Page 19

Coronavirus Covid 19 : les dentistes de garde d’Auvergne-Rhône-Alpes équipés de tests rapides

0

C’est un petit dispositif qui permet, grâce à une goutte de sang, de savoir si une personne est, ou a été, en présence du virus Covid 19. Et « depuis un bon mois« , confie le Dr Eric Lenfant, président de l’Union régionale des professionnels de santé chirurgie dentaire (URPS-CD), les dentistes de garde en Auvergne-Rhône-Alpes en sont équipés. Seulement les dentistes de garde… parce que, depuis le 16 mars, les consultations classiques sont suspendues.

Une réponse rassurante

« C’est rassurant, explique le Dr Lenfant, quand vous exercez à parfois quelques centimètres de la bouche d’un patient, de savoir que vous n’êtes pas un propagateur du virus ». Pour lui, comme pour les 5500 dentistes de la région, il était important de lever un paradoxe : permettre de savoir au plus tôt, avant que les symptômes apparaissent -parfois au bout de 14 jours- si un professionnel est atteint.

… et rapide

« L’idée, c’est dès qu’un de nos collègues de garde a un coup de fatigue, même sans forcément avoir de toux ou de fièvre, il peut savoir en 4 minutes s’il est porteur du virus. Il s’agit de confiner intelligemment. » Ainsi, dans chaque département d’Auvergne-Rhône-Alpes, ce sont désormais les Conseils locaux de l’ordre qui gèrent la répartition de ces tests.

Dès le 7 janvier, les dentistes d’AURA étaient alertés

Il faut dire qu’en matière de Covid, les dentistes d’Auvergne-Rhône-Alpes ont eu une très grosse longueur d’avance sur beaucoup de monde. Ainsi, dès le 7 janvier, l’URPS-CD alertait ses adhérents sur des gestes barrières à avoir en présence de patients ayant séjourné en chine avec des symptômes grippaux.

Dès cette date, l’Union professionnelle recommandait l’usage de gel hydro-alcoolique, lunettes de protection, d’un lavage appuyé des mains et de port par le dentiste de masque … FFP3, encore plus protecteurs que les FFP2.

« C’est vrai que nous sommes une profession traditionnellement habituée à porter des protections » (…) aujourd’hui ce qui change c’est la sur blouse, la visière et le FFP2 » commente sobrement le Dr Lenfant.

Des tests qui ont été utiles

C’est donc fort logiquement que les dentistes de la région ont opté -dès qu’ils l’on pu- pour ces tests rapide d’orientation de diagnostic (TROD), fabriqués en Europe et dont les services du désormais célèbre Professeur Lina ont validé l’efficacité.

Quant à savoir si de nombreux dentistes de la région se sont « mis sur la touche » pour cause de détection rapide de Covid… cela relève, nous explique-t-on, du secret professionnel. « Mais si la question est « les tests ont-ils été utiles? », la réponse est oui ».

 

https://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne-rhone-alpes/coronavirus-covid-19-dentistes-garde-auvergne-rhone-alpes-equipes-tests-rapides-1816556.html?fbclid=IwAR1O7-71UnpkR70thEQguBoUqrqcLYAXRwjsh4e4cXAyXWPeliFHSfyFazA

ET DEMAIN ? (Edito FSDL)

0

Le président de la République a, lundi soir, fixé la fin probable du confinement au 11 mai prochain avec comme échéance principale la réouverture des écoles. Il est temps d’envisager un retour à la normale dans nos cabinets ; à la normale, ne voulant pas forcément dire reprise “comme avant”. Des adaptations sur une période transitoire longue devront être envisagées et ré-évaluées selon l’évolution de l’épidémie. Mais ces adaptations devront permettre un accueil des patients sans transformer les cabinets en salle blanche ou nous obliger à nous équiper de ”scaphandres étanches”. Peut-être devrons nous vivre d’autres moments d’arrêt de notre activité…

Rappelons que cette période d’inactivité forcée a été décidée après la réquisition de nos masques chirurgicaux début mars et pour concourir au respect des mesures de confinement.

La profession, via l’ONCD, a missionné un comité scientifique pour définir les mesures nécessaires à la reprise d’activité dans le cadre de cette pandémie COVID-19.

Les mesures d’hygiène et d’asepsie que nous appliquons déjà au quotidien sont suffisantes face à ce pathogène :
traitement des surfaces du cabinet, des instruments rotatifs, de la petite instrumentation.
Le guide de recommandation ci joint, édité par la HAS, les répertorie.
N’oublions pas que la traçabilité appliquée dans nos cabinets dentaires est obligatoire depuis le 14 juin 1998.

Les mesures barrières devront être appliquées avec le plus strict respect au sein du cabinet:

lavage des mains et application de SHA pour les patients, les livreurs,
protection et nettoyage des surfaces d’accueil,
limitation des personnes en salle d’attente ainsi que suppression des magazines et jouets.
Le port du masque en continu sera la règle pour le personnel des cabinets. Les séances de soins seront allongées de manière à limiter les croisements de patients au sein de nos structures.

Nous devrons également prémunir nos proches, au-delà de notre cellule familiale immédiate. Il s’agira de limiter nos interactions sociales et de protéger les plus fragiles.

Face à ce bouleversement dans notre environnement de travail, le maintien de la convention dentaire, que nous n’avons pas signé, se pose dès à présent. La profession ne pourra pas éluder le sujet.

Nous avons su relever le défi de l’arrêt de nos structures et organiser la prise en charge des urgences pour aider le pays à surmonter le moment critique de cette crise. Nous réussirons la reprise d’activité dans les conditions de sécurité optimale comme à notre habitude.

https://www.fsdl.fr/edito/et-demain/?fbclid=IwAR3ffsXi78SWLwF3KBnxsIowlaP6sTtRSHkyXDK_dzabHswQX1xIj4uDG2A

La crise du coronavirus dans les cabinets dentaires au Brésil

0

Un entretien paru dans Dental Tribune le 10 Avril 2020

La pandémie de coronavirus se propage rapidement dans le monde entier. Au 10 avril, le Brésil était le pays le plus touché d’Amérique latine avec plus de 18 000 cas confirmés de COVID-19 et près de 950 décès, selon les dernières statistiques publiées par l’université Johns Hopkins. Dans une récente interview, le Dr Irineu Gregnanin Pedron, un des principaux leaders d’opinion du monde dentaire à São Paulo, s’est entretenu avec Dental Tribune International de la façon dont la crise a affecté son travail de dentiste.

Dr Pedron, quelle est la situation dans votre pays face à la crise du coronavirus, quelles mesures ont été prises et depuis quand ?
Ici au Brésil, nous avons vécu dans un confinement social volontaire ces deux dernières semaines. Il existe des désaccords politiques entre le gouvernement fédéral et les gouvernements des États concernant le confinement, mais je crois que la grande majorité de la population brésilienne s’est adaptée aux restrictions en matière d’isolement. Au cours des prochaines semaines (du 30 mars au 12 avril), on prévoit d’atteindre le pic dans notre pays du plus grand nombre de décès dus à la maladie jusqu’à présent. Il est donc d’autant plus essentiel d’éviter tout contact social dans les prochaines semaines.

Comment avez-vous été affecté par les mesures éventuelles de confinement, professionnellement et personnellement ? Votre cabinet est-il toujours ouvert et si fermé, depuis quand ?

Ma clinique privée est fermée depuis deux semaines. J’y travaille avec mon père et mon frère, ainsi qu’avec d’autres dentistes. À l’école dentaire de l’Université de Brasil, nous dispensons des cours et des activités en ligne de premier cycle. Personnellement, j’essaie de profiter de ce temps pour maintenir un équilibre psychologique et émotionnel.

Votre cabinet est fermé mais si vous voyez encore des patients pour des urgences, avez-vous changé la façon de les traiter ?
Malheureusement, nous ne sommes pas du tout en mesure de nous occuper des patients. Certains patients nous ont contactés pour d’éventuelles urgences, comme le décollement d’une prothèse temporaire, mais comme la plupart des gens restent chez eux et qu’il est recommandé d’éviter autant que possible les contacts sociaux, nous conseillons aux patients de nous téléphoner et de se rendre aux urgences de l’hôpital lorsqu’il n’y a pas d’autres possibilités de soulager leur problème.

« Nous devrions profiter de ce moment pour réfléchir, développer des idées, créer des projets futurs, améliorer les changements climatiques, apporter de l’optimisme à ceux qui nous entourent et essayer d’influencer les gens pour un meilleur avenir après le COVID-19 »

Comment vivez-vous cette crise et utilisez-vous votre temps lié à votre travail, à vos patients, et si vous souhaitez partager, votre vie personnelle, et les choses que vous aimez et que vous avez généralement, peu de temps de faire peut-être ?
En plus de l’activité d’enseignement déjà mentionnée, que je poursuis en ligne, je me suis également consacré à mes études. J’ai utilisé ce temps principalement pour écrire des articles scientifiques.

Savez-vous comment les mesures de confinement ont affecté le marché dentaire national ?
Malheureusement, la crise touche tous les segments. Les dentistes ne sont pas en mesure de travailler et de fournir des soins aux patients. Ils ne prodiguent pas de soins et, par conséquent, n’ont pas de revenus et ne consomment pas de produits. De ce fait, les fournisseurs de soins dentaires ne vendent pas leurs produits. À l’école dentaire de l’Université de Brasil, les étudiants ont été obligés de suivre leurs cours en ligne afin de poursuivre leurs études. Il s’agit d’une nouvelle façon d’enseigner et d’étudier à laquelle les universités ont eu peu de temps pour s’adapter dans la situation actuelle. Elles mettent tout à profit pour s’adapter et offrir la même qualité d’enseignement que celle qu’elles pourraient dispenser aux étudiants qui étudient sur le campus. Malheureusement, de nombreuses personnes perdent leur emploi et sont licenciées.

Ne sachant pas combien de temps cette crise durera, pensez-vous, qu’elle sera de courte ou de longue durée, qu’elle aura des répercussions sur votre cabinet, sur la profession ?
À mon avis, la crise sera de courte durée. Peut-être que notre temps de reprise ici au Brésil sera plus long. Les crises entraînent un besoin de renouveau, de changement et de croissance. Nous devrions profiter de ce moment pour réfléchir, développer des idées, créer des projets futurs, améliorer le changement climatique, apporter de l’optimisme à ceux qui nous entourent et essayer d’influencer les gens pour un meilleur avenir après le COVID-19.

On pourrait espérer que face à une telle crise, c’est peut-être l’occasion de réfléchir sur nos priorités, et peut-être d’améliorer la façon dont nous vivons notre vie. Qu’en pensez-vous ? Quels changements aimeriez-vous voir se produire ?

J’ai vu avec cette crise que l’être humain ordinaire semble plus préoccupé par les autres, moins égoïste et plus altruiste. Cette adhésion volontaire à des mesures d’isolement social en est la preuve. La grande majorité des gens restent chez eux et font leur part pour essayer d’empêcher la propagation du virus. Je pense que cette crise aura un rôle important dans le changement des habitudes sociales, sanitaires et humaines. Allons-nous tirer profit de cette crise ? Je l’espère bien.

À propos de
Le Dr Irineu Gregnanin Pedron est spécialiste en parodontologie et en implantologie. Il est chercheur indépendant et conférencier à l’école dentaire de l’Universidade Brasil, à São Paulo, au Brésil. Il enseigne un cours de toxine botulique en dentisterie à l’Institut Bottoxindent, São Paulo, et est l’auteur du livre portugais Toxina Botulínica : Aplicações em Odontologia (Editora Ponto, 2016).

Note de la rédaction : Cette interview fait partie d’une série demandant aux professionnels dentaires du monde entier de partager leurs expériences pendant la crise COVID-19. Elle a été publiée le 6 avril 2020 sur le site de Dental Tribune International.
https://fr.dental-tribune.com/news/la-crise-du-coronavirus-vue-par-les-dentistes-dans-le-monde-dr-irineu-gregnanin-pedron-bresil/

Crise du COVID19 : les consignes pour les cabinets dentaires en Allemagne ?

0
Frankfurt am Main, Zahnarztpraxis, 24.11.2015, Dr. Derin, Boulaaouin Zahnärzte,

Conseils au cabinet dentaire pour prévenir l’infection / transmission avec le SRAS-CoV-2
La Bundeszahnärztekammer se considère comme responsable de la santé et du bien-être de ses employés ainsi que de ceux des patients des cabinets dentaires.

C’est son souci d’évaluer de façon réaliste la situation à risque concernant les infections corona.

Les informations désormais disponibles à Wuhan (Chine) indiquent que – bien que le plus grand centre de traitement dentaire de la région ait traité 120 000 patients dans des conditions normales (aérosol, simple protège-dents) pendant deux mois (décembre 2019 et janvier 2020) sans connaître le problème – « uniquement ». «A infecté 9 des 1 098 membres de l’équipe avec le virus Corona (3 à la maison, 6 peuvent être au travail).

En revanche, des milliers de personnes ont été infectées dans le domaine médical général, les ORL et l’ophtalmologie ont été particulièrement touchés. Les collègues chinois attribuent le taux d’infection extrêmement faible dans le domaine dentaire à la mise en œuvre cohérente des mesures de protection classiques. Dans ce contexte, les équipes dentaires ne sont pas le groupe le plus vulnérable, et certainement pas les « hotspots » ou les « supers spreaders », comme on le prétend souvent.

L’équipe dentaire en Allemagne a toujours été soumise à des règles d’hygiène strictes, qui contribuent à un niveau de protection élevé dans les cabinets, quelle que soit la situation actuelle.

En effet, ces règles d’hygiène supposent que des patients potentiellement infectieux (virus et bactéries, comme la rougeole ou le VIH) se rendent régulièrement chez le dentiste pour un traitement.

Ces lignes directrices touchent également chaque cabinet, chaque dentiste et chaque employé. De plus, les points suivants doivent être observés pour la protection de la santé des patients et des employés des chirurgies afin de prévenir l’infection / transmission par le SRAS-CoV-2:

Avant la visite chez le dentiste, chaque patient est invité par téléphone et à nouveau lors de l’entrée dans le cabinet pour les symptômes de COVID-19 des deux dernières semaines et doit se désinfecter les mains lors de l’entrée et de la sortie du cabinet.
Dans la pratique ZA, chaque employé porte une protection bouche-nez, même lorsqu’il se parle. Les zones de réception doivent être protégées par une cloison étanche aux liquides.
Toute salutation physique doit être évitée.
Les plans de traitement / rendez-vous doivent être organisés de manière à ce que les règles de distance puissent être respectées à la fois dans la zone d’accueil et dans la zone d’attente. Les parents doivent attendre en dehors de la pratique.
Pendant tout le traitement du patient, lunettes / si nécessaire. Visières / écrans de protection, protection bouche-nez, gants et éventuellement blouses de protection portés. La fonction de barrière du vêtement de protection ne peut être garantie que s’il est bien assis et le respect de la discipline de prise. Une aspiration suffisante est strictement observée. La génération d’aérosols est minimisée autant que possible.
Les règles d’hygiène applicables sont mises en œuvre entre les contacts patients.
Des réunions d’équipe devraient avoir lieu régulièrement, au cours desquelles les mesures et les routines nécessaires sont à nouveau discutées, les questions sont clarifiées et des ajustements sont apportés, si nécessaire.
Pendant les pauses de traitement, les distances minimales recommandées entre les employés doivent être respectées.
Les employés présentant des facteurs de risque COVID-19 pour les cours graves doivent être retirés du contact avec les patients / renvoyés à la maison et – si possible – envoyés au bureau à domicile.
Le dentiste prend la décision concernant le traitement requis pour un patient spécifique en fonction du risque individuel et de la densité des complications de la procédure.

Cela s’applique non seulement au traitement d’urgence, mais peut également inclure une intervention qui atténue les plaintes du patient à court, moyen ou long terme ou évite l’aggravation de la maladie existante. Ceci doit être pris en compte lors de la planification du rendez-vous et discuté à l’avance avec le patient par téléphone.

Si les patients expriment des incertitudes au sujet de l’équipe, le dentiste doit être informé afin de fournir des informations appropriées, également par téléphone.

Le BZÄK recommande également de prévenir efficacement la formation d’aérosols dans la pratique ZA. L’accent est mis sur une technologie d’aspiration efficace. Les éléments suivants doivent également être pris en compte:

a) Évitez l’utilisation de pièces à main à ultrasons, d’appareils ultrasonores et chirurgicaux à commande piézoélectrique.

b) Évitez d’utiliser des appareils à jet de poudre (par exemple « Air-Flow »).

c) Évitez d’utiliser des turbines.

d) Les bains de bouche antiseptiques peuvent aider à minimiser la transmission des infections.

e) Selon le type et l’étendue de l’exposition et le risque d’infection, porter régulièrement et correctement l’équipement de protection individuelle approprié. L’utilisation supplémentaire de visières / écrans de protection dans les traitements dentaires peut accroître encore la sécurité.

En outre, toute forme de traitement pour les groupes à risque (personnes âgées, patients multimorbides, patients immunodéprimés ou immunodéprimés ou autres patients souffrant de troubles de santé) doit être réduite à un niveau absolument nécessaire, notamment afin d’éviter les contacts dans la salle d’attente ou dans la pratique.

Source : https://www.bzaek.de/berufsausuebung/sars-cov-2covid-19/vorbeugung-einer-uebertragung.html

Mais où sont passés vos chirurgiens-dentistes pendant la crise du covid19?

0

Mais où sont passés vos chirurgiens-dentistes pendant la crise du covid19?
La réponse en images !
Réalisation: Camille Durant Linda Jiquelle Julie Zerbib-Martin
Montage: Dimitri Koziak

COVID 19 Gestion des urgences bucco-dentaires

0

Voici une vidéo d’information sur la gestion des urgences bucco-dentaires en période de COVI19
Elle a été réalisée par la DGS et l’EHESP en collaboration avec le CNO, la SF2H, la COREB mission locale et les CESU

COVID 19 Gestion des urgences bucco-dentaires from EHESP on Vimeo.

Covid-19 : la start-up Française TootyVR propose un déconfinement instantané !

0

Vous avez du mal à supporter le confinement et l’anxiété à propos de la crise Covid-19 vous gagne ? Pas de soucis, TootyVR, une société innovante spécialisée dans la Réalité Virtuelle pour les patients des dentistes, (et donc habituée à traiter les situations « oppressantes ») vous propose de vous faire voyager tout en restant chez vous.

Tooty VR à l’ADF 2019 : présentation d’une séance de détente en réalité virtuelle

Il vous suffit de vous connecter sur la page TootyRelax sur Facebook et en quelques secondes, après avoir enfilé un casque de réalité virtuelle, vous allez vous retrouver comme plongé au beau milieu de la nature au milieu de paysages somptueux dans une ambiance relaxante. La société TootyVR qui s’était déjà fait remarquée lors du congrès des dentistes à l’ADF 2019, en Novembre dernier à Paris, en présentant tout l’intérêt de la Réalité Virtuelle pour détendre les patients au cabinet dentaire vient de lancer sur Facebook la page TootyRelax, un espace VR/360 qui rassemble plusieurs de ses principales scènes virtuelles à 360°. L’objectif est de donner accès au plus grand nombre à ces « capsules de déconfinement » en passant par un média auquel la plus grande majorité a souscrit et qui possède la technologie nécessaire pour gérer le format d’image vidéos à 360°.

Choix de vidéos 360 sur la page TootyRelax

Une dizaine de destinations sont possibles en quelques clics. De la cascade dans la forêt en passant par la plage déserte ou la campagne, les vidéos sont toutes disponibles au format 4K ce qui assure une visualisation optimale dans les casques les plus récents.

Si la plupart des scènes avait été tournées avant le confinement, depuis le début de la crises de nombreuses heures ont été nécessaires pour le post-traitement.
Au final, le résultat est plutôt satisfaisant car les vidéos s’intègre dans un environnement connu des utilisateurs. Elle ne nécessite pas d’autres installations que celle indiquée par le fabricant du casque et l’accueil enthousiasmant des premiers utilisateurs incite la start-up à enrichir encore son offre en libre accès.

Selon le responsable du projet, Dr Olivier Landwerlin, Chirurgien-Dentiste (Cannes) :

Déconfinez-vous en VR/360° : la capsule n°7 ou comment se retrouver par la magie de la Réalité Virtuelle sur une plage déserte au lever du soleil !

« Cet espace est dédié à toutes les personnes qui subissent le confinement au quotidien, soignants aussi bien que patients devant rester isolés pendant de longues journées sans contact avec le monde extérieur. Nous pensons également à tous ceux qui vivent en appartement souvent à plusieurs dans un espace exiguë. Nous voulons les aider à surmonter cette épreuve en toute tranquillité en les amenant par la Réalité Virtuelle VR/360° à se transporter en quelques secondes en pleine nature dans une ambiance propice à la détente et à la relaxation. »

Tous les casques VR sont compatibles avec la page TootyRelax, qu’ils soient de simples dispositifs d’entrée de gamme, avec lentilles intégrés, dans lequel vous placez votre smartphone le temps de l’expérience ou des casques plus complexes utilisés la plupart du temps par des joueurs.

Les vidéos sont également disponibles sur YouTube sur le compte de TootyVR


La cascade : une des vidéos à 360° les plus appréciées 

En attendant, la start-up poursuit sa Recherche et Développement. Il s’agira, après le déconfinement « physique », cette fois, d’être en mesure de proposer l’expérience de Réalité Virtuelle la plus adaptée pour gérer l’inquiétude bien compréhensible des patients des cabinets dentaires au quotidien et le besoin d’être rassurés lors de la séance chez le dentiste.

Partagez le projet à vos amis sur Facebook, « likez » vos ambiances préférées et pensez aussi à « liker » la page afin d’être tenue informé des dernières vidéos !

Toutes suggestions permettant d’optimiser ce dispositif et d’en accroître la visibilité sont les bienvenues !

Contact : TootyVR@gmail.com

Covid-19 : la CARCDSF n’exclut pas de prendre d’autres mesures « si la crise perdure »

0

Dans l’émission « Questions expresso avec l’ADF » du 10 avril, Frank Lefèvre, le président de la CARCDSF est venu apporter quelques précisions sur les annonces de la veille (voir l’émission 👉 https://bit.ly/2JTc7fw). Le conseil d’administration de la caisse de retraite a en effet adopté le 9 avril à l’unanimité de ses 20 membres « mais après de longues discussions » deux mesures importantes :

➡ Le versement une aide de 4 500 euros à chaque praticien affilié, versée en trois fois d’avril à juin 2020. « Elle sera également versée aux praticiens en cumul emploi/retraite et ceux en précontentieux ou en contentieux ayant un plan d’apurement de leur dette » a-t-il précisé. N’en bénéficient pas : les cotisants en invalidité temporaire ou permanente, les conjoints collaborateurs et les praticiens en contentieux sans plan d’apurement de leur dette.

Pour permettre le versement de ces aides, le fonds d’action sociale de la Caisse a été doté de 166 millions d’euros prélevés sur les réserves de la caisse. « Théoriquement ces 4 500 euros sont défiscalisés et sans charges sociales, selon Frank Lefèvre. Bercy pourrait réfléchir autrement mais le risque est minime ». L’opération se fait avec l’accord « tacite » de la Direction de la sécurité sociale.

➡ La suspension des cotisations pour 6 mois (avril, mai, juin, juillet, août et septembre). Leur règlement sera étalé sur un an à partir de juillet 2021. « L’annulation pure et simple des cotisations n’était pas possible, assure Frank Lefèvre. Parce que notre tutelle s’y serait opposée et parce que cela aurait obéré notre régime sur le long terme. Les praticiens n’ont pas besoin de cadeau mais d’aide ».

Ces deux mesures seront automatiquement appliquées pour celles et ceux qui sont en prélèvement automatique. « Ceux qui font des virements ou envoient des chèques devront nous donner leurs coordonnées bancaires. Ils devront patienter car cela demande de modifier notre site internet ce qui prendra un peu de temps compte tenu de la situation actuelle, explique le président de la Caisse. Nous les préviendrons ».

Enfin, Frank Lefèvre l’assure : « si la crise perdure, nous n’excluons pas de prendre d’autres mesures. Pour le moment nous sommes la seule caisse de retraite d’une profession libérale à avoir pris des mesures si importantes ».

https://www.information-dentaire.fr/actualites/covid-19-la-carcdsf-n-exclue-pas-de-prendre-d-autres-mesures-si-la-crise-perdure/

Covid-19 : mesures d’accompagnement de la CARCDSF

0

Devant l’urgence de la crise liée au Covid-19 et des difficultés financières qui en découlent pour les professionnels en exercice, le conseil d’administration de la CARSDSF a décidé à l’unanimité de prendre des mesures fortes et inédites.

Ces mesures dérogatoires, au vu de nos statuts, n’ont pas encore reçu l’aval de la direction de la Sécurité sociale, mais les circonstances nous conduisent à les mettre en œuvre immédiatement.

Ces mesures sont les suivantes :

Pour les chirurgiens dentistes :

  1. Le versement d’une aide de 4 500 €(1)versée en trois fois d’avril à juin 2020,grâce au fonds d’action sociale. Ce dernier sera doté d’un budget exceptionnel de 166 millions d’euros prélevé pour partie sur les réserves de notre régime complémentaire et pour partie sur celles de notre régime invalidité-décès.
  2. Une suspension des cotisations pour six mois, soit avril, mai, juin, juillet, août et septembre, dont le règlement sera étalé sur douze mois à partir de juillet 2021 jusqu’à juin 2022(2).

Pour les sages-femmes :

  1. Le versement d’une aide de 1 000 € (1), versée en deux fois,grâce au fonds d’action sociale. Ce dernier sera doté d’un budget exceptionnel de 7 millions d’euros prélevé pour partie sur les réserves de notre régime complémentaire et pour partie sur celles de notre régime invalidité-décès.
  2. Une suspension des cotisations pour six mois, soit avril, mai, juin, juillet, août et septembre, dont le règlement sera étalé sur douze mois à partir de juillet 2021 jusqu’à juin 2022 (2).


(1) En bénéficient les affiliés au 31 mars 2020, y compris les cumuls emploi retraite et les cotisants en précontentieux et contentieux ayant un plan d’apurement de leur dette. N’en bénéficient pas les cotisants en invalidité temporaire ou permanente, les conjoints collaborateurs et les contentieux sans plan d’apurement de leur dette. Il sera possible pour les non bénéficiaires de saisir la commission ad hoc.

(2) Suspendre ne signifie pas annuler les cotisations qui sont définitivement dues. Il s’agit ici d’offrir une facilité de trésorerie en payant lorsque l’activité normale sera revenue. En outre, l’adhérent qui le souhaite a la possibilité de payer ses cotisations entre avril et septembre 2020 au regard de sa situation personnelle, par virement ou par chèque. Dans ce cas, il en informe la CARCDSF.

Ces décisions, ainsi que l’impérieuse nécessité de continuer à régler les pensions normalement dues, auront un impact important sur notre trésorerie et nécessiteront la vente de certains fonds, bien évidemment ceux qui sont les moins impactés par la crise boursière actuelle.

Ces mesures seront automatiquement appliquées pour celles et ceux qui sont en prélèvement automatique.

Naturellement, la commission d’action sociale ainsi que la commission des cas particuliers continueront à étudier les demandes individuelles d’affilié se trouvant dans des situations personnelles très précaires et ceci le plus rapidement possible, dans la limite des conditions particulières du télétravail des salariés de notre Caisse, imposées par le confinement.

Nous espérons que ces dispositions exceptionnelles, qui devraient s’ajouter à des mesures émanant de l’État, de la CNAM et éventuellement des assureurs, pourront contribuer à vous permettre de surmonter le mieux possible cette épreuve.

Sachez que vous pouvez compter sur l’implication de tout le Conseil d’administration et celle du personnel administratif.

Soucieux de vous accompagner au mieux tout au long de cette crise sans précédent, nous vous prions de croire à l’assurance de notre considération.

Cordialement,

Frank LEFEVRE et le Conseil d’administration de la CARCDSF

 

http://www.carcdsf.fr/actualites/covid-19-mesures-d-accompagnement-pour-les-cotisants-cd-et-sf-09-avril-2020

Coronavirus : Soins dentaires à l’arrêt, pas d’aide, sentiment d’abandon chez les dentistes

0

Suite à la fermeture des cabinets dentaires libéraux, il est difficile de prendre rendez-vous pour être soigné. Un ancien dentiste, de l’Orne, évoque le sentiment d’abandon.

Le conseil de l’ordre des dentistes a décidé de fermer les cabinets dentaires libéraux

« Nous sommes désolés mais au vu de vos symptômes, vous n’avez pas assez mal ». Depuis plusieurs jours, Marion, habitante de l’Orne, recherche un dentiste pour soigner une carie qui lui fait mal au quotidien. « Quand je bois ou quand je mange, je ressens une douleur au niveau d’une dent ».

« Prendre mon mal en patience »
Mais suite à la décision du conseil de l’ordre des dentistes de fermer tous les cabinets par mesure de précaution, en pleine crise du coronavirus, la prise de rendez-vous est devenue un vrai chemin de croix. « Je vais attendre et prendre mon mal en patience. J’ai pu avoir une personne sur une plateforme téléphonique qui m’a informé que deux structures de garde existaient dans l’Orne ». Pas plus, pas moins… Difficile donc d’espérer avoir un rendez-vous.

Pour Denis, ancien dentiste :

La fermeture des cabinets libéraux a été une bonne décision. Nous n’étions pas assez protégés. Il fallait éviter de propager le virus dans les cabinets dentaires et de le transmettre aux autres.

Il reconnaît néanmoins que « seules les urgences vont être prises en charge : des douleurs violentes, des abcès extrêmement douloureux, une rage de dents ».

Mais face à ces fermetures de cabinets, légitimes encore une fois, Denis déplore « le sentiment d’abandon présent chez les dentistes libéraux ». Un sentiment exacerbé en pleine crise du coronavirus mais « qui existe depuis des dizaines d’années ».

« C’est la faillite assurée »
Selon l’ancien professionnel, « les décisions et annonces gouvernementales prennent en comptent toutes les professions de santé, pour les aider, sauf les dentistes ». En filigrane, aucune aide financière n’est prévue pour les dentistes.

Mais vous imaginez les conséquences d’un cabinet fermé ? En moyenne, c’est 20 000 euros de frais par mois avec des équipements dont l’investissement est faramineux. Si on ferme plusieurs semaines, il n’y a aucune rentrée d’argent. Comment tenir ? C’est la faillite assurée.

Mais voilà, « nous sommes des gros riches et pouvons tout nous payer. Donc, il n’y a aucun effort à faire pour nous et nous n’avons pas à nous plaindre ». Preuve à l’appui :

L’un de mes collègues s’est renseigné sur des aides existantes pour la profession avec la crise sanitaire. On lui a répondu que non, qu’il pouvait travailler chez lui. C’est faux puisqu’il exerce dans son cabinet, aujourd’hui contraint d’être fermé. Ce type de traitement provoque des vexations. On se demande ce qu’on leur a fait ? Sans parler de notre syndicat qui ne nous protège pas.

Des bricoleurs ?
Un stéréotype qui colle à la peau des professionnels, « Bernard Kouchner (NDLR : diplômé de la Faculté de médecine de Paris et ancien ministre de la Santé et de l’Action humanitaire) nous avait même qualifiés de »cochons de dentistes ». A croire que nous ne sommes que des bricoleurs ».

A terme, Denis pense que « l’objectif est de faire fermer des cabinets libéraux pour implanter des cabinets mutualistes avec des dentistes salariés. Sauf que les conditions de travail de ces dentistes sont inacceptables ».

 

https://actu.fr/normandie/rugles_27502/coronavirus-soins-dentaires-larret-pas-daide-sentiment-dabandon-chez-dentistes_32858518.html?fbclid=IwAR3IIwDxnkHyv5JNmEiMs0op8DeksippC8BQ1uC2gAn_tsuYZY25XIArDAw

Charge virale dans la salive et production d’anticorps anti-SARS-CoV-2

0

Dans le but de mieux comprendre le profil temporel d‘une infection à SARS-CoV-2, une équipe de médecins et chercheurs chinois a analysé le taux de charge virale et la réponse immunitaire induite chez 23 patients atteints de Covid-19 (âge médian de 62 ans). Dans cette étude observationnelle, les chercheurs ont évalué à intervalles réguliers et pendant une trentaine de jours, la charge virale par RT-PCR quantitative (reverse transcription polymerase chain reaction) dans la salive de l’oropharynx postérieur. Ils ont mesuré en parallèle dans le sérum, le taux d’expression d’anticorps dirigés contre deux antigènes du SARS-CoV-2 : une protéine interne, NP (nucleoprotein), et une protéine de surface de l’enveloppe virale (protéine S), au niveau de son domaine RBD (receptor binding domain) nécessaire à la liaison du virus à sa cellule cible. Les résultats montrent que la charge virale est la plus élevée au cours de la première semaine symptomatique, avant de diminuer avec le temps. Ceci pourrait expliquer la propagation particulièrement rapide de cette épidémie et souligne l’importance d’un contrôle rigoureux de l’infection et l’utilisation précoce d’antiviraux. Dans cette cohorte, les chercheurs ont montré que plus l’âge du patient est élevé, plus la charge virale est forte. Après 14 jours symptomatiques, les taux de séropositivité étaient de 94% d’IgG anti-NP, 88% d’IgM anti-NP, 100% d’IgG anti-RBD et 94% d’IgM anti-RBD. Par ailleurs, aucune mutation génomique du virus n’a été détectée chez les patients. Ces résultats montrent, d’une part, que l’analyse de la salive de l’oropharynx postérieur, technique moins invasive que l’écouvillonnage nasopharyngé, permet de détecter le virus et que le test sérologique peut venir compléter la RT-PCR quantitative pour le diagnostic.

Article The Lancet – doi: 10.1016/S1473-3099(20)30196-1

Vers une ordonnance pour les libéraux en perte d’activité

0

Le gouvernement a «l’intention de légiférer», sans doute par ordonnance, pour mettre rapidement en place la «compensation de perte de revenus» promise par Olivier Véran aux professionnels de santé libéraux, ont indiqué mercredi les syndicats de pharmaciens.

Le ministre de la Santé avait fait état la semaine dernière de «négociations ouvertes avec l’Assurance maladie pour que les libéraux puissent bénéficier d’une compensation de perte de revenus», voire «pour ceux qui le souhaitent de dispositifs d’avance».

A l’occasion d’un point de situation sur l’épidémie de coronavirus mardi avec les syndicats de pharmaciens, le directeur général de l’Assurance maladie, Nicolas Revel, a «confirm(é) l’intention du gouvernement de légiférer» sur ce sujet, a affirmé Philippe Besset, président de la FSPF, lors d’une conférence de presse téléphonique.

Cela devrait se faire «dans le cadre des ordonnances» autorisées par la loi d’urgence du 23 mars, a expliqué à l’AFP Gilles Bonnefond, président de l’Uspo.

Les détails de cette aide seront discutés pour chaque profession de santé conventionnée (médecins, dentistes, infirmiers, sages-femmes, kinés…), les pharmaciens ayant déjà deux rendez-vous prévus «en fin de semaine et mardi prochain», a-t-il précisé.

https://www.lefigaro.fr/flash-eco/sante-vers-une-ordonnance-pour-les-liberaux-en-perte-d-activite-20200408?fbclid=IwAR2O2CnSot3rRqdzBBp5Gq-rVtAT7xygLDyqKQDA_j1aMaagSrDkdtBIpzM

Suède : 3 200 professionnels dentaires mis à pied

0

En Suède, 3 200 professionnels dentaires incluant les employés des cliniques et laboratoires dentaires de Praktikertjänst (le consortium national Suédois coopératif des cliniques dentaires) ont été mis en « congé » à partir du lundi 30 mars en raison de la la crise liée au coronavirus.
Les employés de 900 lieux de travail dans les 21 régions sont touchés.

Selon Carina Olson, PDG de Praktikertjänst, l’espoir est qu’il ne sera pas nécessaire de fermer la réception et que les employés retrouveront « la normale » à long terme.
Ces dispositions concernent à la fois les dentistes, les infirmières dentaires, les hygiénistes dentaires, les techniciens dentaires et les autres personnels de soins dentaires.
Les employés occuperont 40% de leurs heures normales de travail. Ils conservent 92,5% du salaire mensuel régulier.
Des exceptions peuvent être faites s’il existe des raisons particulières. Certaines personnes peuvent travailler à 60 ou 80% du temps.
Les nouvelles heures de travail seront localisées localement en fonction des besoins de l’entreprise.

À la recherche d’une aide d’État
Dans le même temps, Praktikertdienst sollicite une aide d’État préliminaire auprès de l’Agence suédoise pour la croissance pour des autorisations à court terme pour une période de six mois.

Dit Tillväxtverket oui, l’État peut couvrir certains des coûts salariaux ordinaires – au plus 53%, selon Carina Olson.

Une condition préalable est que les cliniques puissent documenter les pertes de patients et les coûts supplémentaires qui en résultent.

Source : https://www.tandlakartidningen.se/arkivet/nyhet/3-200-varslas-inom-praktikertjanst/?utm_source=idrelay&utm_medium=email&utm_content=3%2B200%2Bvarslas%2Binom%2BPraktikertj%C3%A4nst&utm_campaign=Tandl%C3%A4kartidningens%2Bnyhetsbrev%2B26%2Bmars%2B2020

Danemark : les cabinets dentaires restent ouverts (Association Dentaire Danoise)

0

Au Danemark les cabinets dentaire restent ouverts mais uniquement pour les patients qui ont un besoin urgent de traitement. Cela s’applique, par exemple, aux blessures traumatiques aux dents et à la bouche, aux infections, à l’inflammation des racines et aux cas graves de carie et de parodontites. Cela comprend également les dommages aux implants, aux bridges et aux obturations ainsi qu’aux appareils orthodontiques en cours. Les inspections dentaires de routine et le nettoyage dentaire doivent être reportés.

Cela fait suite aux nouvelles directives du National Board of Health, qui décrit les protocoles à suivre pour les dentistes pendant la pandémie de COVID-19.

Les directives s’appliquent jusqu’en juin 2020, sauf indication contraire du National Board of Health.

Source Page Facebook de l’Association Dentaire Danoise : https://www.facebook.com/pg/tandlaegeforeningen/posts/

Danemark : L’Association Dentaire propose son aide pour tester les patients

0

L’Association dentaire a proposé aux autorités sanitaires de participer à des tests de dépistage du COVID-19 auprès des citoyens dans les nombreuses cliniques dentaires du pays.

«Les dentistes veulent aider à tester le coronavirus. Nous faisons déjà des tests de grattage de bouche dans les cliniques dentaires aujourd’hui, c’est donc quelque chose auquel nous sommes habitués. Nous pensons que cela peut soulager la médecine générale et les hôpitaux pressés. Nous voulons faire notre part pour la préparation aux situations d’urgence », déclare le président de Tandl ægeforeningen Susanne Kleist.

Les cliniques dentaires ont l’hygiène, l’expérience et l’équipement pour gérer la tâche à l’avance, car les dentistes effectuent déjà des restes oraux de patients. Dans le même temps, les cliniques dentaires sont réparties uniformément dans tout le pays et la plupart des citoyens ont leur pratique dentaire régulière.

Source : Facebook de l’Association Dentaire Danoise

slot deposit qris