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9 % des cabinets dentaires seraient à l’origine de refus de soins

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« Les refus de soins discriminatoires liés à la vulnérabilité économique sont le fait de 9 % des cabinets dentaires, 11 % pour les gynécologues et 15 % pour les psychiatres », conclut une étude du Défenseur des droits publiée le 22 octobre.
L’étude, intitulée « Les refus de soins discriminatoires liés à l’origine et à la vulnérabilité économique », a été réalisée à la demande du Fonds CMU-C. Elle mesure les différences de traitement dans l’accès aux soins des patients selon deux critères prohibés par la loi : l’origine (consonance du patronyme) et la situation de vulnérabilité économique (le fait de bénéficier CMU-C ou de l’ACS).
Il s’agit en fait d’un testing téléphonique. Pour chaque spécialité, une prise de rendez-vous a été
sollicitée par trois patientes fictives : une patiente de référence, une patiente révélant par son
patronyme une origine africaine, une patiente indiquant bénéficier, une fois sur deux, de la CMU-C ou de l’ACS. Ce testing a été réalisé entre février et mai 2019. « Il est représentatif au niveau
national avec plus de 1 500 cabinets couverts, 4 500 demandes de rendez-vous et 3 000 tests de
discriminations effectifs. La répartition spatiale des cabinets testés et le conventionnement des
professionnels de santé sont très proches de ceux de la France entière », précisent les auteurs.
Résultat : alors que la patiente de référence obtient un rendez-vous avec succès dans 70 % des cas, la personne bénéficiaire d’une aide (CMU-C ou ACS) a un taux de succès de seulement 58 %.
En revanche, il faut le souligner, il n’y a pas de différence significative des délais d’obtention selon l’origine des patients. Si 42 % des patients bénéficiaires de la CMU-C ou de l’ACS n’ont donc pas eu accès à un rendez-vous, ce taux varie de 25 % pour l’accès à une consultation dentaire à 66 % pour l’accès à une consultation par un psychiatre.
Raisons le plus souvent invoquées par les professionnels de santé refusant les patientes : « nous
n’acceptons pas les bénéficiaires de la CMU-C ou de l’ACS » (33 %), « nous ne prenons pas de nouveaux patients » (20 %), « nous ne pouvons pas prendre en charge votre cas » (12 %) et « nous n’avons plus de place » (9 %).

#ADF2019 : découvrez les 8 Startups de la santé dentaire du futur

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L’ADF innove cette année avec Oral Health Startup Experience*, un espace dédié aux Startups de la Santé Dentaire.

Faites un pas dans le futur avec Tooty VR, FasTeesH, Y-BrushLe Tube, Anamnese, Kedzoh Dental, Omplant Driver, Orca Dental AI

Venez découvrir ce nouvel espace de rencontres et d’échanges entre praticiens et startups, sur fond d’innovation et de nouvelles technologies ! 8 « jeunes pousses » de l’industrie dentaire vous y présentent leurs concepts d’avenir, du brossage simultané aux expériences virtuelles, en passant par les dentifrices bios, l’intelligence artificielle ou encore la dentisterie digitale…

*Salle 252 – niveau 2

Logo TootyTooty VR


La Réalité Virtuelle dentaire. Immergez vos patients dans un monde où tout devient possible !

La start-up Tooty a pour ambition d’adapter et rendre accessible la Réalité Virtuelle pour les cabinets dentaires. Fondée il y a un an sous l’impulsion d’un Chirurgien-Dentiste, Tooty propose une plateforme en ligne sous forme d’abonnement à la carte.

Connecté au site, le praticien immerge le patient dans des expérience 3D virtuelles adaptées à la séance dentaire.

Cela permet à la fois d’améliorer la perception des soins, la compréhension des traitements, et d’aider le patient à canaliser ses émotions. Les expériences immersives proposées sont :
-la visualisation à l’intérieur de sa propre bouche dans le casque VR (les images sont prises avec une caméra intra-buccale 2D ou 3D) et la proposition d’esthétique du sourire au patient, en partenariat avec des laboratoires de prothèse.
-la présentation animée de modèles présentant la plupart des traitements dentaires courants
-la détente/relaxation/hypnose au fauteuil dans un environnement visuel et sonore apaisant et immersif.
La Réalité Virtuelle est également très utile dans le domaine éducatif. Tooty propose un accès en ligne aux étudiants en dentaire pour améliorer leur apprentissage en anatomie.

TOOTYVR.COM


 

Anamnese

Anamnese


Pour apporter à tous une médecine Prédictive, Préventive, Personnalisée, Participative (médecine 4P), nous combinons le meilleur du digital et de l’intelligence artificielle pour assister les professionnels de santé.
Nous aidons les professionnels de santé à réinventer la relation patient-praticien en impliquant davantage le patient et en coordonnant les acteurs du système de santé autour d’un dossier médical exhaustif que notre intelligence artificielle structure en interrogeant les patients dans leurs langues, comme le ferait un assistant médical. Ce dossier médical structuré et exhaustif permet alors de soigner plus vite vos patients, et les suivre à distance après la consultation ou l’opération.

ANAMNESE.ME

 


AppLib

AppLib


AppLib, l’application interactive des professionnels de santé : remplacements, informations et échanges.

APPLIB.FR

 


FasTeesHFasTeesh Y-Brush


Y-Brush est une technologie innovante permettant un brossage efficace en seulement 10 secondes
Commercialisée par FasTeesH, une société lyonnaise, cette technologie s’adresse tant au grand public (Y-brush) qu’à des établissements médico-sociaux (HesY).

Y-BRUSH

 


KedzohKedzohDental.com


KedzohDental.com est le site Web sur lequel les prothésistes dentaires viennent se former à des solutions de pointe en dentisterie digitale.
C’est également là que les principales entreprises de dentisterie digitale créent et présentent leurs outils, machines, logiciels et leurs dernières innovations en dentisterie digitale.

KEDZOHDENTAL.COM

 


Le TubeLe Tube


Le Tube – Un dentifrice français haut de gamme au service de la santé bucco-dentaire !

LE TUBE 

 


OmplantOmplant Driver


Kit de vissage et dévissage sans fil pour implants dentaires, alliant vitesse, sécurité et confort pour le patient grâce à un accès facilité aux régions postérieures.

OMPLANT DRIVE

 


ORCAOrca dental AI


Logiciel basé sur l’intelligence artificielle pour automatiser l’analyse et la planification du traitement, basé sur l’imagerie 2D et 3D. Le logiciel comprend l’analyse automatique du céphalo, la segmentation 3D, l’analyse du volume des voies respiratoires et le céphalo / panoramique automatique de 3D.

ORCA-AI.COM

 


 

Le Conseil d’Etat lève l’interdiction de publicité pour les médecins et les dentistes

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Alors que, depuis 2017, l’Europe exhorte la France à se mettre en conformité avec le droit communautaire, le Conseil d’Etat lève l’interdiction de publicité pour les professionnels de santé. Dans sa décision rendue le 6 novembre, il considère cette interdiction comme non-conforme au principe de libre concurrence et invalide la position de la ministre des solidarités et de la santé. Un tournant décisif pour les médecins et les dentistes, qui pourront désormais se battre à armes égales face à leurs homologues européens.

Fin de la concurrence déloyale et d’un système hypocrite

« C’est un vent de liberté qui s’ouvre pour les médecins et les professionnels du secteur bucco-dentaire. Par sa décision, le Conseil d’Etat vient de mettre fin à 70 ans d’arbitraire et d’hypocrisie. »

Pour Fabrice Di Vizio, avocat spécialisé dans les questions de santé, la décision du Conseil d’Etat signe une réelle victoire. Depuis plus de dix ans, il mène un combat pour la reconnaissance de l’illégalité des dispositifs français en matière de publicité. « Il n’est pas question d’autoriser tout et n’importe quoi ou de supprimer toute réglementation. Mais la publicité procède de la connaissance, d’autant plus à l’heure des réseaux sociaux et des outils modernes de communication. En Italie, cette question est réglée depuis longtemps et la médecine ne s’est pas effondrée pour autant ».

L’illégalité des textes français reconnue

Le cabinet d’avocat franco-italien n’a ainsi pas hésité, en 2016, à saisir la Commission Européenne, qui a engagé une procédure d’infraction à l’encontre de la France. Mais depuis, rien n’avait bougé, mis à part la vague promesse de la Ministre de la Santé de faire évoluer le code de la santé publique. Pendant ce temps, certains médecins continuaient de voir leurs carrières détruites, risquant jusqu’à la radiation pour un simple article dans un journal ou la mention d’un diplôme sur leur site internet.

« Dernièrement, j’ai défendu le cas d’un médecin de haute montagne, accusé d’avoir installé un panneau trop grand pour indiquer l’emplacement de son cabinet. Il a écopé d’une suspension de plusieurs mois », explique maître di Vizio.

Des demandes d’indemnités à l’Etat

Afin de mettre l’Etat Français face à ses obligations, le cabinet d’avocat a finalement décidé de saisir le Conseil d’Etat le 30 avril 2018.

Le 6 novembre 2019, le Conseil d’Etat lui donne gain de cause, invalidant la décision implicite de la ministre de la Justice de ne pas abroger le Code santé publique. Le Conseil d’Etat requiert également le versement d’indemnités, à hauteur de 3000 euros, pour les deux requérants mis en cause par l’Ordre des médecins dont le dossier faisait l’objet de la saisine.

Une décision capitale, qui rend illégales les centaines de sanctions antérieures prononcées par l’Ordre des médecins sous le motif d’interdiction de publicité. Dans la continuité de l’arrêt du Conseil d’Etat, Maître di Vizio va désormais poursuivre l’Etat et réclamer des dommages et intérêts pour tous les praticiens sanctionnés à tort.

 

Communiqué de presse

Formation DPC ATTENTION ARNAQUE !!!

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Appels téléphoniques agressifs de démarcharge, ne vous laissez pas intimider

L’Agence DPC a été destinataire de divers signalements de la part de professionnels de santé concernant les pratiques de certains organismes de DPC (ODPC) tels que :

démarchages téléphoniques usurpant l’identité de l’Agence ou d’un ODPC ;
sollicitations indésirables de modification d’adresse email telles qu’enregistrées sur les comptes dédiés des professionnels de santé ;
inscriptions forcées à des actions de DPC non présentielles comportant des sessions déjà commencées.

Nous vous rappelons qu’il appartient à chacun d’entre vous de maintenir la confidentialité de l’identifiant et du mot de passe de votre compte personnel www.mondpc.fr et de ne pas les communiquer à des tiers.

En outre, nous vous invitons vivement, en cas de démarchage téléphonique, à vérifier l’identité de l’ODPC appelant. En cas de réception d’un courriel de demande de confirmation d’une inscription à une action de DPC non sollicitée, nous vous invitons :

à refuser immédiatement ladite demande en cliquant sur « Non, je ne souhaite pas participer à cette session » dans le courriel reçu ;
ou à cliquer sur « non » depuis votre compte personnel www.mondpc.fr, menu « Mes actions de DPC ».

L’Agence porte une attention toute particulière à ces signalements et invite tous les professionnels victimes de tels agissements à le signaler sur leur compte personnel au moyen du menu « Signalement ».

De tels agissements sont susceptibles de constituer une manœuvre frauduleuse au sens des dispositions de l’article R.4021-25 du Code de la santé publique (CSP) entrainant le retrait, par l’Agence de l’enregistrement de l’ODPC. Ces agissements feront l’objet, en outre, d’une information au procureur de la République conformément aux dispositions de l’article 40 du Code de procédure pénale.

source :https://www.facebook.com/FSDLnationale/posts/2530743646992491

ADF 2019 : un congrès tourné vers l’avenir

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La profession dentaire se rassemble du 26 au 30 novembre, à Paris.

Le congrès 2019 de l’ADF a pour thème : « Avenir, construisons-le ensemble ». La profession se rassemblera au Palais des congrès de Paris du 26 au 30 novembre, autour de cette thématique incontournable qu’est l’innovation. Le programme de cette édition 2019 a été élaboré par Marwan Daas, président du comité scientifique qui compte 12 membres (1), avec le concours de la secrétaire scientifique Tchilalo Boukpessi.
Le numérique et son développement dans les cabinets dentaires, les nouveaux matériels et matériaux, l’intelligence artificielle seront abordés au cours de ce congrès, placé sous la pré- sidence de Serge Armand.

Le rendez-vous scientifique promet cette année plus d’interaction entre les praticiens et les conférenciers. La vie professionnelle sera largement abordée au cours des séances. Enfin, les prothésistes auront leur place à l’ADF 2019.

DOUZE PRATIQUES DE L’ART DENTAIRE

Répondre aux problématiques quotidiennes des chirurgiens-dentistes est l’un des vœux du président scientifique de l’ADF, Marwan Daas. La biologie et la recherche seront mises en avant avec les nouvelles thérapeutiques innovantes, les avancées en matière de pulpite, péri-implantite et risque hémorragique, et le microbiote. Les fondamentaux de l’endodontie seront explorés au travers des fêlures dentaires, de l’aménagement des voies d’accès canalaires ou de l’apport des ciments biocéramiques.

L’implantologie sera détaillée avec les problématiques de gestion esthétique du secteur antérieur, l’implantation immédiate ou différée, le numérique, et la manière d’éviter les complications biologiques et prothétiques. Des questions majeures seront traitées en médecine et chirurgie orales : lésions muqueuses de la cavité buccale, urgences, complications des greffes sinusiennes et technique du coffrage en greffe osseuse pré-implantaire. Une séance à la thématique peu explorée sera aussi proposée : médecines douces et chirurgie dentaire.

NOUVELLES STRATÉGIES THÉRAPEUTIQUES

L’odontologie restauratrice et les bio- matériaux seront en bonne place dans cette édition 2019. Les chirurgiens-dentistes pourront notamment assister à des séances sur le collage en restaurations directes, les données actuelles des restaurations corono-radiculaires, les onlays et les facettes céramiques. La parodontologie sera développée autour de la nouvelle classification des maladies parodontales, des tests micro- biens ou de la chirurgie minimalement invasive. En matière de prothèse amovible et d’occlusodontie, la médecine dentaire du sommeil, la PAC, l’omnipraticien « occlusodontiste au quotidien » seront des sujets détaillés par les conférenciers. La prothèse fixe offrira aussi un programme dense. Les nouvelles stratégies thérapeutiques, l’empreinte sur dent et implant, les facettes en céramiques et le numérique seront abordés.

Enfin, l’odontologie pédiatrique sera développée avec des questions telles que la traumatologie des dents temporaires ou la gestion de l’espace dans le cas de la perte des incisives maxillaires. L’orthodontie, discipline en constant développement, l’équipe dentaire et l’organisation professionnelle et médico-légale seront trois autres thèmes du congrès.

 

source : https://www.edp-dentaire.fr/actualites/3986-le-congres-de-l-adf-tourne-vers-l-avenir

Avulsions : Les CDF réclament l’égalité de traitement avec les médecins stomatologistes

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Les CDF, par la voix de leur Président Thierry Soulié, ont profité de la présence de Nicolas Revel, Directeur de l’UNCAM à leur Université d’été (19-21 sept 2019) pour réaffirmer leur volonté qu’un supplément soit alloué en cas d’avulsions multiples et/ou complexes lorsqu’elles sont réalisées en cabinet de ville.

Il a réitéré sa demande faite lors de la parution de l’avenant n°7 à la Convention des médecins qui inscrit, lors de l’avulsion en ambulatoire des 4 dents de sagesse retenues ou incluses dans une même séance un supplément forfaitaire de 125 € aux médecins stomatologistes.

Thierry Soulié a rappelé au Directeur de l’UNCAM que cette demande rejoint celle formulée par Les CDF (alors CNSD) pour la première fois en 2012 lors de la négociation de l’avenant n°2 de la Convention précédente.

Les CDF s’appuient :

  • Sur le fait que ces interventions réalisées au sein des cabinets de ville contribuent à limiter le volume des interventions à l’hôpital et génèrent des économies non négligeables.
  • Et sur le principe qu’il ne saurait y avoir de différences tarifaires pour un même acte, qu’il soit réalisé par un stomatologiste ou par un chirurgien-dentiste.

Les CDF demandent que cette mesure inscrite pour les médecins le soit aussi pour les chirurgiens-dentistes dans les plus brefs délais.

Hygiène bucco dentaire, une nouvelle brosse à dent électrique primée par le Dental Advisor

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À la suite d’une évaluation comprenant 1 802 séances de brossage effectuées par un groupe de dentistes, d’hygiénistes et de patients, la brosse à dents électrique VarioSonic® de PRO-SYS® a reçu la note la plus élevée possible de Dental Advisor: +++++, Excellent / Choix de l’éditeur, sur 96 % score global.

Les évaluateurs ont noté sa performance («se sent vraiment mieux»), son choix de modes de nettoyage distincts («J’ai aimé l’option de 5 intensités») et sa satisfaction globale vis-à-vis du produit («Très belle brosse. Elle fonctionne bien, est silencieuse et facile à utilisation »). Les patients ont cité la longue durée de vie de la batterie de VarioSonic («Tient sa charge pour mon voyage de 10 jours!»), Son fonctionnement silencieux («Plus silencieux que mon Sonicare»), son confort («plus facile pour mes gencives que mon pinceau normal», et de la dextérité («j’ai été capable d’atteindre facilement les dents de derrière»).

VarioSonic est l’une des rares brosses puissantes à remporter le sceau d’acceptation ADA, symbole de sécurité et d’efficacité sur lequel les consommateurs comptent pour éliminer les incertitudes lors de l’achat.

 

Sinistralité 2018 : nouvelle alerte sur l’endodontie

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Avec une hausse de la sinistralité de 7 %, l’année 2018 reste dans la moyenne des années précédentes selon le rapport annuel de la MACSF publié le 7 octobre.

Si le nombre de déclarations en implantologie reste stable, l’endodontie représente cette année 35 % des déclarations hors implant.

L’assureur alerte pour la deuxième année consécutive sur une hausse de la sinistralité en endodontie : complications sous prothèse conjointe pour infections apicales liées au traitement pré prothétique réalisé ou à l’état initial insuffisant non repris, bris d’instruments ou non-conformité de l’obturation à terme sans réalisation de prothèse, faux canaux et perforations radiculaires, dépassements apicaux….

« Le domaine endodontique reste un des postes le plus à risque de réclamation, souligne le rapport. En reprenant les allégations d’insuffisances en analyse transversale nous obtenons un global de 513 déclarations. Sans comptabiliser les 5 ingestions ni l’inhalation d’instrument endodontique… ».

source : https://www.information-dentaire.fr/

Étude: Se brosser les dents deux fois par jour aide à prévenir la maladie d’Alzheimer

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Une nouvelle étude révèle que se brosser les dents deux fois par jour fait plus que se laver les dents. Cela peut également aider à prévenir la maladie d’Alzheimer.

Des chercheurs de l’Université de Bergen en Norvège affirment que la bactérie à l’origine de la gingivite, P. gingivalis  , a été trouvée dans le cerveau de patients atteints de la maladie d’Alzheimer et qu’elle augmenterait considérablement les risques de développer la maladie. Les enzymes produites par la bactérie, connues sous le nom de gingipains, détruisent les cellules nerveuses du cerveau et provoquent des pertes de mémoire , avant de se transformer en Alzheimer, selon les auteurs.

«Nous avons découvert des preuves basées sur l’ADN selon lesquelles les bactéries responsables de la gingivite peuvent se déplacer de la bouche au cerveau», a déclaré le co-auteur de l’étude, Piotr Mydel, chercheur au département de sciences cliniques de l’université, dans un communiqué .

Mydel et son équipe affirment que leur étude est la première à produire ces preuves. Pour leur étude, ils ont recruté 53 personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer et découvert la bactérie dans le cerveau de 96% des participants. Bien que la bactérie ne soit pas à l’origine de la maladie d’Alzheimer, les chercheurs affirment qu’elle joue un rôle majeur dans son développement et peut également la faire progresser plus rapidement.

Mydel suggère de se brosser les dents et de passer la soie dentaire tous les jours et d’organiser des visites régulières chez le dentiste afin de prévenir la croissance des bactéries. Il dit que les personnes atteintes de gingivite et ayant des antécédents familiaux d’Alzheimer devraient prendre un soin particulier de leur hygiène buccale.

L’équipe travaille également sur un médicament susceptible de bloquer les enzymes de la bactérie, contribuant ainsi à la prévention de la maladie d’Alzheimer. Le médicament devrait être testé plus tard cette année.

L’ étude est publiée dans la revue  Scientific Advances .

Étude : la Prescriptions d’analgésiques pour la chirurgie des dents de sagesse contribuant à la crise des opioïdes

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ANN ARBOR, Mich. – Selon une nouvelle étude de l’Université du Michigan, la prescription d’opioïdes pour une procédure dentaire courante pourrait être le début de l’abus de drogue ou de la toxicomanie. Les chercheurs disent que l’extraction des dents de sagesse peut causer plus que de la douleur buccale à un patient.

Cela signifie-t-il que les cliniciens dentaires contribuent par inadvertance à la crise des opioïdes?

Beaucoup, voire la plupart des adolescents ou des jeunes adultes, ont une ou plusieurs dents de sagesse enlevées dans ce qui est devenu un rite de passage. La plupart du temps, ces personnes sortent de l’autre côté de la procédure sans effets durables.

À l’exception d’une tendance très inquiétante: les ordonnances d’opioïdes prescrites pour la gestion de la douleur après l’extraction d’une dent de sagesse peuvent être le début d’une spirale dans une dépendance aux opioïdes.

Selon l’étude, les adolescents et les jeunes adultes âgés de 13 à 30 ans qui exécutent une ordonnance d’opioïde pour l’extraction de dents de sagesse ont 2,7 fois plus de risques de remplir une ordonnance d’opioïdes des semaines ou des mois plus tard. Ceux âgés de 19 à 30 ans sont les plus à risque de développer une dépendance.

«Aux États-Unis, l’extraction des dents Wisdom est pratiquée 3,5 millions de fois par an, et de nombreux dentistes prescrivent systématiquement des opioïdes au cas où les patients en auraient besoin pour soulager la douleur post-opératoire», déclare le Dr Calista Harbaugh, chercheur et résident en chirurgie au université, dans un communiqué de presse .

«Jusqu’à présent, nous n’avions pas de données sur les risques à long terme liés à l’utilisation d’opioïdes après l’extraction d’une dent de sagesse», a-t-elle ajouté. «Nous constatons à présent qu’un nombre considérable d’entre eux rempliront des ordonnances d’opioïdes longtemps après que nous nous attendions à ce qu’ils aient besoin d’être rétablis, et le principal prédicteur de l’utilisation persistante est de savoir s’ils exécutent ou non cette ordonnance initiale.»

Les auteurs de l’étude ont utilisé des données d’assurance pour déterminer ce qui se produit lorsque des personnes n’ayant pas été exposées à des opioïdes reçoivent et remplissent leur première ordonnance d’opioïdes. Les chercheurs ont examiné le résultat de la «naïve aux opioïdes» – ceux qui n’avaient pas eu une ordonnance d’opioïde dans les six mois précédant l’extraction de la dent de sagesse ou une procédure médicale nécessitant une anesthésie l’année suivant celle de l’extraction de la dent de sagesse.

Les données ont révélé que 1,3% des 56 686 patients ayant reçu une ordonnance d’opioïdes ayant consommé des opioïdes entre 2009 et 2015 étaient devenus des utilisateurs d’opioïdes persistants, ce qui signifie que ces personnes ont eu deux autres ordonnances ou plus d’opioïdes au cours de l’année suivante, et ce pour n’importe quelle raison. .

Parmi les 14 256 patients souffrant de dents de sagesse qui n’ont pas rempli d’ordonnance liée à une dent de sagesse, seulement 0,5% en ont eu une l’année suivante.

Harbaugh dit que ces chiffres peuvent sembler minimes, jusqu’à ce que nous prenions en compte le nombre d’extractions de dents de sagesse qui se produisent chaque année. L’approche quelque peu décontractée de la gestion de la douleur pour cette procédure courante met beaucoup de jeunes en danger, a-t-elle averti, en tenant compte d’autres facteurs possibles de la consommation d’opioïdes, tels que la santé mentale ou les problèmes de douleur chronique.

L’un des points tournants est de remplir cette prescription en premier lieu. Les chercheurs ont pu déterminer le nombre d’ordonnances exécutées, mais les données n’ont pas permis d’expliquer le nombre de pilules réellement utilisées. Les pilules qui restent sont une tentation potentielle d’utilisation abusive par l’individu ou même par d’autres personnes qui pourraient y avoir accès.

«Les patients doivent décider s’ils doivent respecter l’ordonnance et prendre le médicament, et où stocker et jeter les comprimés non utilisés. Tous ces points de décision doivent être discutés avec les patients », déclare Harbaugh. «Les patients devraient d’abord discuter avec leur dentiste de la façon de contrôler la douleur sans opioïdes. Si nécessaire, les opioïdes ne devraient être utilisés que pour soulager la douleur aiguë, si la douleur n’est pas contrôlée avec d’autres médicaments. « 

L’équipe de recherche interroge actuellement des patients et leurs parents pour savoir combien de pilules d’opioïdes ont été prises pour le traitement de la douleur après une extraction de dent de sagesse. Ils prévoient d’utiliser ces informations pour créer des directives de prescription fondées sur des preuves. Pour l’instant, ils suggèrent une offre d’opioïdes plus courte et en dernier recours.

«Il n’y a pas de recommandations de prescription spécifiques à l’extraction de dents de sagesse», déclare Harbaugh. « Avec la preuve que les anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent être tout aussi efficaces, sinon plus, une recommandation d’opioïde de sept jours peut être encore trop. »

Les résultats ont été publiés dans une lettre de recherche du JAMA du 7 août 2018.

Une étude similaire réalisée à la faculté de médecine de l’Université de Stanford a corroboré les résultats de cette recherche avec un groupe de patients plus important, composé de 754 002 personnes âgées de 16 à 25 ans, dans une base de données de recherche nationale. Sur ce groupe plus important, 12,9% (97 462 patients) ont reçu une ordonnance d’opioïde, et parmi le groupe avec une ordonnance d’opioïdes, près du tiers (30,6%) des 29 791 patients ont reçu ces ordonnances d’opioïdes d’un clinicien.

Les chercheurs ont conclu qu’il existait un lien direct entre la première exposition aux opioïdes et les cliniciens dentaires et ont conseillé de limiter ces prescriptions en raison du risque accru qu’elles posent pour la consommation et l’abus d’opioïdes.

«Près de 7% de ces patients ont eu un nouvel usage persistant au moins trois mois après la prescription initiale et près de 6% ont reçu un diagnostic de consommation abusive d’opioïdes», a déclaré le principal auteur de l’étude, le Dr Alan Schroeder, professeur clinicien de pédiatrie à Stanford, en une libération . « C’est assez alarmant. »

Cette étude est publiée dans l’édition en ligne de  JAMA Internal Medicine .

Dentifrice au charbon actif : des scientifiques mettent en garde les consommateurs

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Les dentifrices à base de charbon végétal ne seraient pas si bénéfiques pour la santé dentaire, loin de là. Une étude suggère qu’ils pourraient renfermer des substances cancérigènes, en plus d’être inefficaces pour blanchir les dents.
Les dentifrices au charbon actif pourraient être plus nocifs que bénéfiques
Connu pour ses propriétés absorbantes qui en font un très bon complément alimentaire contre les ballonnements intestinaux, le charbon végétal est également réputé pour blanchir les dents, bien que cela ne soit pas vraiment scientifiquement prouvé.

A l’heure où les ingrédients naturels sont en vogue, les dentifrices au charbon végétal se sont donc fait une place dans les rayons cosmétiques, mais pourraient être avant tout un énième ressort marketing. C’est en tout cas ce qu’assurent des chercheurs dans une nouvelle étude parue dans le British Dental Journal.

Cinquante dentifrices au charbon végétal ont ici été analysés et testés par l’équipe de recherche. Premier constat embarrassant : seuls 8% de ces dentifrices contenaient du fluor, ingrédient très intéressant voire essentiel pour lutter contre les caries. Mais même dans les dentifrices contenant du fluor (sous forme de fluorure), ce dernier pourrait ne pas être aussi efficace que prévu du fait de la présence du charbon végétal.

Les scientifiques ont ensuite testé les 50 dentifrices auprès de volontaires, dont 50% ont déclaré avoir ressenti des bienfaits à l’utilisation de ces dentifrices, et 30% affirmé qu’il semblait avoir fortifié leurs dents. Ces dentifrices au charbon végétal se voulaient aussi “détoxifiants”, “antibactériens” et “antifongiques”, mais les chercheurs indiquent qu’il ne s’agit que d’arguments marketing sans preuves scientifiques solides. Tous les dentifrices étaient étiquetés comme permettant un blanchiment dentaire, mais selon l’étude, ils ne contiendraient pas assez d’agents blanchissants pour avoir un quelconque effet visible.

En outre, les analyses ont montré que certains de ces dentifrices pouvaient contenir des hydrocarbures polyaromatiques cancérogènes, des produits chimiques naturellement présents dans le charbon végétal, dans le pétrole brut ou encore dans l’essence.

Pour Linda Greenwall, auteure principale de l’étude et membre de la British Dental Society, “l’aspect le plus préoccupant de la commercialisation des pâtes et poudres dentaires de charbon végétal semble être la forte insistance [des fabricants] sur les avantages qui attirent les consommateurs, et qui doivent encore être réfutés. Cette approche ‘scientifiquement revendiquée jusqu’à preuve du contraire’ est privilégiée par rapport à une promotion étayée et fondée sur des preuves”. Aussi la chercheuse conseille-t-elle aux consommateurs de rester prudents et dans tous les cas de privilégier les dentifrices contenant du fluor pour lutter efficacement contre les caries.

Source : The Independent

Traitement de la fluorose par infiltration avec la résine ICON étape par étape

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L’infiltration de caries microinvasives Icon peut être utilisée non seulement pour masquer des taches blanches cariogènes sur des surfaces lisses. Une fluorose légère à modérée peut également être traitée avec succès – de manière esthétique et en douceur – en une seule séance. Dans cette vidéo, la Dre Marie Clement montre clairement les étapes de traitement du traitement par infiltration, aussi simples que simples. De la gravure préparatoire et infiltration avec une résine très fluide au résultat esthétique. Remarque: les coûts de ce traitement dépendent du cas concret et sont définis par le dentiste.

L’ibuprofène et l’acétaminophène sont meilleurs que les opioïdes pour traiter la douleur dentaire

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Des chercheurs de la School of Dental Medicine de la Case Western Reserve University ont examiné les résultats de plus de 460 études publiées et ont déterminé que les opioïdes ne font pas partie des moyens les plus efficaces ni les plus durables pour contrôler la douleur dentaire.Alors que l’épidémie mortelle d’opioïdes dans le pays continue de s’aggraver, Aminoshariae et son équipe espèrent que les dentistes et autres professionnels de la santé en prendront bonne note. L’utilisation d’anti-inflammatoires non stéroïdiens tels que l’ibuprofène seul ou en association avec l’acétaminophène était globalement plus efficace que les traitements aux opioïdes. Les chercheurs ont déclaré qu’un traitement de 400 milligrammes d’ibuprofène et de 1 000 milligrammes d’acétaminophène était supérieur dans le traitement de la douleur dentaire au traitement aux opioïdes.«Ce que nous savons, c’est que la prescription de stupéfiants devrait être un dernier recours», déclare Anita Aminoshariae, auteur principal de l’étude et professeur associé au département d’endodontie de l’école dentaire, dans un communiqué . «Aucun patient ne devrait rentrer chez lui avec douleur. Cela signifie que les opioïdes sont parfois la meilleure option, mais ne devraient certainement pas être la première option. « 

Entre 21 et 29% des personnes qui se sont fait prescrire des opioïdes en abusent, tandis qu’environ 80% des consommateurs d’héroïne ont commencé avec des opioïdes. Ces dernières recherches ont également montré que la consommation d’opioïdes entraînait les pires effets indésirables pour les patients de tout âge, notamment les nausées, les vomissements, la constipation et la somnolence.

L’ibuprofène et l’acétaminophène sont beaucoup plus sûrs que tout opioïde qu’un médecin pourrait prescrire, explique Aminoshariae.

«Les meilleures données disponibles suggèrent que l’utilisation de médicaments non stéroïdiens, avec ou sans acétaminophène, offre le meilleur équilibre entre avantages et inconvénients, optimisant l’efficacité tout en minimisant les effets indésirables aigus», ajoute-t-elle.

L’ étude complète a été publiée dans l’édition d’avril 2018 du  Journal de l’American Dental Association.

BOREA lève 1,5M€ pour accélérer la commercialisation du Rayplicker

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BOREA, start-up française dans la prise numérique de teinte dentaire, accélère son développement avec la levée de 1,5M€ auprès du Groupe Turenne Capital, Du family office Mirabelle, de ses cadres clés et d’investisseurs particuliers. Face à l’engouement suscité lors de la commercialisation du Rayplicker 1.0 en 2018, BOREA poursuit son développement avec le lancement de sa nouvelle version du Rayplicker : le Rayplicker Cobra. La société fondée en 2013 par Julien Guillot et Frédérik rougier rejoints ensuite par Gilles Pierson, aujourd’hui Président de Borea et ancien Fondateur et dirigeant du Groupe acteon conçoit, fabrique et commercialise une solution de prise et d’analyse de teinte dentaire numérique. La technologie, couverte par 4 brevets, comprend un appareil de mesure (le rayplicker) associé à un logiciel de communication. Le rayplicker, solution innovante, permet aux praticiens d’enregistrer l’ensemble des paramètres esthétiques de la dent et de les communiquer sans dégradation et sans interprétation aux prothésistes. Il dispose d’un système «Plug&Play», permettant une calibration automatique du dispositif, garantissant la fiabilité et la reproductibilité de la prise de teinte. Le rayplicker Cobra propose plus de fonctionnalités ainsi qu’une compatibilité avec les systèmes de prise d’empreintes numériques et Cad/CaM.

Retrouvez cet article sur : www.lefildentaire.com – « BOREA lève 1,5M€ pour accélérer la commercialisation du Rayplicker »

Les athlètes d’élite sont sujets aux problèmes dentaires malgré le brossage quotidien

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LONDRES –  Les athlètes professionnels et olympiques sont généralement considérés d’un point de vue physique comme en parfaite santé, mais il s’avère qu’il leur est difficile de rester en bonne santé sur une partie du corps…

Une nouvelle étude intéressante menée à l’University College London (UCL) révèle que les athlètes d’élite présentent des taux élevés de maladies bucco-dentaires – en dépit du fait qu’ils se brossent les dents plus souvent que la plupart des gens.

Des chercheurs du Eastman Dental Institute de l’UCL ont interrogé 352 athlètes olympiques et professionnels sur leurs habitudes en matière d’hygiène dentaire. Les athlètes participants provenaient de plusieurs sports, tels que la natation, le rugby, le football, l’aviron, le cyclisme, le hockey et la voile. Un bilan dentaire gratuit a également été fourni à chaque athlète pour mesurer la carie dentaire, la santé des gencives et l’érosion acide.

Les examens ont révélé que 49,1% des participants avaient une carie dentaire non traitée et qu’une majorité présentait des signes précoces d’inflammation des gencives. Un autre 32% ont admis que leur santé bucco-dentaire avait déjà eu un impact négatif sur leur formation et leurs performances.

Étonnamment, malgré ces résultats dentaires moins qu’idéaux, les athlètes d’élite interrogés dans le cadre de l’étude semblent mieux prendre soin de leurs dents que la plupart des gens. L’étude a montré que 94% des athlètes déclaraient se brosser les dents au moins deux fois par jour et 44% déclaraient passer régulièrement la soie dentaire. À titre de référence, selon des recherches antérieures, seuls 75% du grand public britannique se brossent les cheveux deux fois par jour et seulement 21% utilisent la soie dentaire régulièrement.

Alors, pourquoi les athlètes d’élite ont-ils une santé buccale si mauvaise? Les chercheurs pensent que la réponse réside dans la manière dont ils maintiennent leur formation et leurs performances. Une proportion significative de 87% des personnes interrogées ont déclaré consommer régulièrement des boissons pour sportifs. 59% déclarent manger régulièrement des barres énergétiques et 70% utilisent souvent des gels énergétiques. Tous ces produits donnent aux athlètes un regain d’énergie et aident à reconstituer les électrolytes perdus, mais ils endommagent également les dents .

«Nous avons constaté que la majorité des athlètes de notre enquête ont déjà de bonnes habitudes en matière de santé bucco-dentaire : ils se brossent les dents deux fois par jour, se rendent régulièrement chez le dentiste, ne fument pas et ont une alimentation saine», déclare La chercheuse principale, la Dre Julie Gallagher du Centre pour la santé et les performances bucco-dentaires de l’UCL Eastman Dental Institute, est publiée dans un communiqué de presse . «Cependant, ils utilisent fréquemment des boissons sportives, des gels énergétiques et des barres lors des entraînements et des compétitions; le sucre contenu dans ces produits augmente le risque de carie dentaire et l’acidité de ceux-ci augmente le risque d’érosion. Cela pourrait contribuer aux niveaux élevés de carie dentaire et d’érosion acide que nous avons constatés lors des examens dentaires. »

Outre les boissons énergisantes et les suppléments, des recherches antérieures ont également montré que les athlètes peuvent traiter plus souvent de problèmes buccaux en raison de la sécheresse de la bouche provoquée par des séances d’entraînement intenses et fréquentes.

Du côté positif, les chercheurs affirment que la plupart des athlètes étudiés dans le cadre de l’étude ont exprimé le souhait de modifier leurs habitudes en matière d’hygiène buccale et d’améliorer leur santé bucco-dentaire globale.

«Les athlètes étaient disposés à envisager des changements de comportement, tels que l’utilisation accrue de fluorure dans les bains de bouche, des visites plus fréquentes chez le dentiste et une réduction de leur consommation de boissons pour sportifs, afin d’améliorer leur santé bucco-dentaire», explique le Dr Gallagher. «Nous avons par la suite demandé à certains d’entre eux et aux membres de l’équipe de soutien de nous aider à concevoir une étude d’intervention pour la santé bucco-dentaire basée sur la théorie contemporaine du changement de comportement et nous publierons bientôt les résultats.»

L’ étude est publiée dans le  British Dental Journal.

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