse, dès lors qu’elle est posée, devient un élément du corps humain qui, à ce titre, n’est pas saisissable et ne peut faire l’objet d’un droit de rétention (2).

En l’espèce, un chirurgien-dentiste avait posé une prothèse et n’avait pas été totalement réglé par le patient. À l’occasion d’autres soins, il avait purement et simplement retiré et conservé la prothèse, indiquant qu’il la restituerait une fois réglée. Idem pour les praticiens qui redoutent, à tort ou à raison, de ne pas être honorés, et qui retiennent l’appareil jusqu’au règlement complet.

Pour la Cour de cassation, le praticien doit mener l’opération à son terme, ce qui implique pour lui « l’obligation de poser la prothèse et donc l’impossibilité d’exercer un droit de rétention (3). »
(1) Loi du 4 mars 2002.

(2) Arrêt du 11 décembre 1985.

(3) Arrêt du 9 octobre 1985.

 

http://www.ordre-chirurgiens-dentistes.fr/actualites/annee-en-cours/actualites.html?tx_ttnews%5Btt_news%5D=498&cHash=3ea66e975802db0a75f24ecd08108e03

Aerodentis : le dispositif d’orthodontie nocturne

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Une société israëlienne commercialise un système original pour redresser les dents. Ce système nommé Aerodentis pourrait éviter dorénavant aux patients d’avoir à porter des appareils amovibles ou fixes et appareil de contention comme les bagues très disgracieuse. Pour le patient il s’agira de porter l’appareil 24 mois tous les soirs pendant une dizaine d’heure.
Aerodentis applique une force pulsatoire, personnalisée programmable, en fonction du cas pour déplacer progressivement les (…)

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Aerodentis : le dispositif d’orthodontie nocturne

Nouveauté ADF 2014 : le laser à diode sans fil.

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Les lasers à diode ont révolutionné la pratique de la dentisterie au quotidien et comparées aux méthodes traditionnelles, leurs performances sont exceptionnelles. Ce type de laser offre un très large spectre de traitements et diminue considérablement les dommages sur les zones adjacentes. L’hémostase est immédiate. Elle accélère donc le processus de cicatrisation et génère moins de récession gingivale. Déjà portable et autonome, le SOL devient ultra pratique grâce à un encombrement minimum et une absence totale de fil. (…)

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ADF 2014 : Hygiène bucco-dentaire: La bouche, reflet de notre santé générale

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On n’attend pas d’avoir les cheveux aux chevilles pour aller chez le coiffeur. Eh bien c’est à peu près la même chose avec le dentiste: mieux vaut ne pas laisser ses dents se recouvrir de tartre pour consulter. Pourtant, un Français sur deux (54%)* avoue ne pas avoir le réflexe du rendez-vous annuel en cabinet. Pire, 18% d’entre eux ne sont pas familiers du brossage quotidien. Réuni cette semaine à Paris à l’occasion du congrès de l’association dentaire française (ADF), un collectif de professionnels insiste sur les dangers potentiels d’une telle négligence, non seulement sur la santé bucco-dentaire, mais aussi sur notre santé générale.

On n’attend pas d’avoir les cheveux aux chevilles pour aller chez le coiffeur. Eh bien c’est à peu près la même chose avec le dentiste: mieux vaut ne pas laisser ses dents se recouvrir de tartre pour consulter. Pourtant, un Français sur deux (54%)* avoue ne pas avoir le réflexe du rendez-vous annuel en cabinet. Pire, 18% d’entre eux ne sont pas familiers du brossage quotidien. Réuni cette semaine à Paris à l’occasion du congrès de l’association dentaire française (ADF), un collectif de professionnels insiste sur les dangers potentiels d’une telle négligence, non seulement sur la santé bucco-dentaire, mais aussi sur notre santé générale.

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ADF 2014 : Une application de "gestion collaborative" des cabinets dentaires

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Le programme DentalSIRH.com est la première application SaaS de gestion collaborative exclusivement dédiée aux équipes dentaires (exercice individuel, cabinet de groupe, centres dentaires).

Le programme fonctionne de manière totalement indépendante du logiciel de gestion patient. DentalSIRH.com facilite et optimise la communication interne entre les membres de l’équipe dentaire et permet de centraliser toutes les tâches de travail individuelles et collectives. Son utilisation très simple et très intuitive a rapidement et grandement amélioré l’ambiance de travail des cabinets dentaires ayant bénéficié de la version bêta durant près de 2 ans. DentalSIRH.com représente une véritable révolution humaine et technologique.

Source : DentalSIRH.com
Congrès ADF 2014 – STAND 1R04…>> Lire l’article complet…

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ADF 2014 : Une application de "gestion collaborative" des cabinets dentaires

France : l’exposition aux Rayons X a augmenté

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Avec l’augmentation des examens, l’exposition de la population française aux radiations de l’imagerie médicale, principalement les scanners, a légèrement augmenté en cinq ans avec 81,8 millions d’actes de diagnostic en 2012, soit une hausse de 6 % par rapport à 2007, selon un rapport de l’Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN).

Le nombre des examens d’imagerie progresse, mais rappelle l’IRSN, l’imagerie a un « impact positif très fort sur la qualité de prise en charge des patients » grâce à la possibilité de détection précoce et précise de nombreuses pathologies.
Environ 44 % de la population a bénéficié d’au moins un acte d’imagerie en 2012. Le pourcentage des individus concernés augmente avec l’âge.
Les examens par scanners, qui ne représentent que pour 10,4 % du nombre des actes, constituent 71,3 % de la dose totale des radiations délivrées (contre 58 % de la dose totale en 2007).

La radiologie conventionnelle (hors radiologie dentaire) représente 54 % des actes pour 17,7 % de la dose totale délivrée, la médecine nucléaire 1,3 % des actes pour 7,8 % de la dose totale délivrée, et la radiologie dentaire 33,8 % des actes pour 0,2 % de la dose délivrée.
Un recul de 6 % du nombre des actes de radiologie conventionnelle a été observé entre 2007 et 2012. Parallèlement, les actes de radiologie dentaire ont explosé avec une poussée de 50 % sur dix ans (2002- 2012).

L’IRSN a récemment constitué un comité d’experts qui fera, sur la base de ce rapport des recommandations, avec pour objectif de réduire l’exposition des patients, en particulier des enfants, sans altérer la performance de diagnostic. La première réunion de ce comité est prévue d’ici la fin de l’année.

Source AFP…>> Lire l’article complet…

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France : l’exposition aux Rayons X a augmenté

Congrès ADF 2014 : l’appli est dispo !

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Congrès ADF 2014 : l’appli est dispo !

ADF 2014 : les Echos, spécial "Filière dentaire"

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A lire, le cahier Spécial Santé « Filière dentaire » dans le quotidien les Echos de mercredi 27 novembre 2013 (il sera aussi distribué au Congrès de l’ADF)

Au sommaire :

// Panorama
– Les professionnels de la santé bucco-dentaire anticipent une remise à plat
– Difficile dialogue entre le gouvernement et la profession
// Décryptage
– La répartition des dentistes sur le territoire : l’enjeu de demain
– Suivre les avancées scientifiques pour renforcer la qualité des soins
// Équipement – Les industriels français combatifs
// Conjoncture – Des signes de fléchissement sur le marché de la santé bucco-dentaire
// Perspective – Le cabinet dentaire du futur

 

 

ADF 2014 : Visitez le cabinet dentaire du futur

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A l’occasion de son congrès annuel, cette semaine à Paris, l’ADF (l’association dentaire française) s’est penchée sur les dernières évolutions technologiques dans ce domaine. Voici à quoi ressemblera le cabinet de votre dentiste à l’horizon 2030.C’est lors du premier Comité d’organisation du Congrès 2014, qu’est venue l’idée d’organiser au sein de l’exposition une animation sur le cabinet du futur.En y réfléchissant il est apparu que, même en sollicitant les exposants proposant les matériels les plus « high tech », nous ne pourrions au mieux que réaliser un cabinet ultra moderne d’aujourd’hui.Nous avons donc envisagé d’avoir recours à la technologie pour organiser pour nos visiteurs uneexploration virtuelle de ce qui pourrait être le cabinet de demain, voire d’après-demain.Ce faisant, nous nous affranchissions des contraintes « matérielles » et pouvions anticiper ce quesera, demain, l’intégration de technologies de pointe actuelle et imaginer une évolution possible denotre profession grâce aux nouvelles technologies.La technologie retenue est un système d’immersion virtuelle dans un univers totalement fabriqué appelé Occulus Rift. L’immersion dure 3 minutes : le visiteur s’installe sur une chaise, met les lunettes et il est ensuite guidé dans un couloir qui lui fera découvrir les différentes pièces du cabinet virtuel.Dans chaque pièce, il pourra voir soit des animations interactives, soit des « pastilles » qui s’ouvriront pour signaler telle ou telle technologie. Technologies qui seront expliquées à la sortie sur des écrans tactiles.

1. L’imagerie 3D à la base du diagnostic

Vous souffrez, ne pouvez plus rien mastiquer et ne supportez pas qu’on vous triture les molaires pour voir où se situe réellement la carie. Désormais, l’examen du praticien passera par une imagerie en 3D de la dent malade. «C’est essentiel pour la détection des pathologies», observe Paul Cattaneo, référent des nouvelles technologies à l’ADF. En implantologie, la radio permet un voyage dans les structures anatomiques du patient et aide à voir où se situe le nerf dentaire. Certains praticiens procèdent ensuite à l’impression en direct des prothèses grâce à une imprimante 3D.

2. Une caméra stylo pour améliorer l’empreinte optique

Le goût du plâtre dans la bouche ne sera bientôt qu’un mauvais souvenir. Pour créer une prothèse, cette technique d’un autre âge est progressivement remplacée par une empreinte optique par mini-caméra, de la taille d’un stylo. Celle-ci est promenée sur la dent par le praticien puis elle transmet un fichier au laboratoire de prothèse pour fabriquer une couronne dans un délai optimisé.

3. Un bilan salivaire plus poussé

Par un simple prélèvement salivaire, le dentiste peut dresser un large panel des infections, voire des pathologies, dont souffre le patient. Il peut connaître rapidement la quantité de bactéries présente dans la bouche et établir le RCI, le risque carieux individuel. La salive étant une émanation du plasma, cela peut permettre d’éviter une autre consultation pour une prise de sang.

4. Des soins moins invasifs

Fini les fraises ou les roulettes dont le bruit vous tétanise dès la salle d’attente. Place au «sablage par air abrasion», à la «sono abrasion», et aux lasers. Des termes techniques caractéristiques de soins moins invasifs. Une dentisterie tout en douceur, plus hygiénique, où on privilégie l’usage d’air sous pression, de vibrations soniques, voire de bistouris lasers, particulièrement efficaces pour traiter une carie. Par ailleurs, le fameux crachoir du fauteuil tend à disparaître. Encore une fois pour des raisons d’hygiène et de contamination.

5. Des dents soignées grâce aux cellules-souches

Un jour peut-être, le patient sera son propre «donneur», image le docteur Cattaneo. La problématique se pose quand la carie attaque l’émail et la pulpe de la dent. Il faut alors la dévitaliser, ce qui signifie «la fragiliser». L’idée est d’implanter dans cette dent des cellules-souches pour qu’elle reprenne sa croissance. Cette expérience est déjà appliquée sur le rat actuellement, mais pas sur l’homme. En revanche, en parodontie, régénérer la gencive et l’os est une pratique connue depuis plusieurs années.

http://www.20minutes.fr/sante/1489183-20141127-visitez-cabinet-dentaire-futur…>> Lire l’article complet…


Cabinet dentaire du futur par CNSD
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