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Le cannabis serait plus dangereux pour les dents que la cigarette

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Illustration Cannabis - Finistère

En Belgique, la Société de médecine dentaire alerte sur les dangers du cannabis, qui serait plus risqué pour les dents que le tabac. Le THC est ainsi à l’origine de nombreuses maladies bucco-dentaires.

Érosion dentaire, caries, troubles sensoriels, mycoses ou même lésions précancéreuses : fumer du cannabis serait plus dangereux pour les dents que fumer du tabac. Les professionnels de la société de médecine dentaire belge alertent sur ce phénomène auprès du quotidien Le Soir.

« Les dentistes sont nombreux à constater les effets néfastes du cannabis au niveau de la santé bucco-dentaire », explique ainsi Véronique Seha, dentiste généraliste et chargée de cours sur l’impact du tabagisme sur la santé bucco-dentaire au Fonds des affections respiratoires (Fares).

Le THC diminue la production de salive

Chez les fumeurs de marijuana, les professionnels ont remarqué davantage de « colorations, de l’érosion dentaire, plus de caries, plus de dents manquantes, des troubles sensoriels, des mycoses et des lésions précancéreuses ». Véronique Seha ajoute que « la dose et la durée de la consommation constituent des facteurs aggravants ».

Le THC, la substance active contenue dans le cannabis, agit sur le système immunitaire. Il diminue la production de salive ce qui a pour effet de modifier la flore buccale et de rendre la plaque dentaire plus difficile à éliminer lors du brossage.

Le docteur Seha conseille donc de favoriser la prévention : « Tout fumeur de cannabis, comme de tabac, devrait consulter régulièrement son dentiste, qui pourrait l’informer sans juger […]. Il est important de créer une relation de confiance pour aborder ce sujet délicat et permettre ainsi au consommateur de discuter sereinement avec le praticien ».

 

Source : https://www.ouest-france.fr/sante/le-cannabis-serait-plus-dangereux-pour-les-dents-que-la-cigarette-5921926?fbclid=IwAR13PIP6a_4OqvdhFmPmj4_caDAFhf762QK42aALDY6Kz-3zdP95IDVlKj0

A Toulouse, un cabinet dentaire adapté aux patients et praticiens handicapés !

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De très nombreux cabinets dentaires ne sont pas encore adaptés aux personnes à mobilité réduite, que ce soit pour le praticien ou le patient. Alors pour pallier à cette carence, l’université Paul Sabatier et le CHU de Toulouse ont aménagé un espace adapté aux personnes en situation de handicap.

Pour les étudiants, c’est une première : les postes de soin en odontologie sont désormais accessibles aux étudiants handicapés en fauteuil roulant à Toulouse ! Les nouveaux locaux adaptés permettent ainsi à Charles-Adrien, un étudiant paraplégique de 4ème année, de poursuivre normalement ses études en tant qu’externe dans le service d’odontologie du CHU.

Un dispositif unique en Europe a été mis en place : il s’agit d’un fauteuil de travail adapté aux commandes manuelles exclusives. Une fois que l’étudiant aura finalisé son diplôme, ce cabinet dentaire adapté sera ensuite dédié à la prise en charge des patients à mobilité réduite, et notamment en brancard !

Source : France 3

KENDA Maximus, meilleur polissoir sur composite d’après une étude réalisé par la faculté de Strasbourg

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Une étude universitaire réalisée par la Faculté de Chirurgie dentaire de Strasbourg en 2016 et présentée à San Francisco en Mars 2017 a révélé que le polissoirs pour composite Maximus de chez KENDA était le plus efficient parmi 7 des polissoirs les plus distribués sur le marché du dentaire.

La performance est encore plus remarquable car l’état de surface parfait rendu par le MAXIMUS est réalisé en 1 seule étape et avec un seul instrument alors que tous les autres systèmes requièrent 2, 3, 4 ou plus d’instruments et donc autant d’étapes.

Le seul polissoir s’approchant des résultats du Maximus est le plus complexe à utiliser et requiert 7 instruments quand le Kenda réalise un état de surface supérieur tout seul !

source : https://www.ab-dental.com/blog/maximus_poster_fac/

Acteon racheté par une holding

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La holding familiale Dentressangle a annoncé lundi être entrée en négociations exclusives pour prendre une participation majoritaire au capital du groupe Acteon, spécialisé dans l’équipement dentaire et médical de haute technologie. Le cédant est Bridgepoint Development Capital (BDC), le fonds du groupe Bridgepoint spécialisé dans les valeurs petites et moyennes, selon un communiqué de l’entreprise.

Basé à Mérignac, en banlieue bordelaise, Acteon a vu son chiffre d’affaires passer de 119 millions d’euros en 2014, à 162 millions en 2017. L’entreprise, présente notamment aux États-Unis, en Chine, en Espagne et au Japon, réalise 85% de son activité hors de France.

Dentressangle la présente comme le « leader mondial » des caméras intra-orales et des ultrasons de puissance utilisés en chirurgie dentaire. La société emploie 850 personnes sur cinq sites industriels.

Dentressangle entend « accélérer le développement » de sa future filiale, notamment en accroissant sa recherche et développement, en ayant accès à de nouveaux pays et en recourant à la croissance externe.

 

source : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2018/07/30/97002-20180730FILWWW00045-dentaire-la-famille-dentressangle-va-racheter-acteon.php#fig-page

La nouvelle stratégie de Straumann

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L’UNPPD a été informée par son homologue, l’organisation Suisse des prothésistes dentaires (Swiss Dental Laboratories), de la décision de la maison Straumann d’exploiter ses propres laboratoires et donc de contourner les laboratoires classiques indépendants en proposant et en livrant directement aux chirurgiens-dentistes, tous les types de reconstruction.

Une stratégie qui attaque et concurrence les laboratoires de prothèse dentaire suisses et que l’UNPPD dénonce.

A date, cette décision ne s’applique pas encore au marché français. Néanmoins, fidèle à sa mission de défense de la profession des prothésistes dentaires, l’UNPPD rencontrera d’ici la fin du mois la filiale France de la maison Straumann.

La nouvelle stratégie de Straumann

Implants dentaires et vapotage font mauvais ménage

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La fumée de cigarette électronique nuirait aux cellules qui assurent l’intégration osseuse des implants dentaires

La fumée de vapotage a des effets néfastes sur des cellules essentielles à la formation de tissu osseux autour des implants dentaires.

C’est ce que démontre une étude publiée dans le Journal of Oral Implantology par une équipe de recherche de la Faculté de médecine dentaire et du Groupe de recherche en écologie buccale (GREB) de l’Université Laval. Les chercheurs estiment que la fumée de vapotage pourrait donc, tout comme la fumée de cigarette, contribuer à l’échec de la pose d’implants dentaires.

L’ancrage des implants et leur intégration aux mâchoires dépendent de cellules appelées ostéoblastes, rappelle le responsable de l’étude, Mahmoud Rouabhia. Ces cellules travaillent en groupe pour assurer la synthèse de la matrice osseuse et sa minéralisation. « Les ostéoblastes jouent un rôle clé dans l’ostéointégration du pivot de titane d’un implant dentaire », résume le chercheur.

On savait déjà que la fumée de cigarette affectait le taux de réussite des implantations dentaires. Afin de déterminer si la fumée de cigarette électronique pouvait, elle aussi, contribuer à ces échecs, les chercheurs ont cultivé des ostéoblastes in vitro sur de minuscules disques de titane. Après 24 heures, ces cultures ont été placées dans de petites chambres où les chercheurs les ont exposées une fois par jour, pendant quelques minutes, soit à la fumée de cigarette électronique, avec ou sans nicotine, ou à la fumée de cigarette.

Les résultats montrent qu’une seule exposition de 30 minutes à l’une des trois fumées réduit de près de moitié l’abondance des ostéoblastes qui adhèrent aux disques de titane. Après trois expositions de 30 minutes réparties sur trois jours, les ostéoblastes sont environ quatre fois moins abondants dans les cultures exposées aux trois fumées que dans les cultures témoins. L’effet est moins prononcé pour la fumée de vapotage sans nicotine, mais les ostéoblastes sont tout de même deux fois moins abondants que dans les cultures témoins.

« La fumée de la cigarette électronique semble nuire au contact entre les ostéoblastes et le titane. De plus, nos résultats montrent que cette fumée réduit la production de ciment par ces cellules. Cela suggère que les implants pourraient mal s’intégrer à l’os immédiatement après l’intervention et que leur ancrage pourrait être compromis à plus long terme », avance le professeur Rouabhia.

Cette étude ne constitue pas une démonstration directe d’un lien entre le vapotage et l’échec de la pose d’implants dentaires, reconnaît le chercheur. « Toutefois, par mesure de précaution, les dentistes et leurs patients qui vapotent doivent considérer que la fumée de vapotage est, tout comme la fumée de cigarette, un facteur de risque d’échec dans l’intégration et la rétention des implants dentaires. »

Les autres auteurs de l’étude sont Humidah Alanazi, Hyun Jin Park et Reginaldo Bruno Gonçalves, de la Faculté de médecine dentaire et du GREB.

La fumée de cigarette électronique semble nuire au contact entre les cellules responsables de la formation de tissu osseux et les implants. De plus, elle entraverait la formation de ciment par ces cellules. Ces résultats suggèrent que les implants pourraient mal s’intégrer à l’os immédiatement après l’intervention et que leur ancrage pourrait être compromis à plus long terme.

https://www.techno-science.net/actualite/implants-dentaires-vapotage-font-mauvais-menage-N17787.html

Tourisme dentaire : les chiffres en baisse

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Les dernières données de l’assurance maladie montrent une baisse des soins dentaires délivrés en Europe, et notamment une diminution du recours aux soins prothétiques et implantaires.

Les chiffres 2017 du Centre national des soins à l’étranger (CNSE) indiquent que le phénomène du tourisme dentaire connaît un certain tassement. En effet, la dépense en soins dentaires effectués à l’étranger par les Français affiche une diminution significative de 18,6 % par rapport à 2016. Dans le détail, les assurés ont dépensé près de 12 millions d’euros l’an passé (contre 14,4 millions d’euros en 2016). Depuis 2015, la part des soins dentaires réalisés hors de France ne représente que 0,1 % de la prise en charge globale des soins dentaires par l’assurance maladie. On est loin de la cohorte massive et nombreuse des candidats à l’aller-retour implanto-prothétique dans les « paradis dentaires » de l’Europe qui ont pu faire illusion il y a quelques années.

La médecine bucco-dentaire est l’une des professions médicales les plus exposées au tourisme médical. Mais les tarifs très attractifs des soins prothétiques et implantaires pratiqués dans les pays de l’Est ne sont pas les seuls déterminants du choix des Français en matière de soins bucco-dentaires. Certaines contraintes constituent en effet un frein au déplacement : le voyage lui-même peut être dissuasif, de même que des actes chirurgicaux lourds réalisés en très peu de temps, des conditions d’exercice hétérogènes en termes de normes, etc. Quoi qu’il en soit, au sein de l’Union européenne, les patients sont libres de se faire soigner où ils le souhaitent et, par conséquent, les soins, y compris en matière prothétique, seront remboursés.

Que dit le CNSE sur la question ? En 2017, l’organisme a étudié 26 576 dossiers de patients (contre 28 469 en 20 16) dont les soins ont été délivrés dans l’UE, la part des actes pratiqués hors UE étant anecdotique : 1 576 dossiers (contre 1 525 en 2016). Sans surprise, la grande majorité des dépenses effectuées à l’étranger concerne des soins prothétiques (63,9 %) suivis par les soins conservateurs (20 %), contre respectivement 70,7 % et 16,6 % en 2016. Avant d’analyser les chiffres, il convient de distinguer deux catégories de soins bucco-dentaires dans l’Union : les soins implantaires, réalisés principalement en Europe de l’Est, et les soins courants, notamment conservateurs, dispensés en Espagne, au Portugal, en Italie et en Allemagne, qui concernent une population frontalière, c’est-à-dire des patients qui retournent dans leur pays d’origine à l’occasion de leurs vacances ou encore des personnes qui résident une grande partie de l’année dans l’un de ces pays.

Globalement, la dépense moyenne par dossier s’élève à environ 420 euros (contre 480 euros en 2016), et le remboursement moyen par dossier à 108 euros (contre 105 euros en 2016). Depuis cinq ans, cinq pays (Hongrie, Espagne, Portugal, Italie, Allemagne) concentrent 71,9 % des dossiers dentaires et 81,1 % des dépenses de santé des assurés. De plus, il est intéressant de relever que la part des soins prothétiques diminue en faveur de celle des soins conservateurs dans ces cinq pays.

Trois profils de coût se dégagent :

• La Hongrie (coût des soins supérieur à 1 100 euros en moyenne) ;

• L’Italie, l’Espagne et la Roumanie (entre 500 et 700 euros) ;

• Les autres pays (montant inférieur à 400 euros).

D’où viennent les Français dont les soins sont effectués à l’étranger ? À partir des données des caisses du régime général, le CNSE note que les soins dentaires concernent l’ensemble des CPAM. Mais dans le détail, 33,3 % des assurés sont affiliés aux caisses d’Île-de-France, loin devant les régions Grand-Est (13,5 %) et Auvergne–Rhône–Alpes (10,5 %). En somme, les chiffres du CNSE montrent que la médecine buccodentaire n’est pas une activité comme les autres et que le patient n’est pas un « client ». C’est la confiance des Français en une profession tout entière qui se joue en filigrane.

 

http://www.ordre-chirurgiens-dentistes.fr/actualites/annee-en-cours/actualites.html?tx_ttnews%5Btt_news%5D=773&cHash=65cfb01ca165afb4252ee202d475a6c0

Traçabilité des dispositifs médicaux sur mesure, une obligation légale pas toujours respectée selon l’UNPPD

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Dans un communiqué de presse du 14 Septembre 2018, l’Union des Patrons Prothésistes Dentaires rappelle l’obligation de traçabilité des DMSM.

Une prothèse dentaire est soumise aux exigences de la règlementation européenne sur les dispositifs médicaux sur-mesure, pour laquelle la plus grande rigueur en matière de provenance et de qualité des matériaux utilisés est indispensable. Conçus par des professionnels prothésistes dentaires, ces dispositifs sont destinés à être présents dans la bouche des patients pour plusieurs dizaines d’années. A l’heure de la réforme des soins dentaires, l’UNPPD, seule institution représentative de la profession, insiste sur la nécessaire traçabilité de ces dispositifs, garante de sécurité pour les patients.

11.4 millions de prothèses dentaires sont posées chaque année en France, dont 20% sont fabriquées à l’étranger, principalement en Asie. Depuis l’arrêté du 30 mai 2018, lorsqu’un acte inclut la fourniture d’un dispositif médical sur mesure, le chirurgien-dentiste doit remettre au patient un document contenant le nom et l’adresse du fabricant ou le nom et l’adresse de son mandataire si le fabricant n’a pas de siège social dans l’UE. Le professionnel de santé, ici le chirurgien-dentiste, doit dorénavant remettre aux patients la déclaration de conformité du dispositif médical sur-mesure. Cette traçabilité doit être conservée au minimum cinq ans au laboratoire. Malgré tout, la DGCCRF** a mené une enquête qui révèle des pratiques commerciales trompeuses (utilisation abusive de la mention « Fabriquée en France », allégations valorisantes infondées, absence de transparence sur l’origine du dispositif…).

L’UNPPD, invitée aux réunions de travail sur la mise en œuvre de la Convention Dentaire, attire l’attention sur l’importance d’une fabrication française de ces dispositifs médicaux. Son président Laurent Munerot souligne : « Le patient doit être informé de l’origine de la prothèse. Refuser d’indiquer l’origine, c’est refuser d’informer le patient de la différence entre une prothèse française et une prothèse d’importation. Il doit pouvoir faire son choix en toute connaissance de cause. Quant au chirurgien-dentiste, il doit assumer ses responsabilités y compris le montant de ses honoraires ».

Avec la réforme des soins dentaires l’essor des prothèses de moindre qualité et d’importation est prévisible. Pourtant, l’objectif d’accès aux prothèses dentaires pour tous les patients pourrait être atteint sans que ce soit au détriment de la qualité, grâce à une information plus transparente et à la dissociation de l’acte des prothèses dentaires.

La solution pour la sécurité et la santé des français, réside dans l’information rigoureuse des patients sur l’origine de fabrication des prothèses dentaires. L’UNPPD restera vigilante et veillera à ce que les laboratoires d’importation indiquent leur réel lieu de fabrication et d’activité sans se cacher derrière leurs enseignes françaises.

**Enquête DGCCRF

Affichage des honoraires, nouvelle réglementation

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Pro.imagera.fr

Depuis le 1er juillet, de nouvelles obligations en matière d’affichage des honoraires nous incombent. Trois modèles d’affiche sont téléchargeables sur le site de l’Ordre pour se mettre en conformité.

Depuis le 1er juillet 2018, de nouvelles obligations légales liées à l’affichage des honoraires incombent aux chirurgiens-dentistes. En effet, l’affiche – déjà obligatoire – doit désormais contenir un certain nombre d’informations supplémentaires à porter à la connaissance des patients concernant les prestations de soins et leur tarification. Pour aider les praticiens à se conformer à ces nouvelles obligations, le Conseil national met à leur disposition trois modèles d’affiche réactualisés.
Voilà la marche à suivre.

1) Le praticien télécharge et imprime sur le site de l’Ordre l’un des trois modèles d’affiche suivants correspondant à sa situation :
– « Votre chirurgien-dentiste est conventionné » ;
– « Votre chirurgien-dentiste n’est pas conventionné et peut donc fixer librement le montant de ses honoraires » ;
– « Votre chirurgien-dentiste est conventionné mais bénéficie d’un droit à dépassement ».

2) Le praticien renseigne les tarifs des honoraires ou les fourchettes des tarifs des honoraires pratiqués sur les actes les plus courants, ainsi que les tarifs de remboursement de l’assurance maladie associés à ces actes.

3) L’affiche doit être placée dans la salle d’attente ainsi que dans le lieu d’encaissement des honoraires de façon lisible et visible par les patients.

4) Ce dispositif est entré en vigueur depuis 1er juillet 2018. En cas de non-conformité, le praticien s’expose, par injonction de la DGCCRF, à une demande de mise en conformité qui, si elle n’est pas suivie d’effets, peut conduire au paiement d’une amende administrative de 3 000 euros.

Plus d’information ici.

Registre public d’accessibilité : info et intox

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Les tentatives d’escroquerie se multiplient autour du registre public d’accessibilité, document que les praticiens doivent mettre à la disposition des patients. L’Ordre en propose un modèle en téléchargement.

Chirurgiens-dentistes, avez-vous constitué votre registre public d’accessibilité (RPA) ? Si tel n’est pas le cas, vous trouverez ici tout ce qu’il faut savoir sur le RPA et comment le produire. Depuis septembre 2017, les praticiens doivent constituer et tenir un RPA dans leur cabinet dentaire : il s’agit d’une obligation légale. Ce document vise à informer le public sur le degré d’accessibilité du local professionnel et des prestations fournies, en l’occurrence par le chirurgien-dentiste.

Il s’agit d’un outil de communication entre l’établissement et son public. Le RPA s’adresse ainsi aux patients du cabinet dentaire, qu’il soit neuf ou installé dans un cadre bâti existant.

Attention, des sociétés tentent d’escroquer (par téléphone, mail, courrier, etc.) les praticiens en les incitant, sous peine de sanction, à inscrire le cabinet dentaire sur un « registre d’accessibilité ». Il s’agit d’arnaques dans la mesure où le RPA est gratuit. Le Conseil national met d’ailleurs à la disposition de la profession un modèle de RPA spécifique à la profession, à compléter en une quinzaine de minutes par les chirurgiens-dentistes.

Nous venons de le dire, avec l’obligation de mise en accessibilité des établissements recevant du public, dont les cabinets dentaires, les escroqueries se sont rapidement développées. L’élaboration obligatoire d’un RPA n’échappe pas à la règle. En effet, beaucoup de praticiens ont fait part à l’Ordre de démarchages agressifs (par téléphone, mail, courrier, fax, etc.) par des entreprises privées se présentant comme des organismes officiels. Ces dernières les incitent à inscrire leur registre public d’accessibilité sur des sites Internet imitant ceux d’organismes officiels, et ce, évidemment, contre paiement. C’est pourquoi, la Délégation ministérielle à l’accessibilité (DMA) invite les praticiens à la plus grande vigilance et à garder à l’esprit certains réflexes de bon sens : consulter les sites Internet gouvernementaux, se méfier des méthodes jugées agressives et, surtout, ne jamais donner ses coordonnées bancaires par téléphone.

En cas de malversation avérée, ne pas hésiter à exiger le remboursement et à saisir la justice. La DMA a édité un document expliquant comment reconnaître un démarchage malintentionné et quoi faire si l’on s’estime lésé.

 

source : http://www.ordre-chirurgiens-dentistes.fr/actualites/annee-en-cours/actualites.html?tx_ttnews%5Btt_news%5D=756&cHash=a461f7cf91f388a378ad602a483ad2c8

Les nouveaux progrès en matière d’implantologie dentaire grâce au numérique

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Patrick Missika, professeur en chirurgie dentaire à l’Université Paris II était l’invité de Votre santé m’intéresse, présenté par Alain Ducardonnet, sur BFM Business.

Mycoses, lésions, décoloration… Les dentistes mettent en garde contre les dangers du cannabis

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Coloration des dents, caries, troubles sensoriels, mycoses… Le cannabis fait également un carnage dans la bouche des fumeurs, bien plus que le tabac, alertent les dentistes de la Société de médecine dentaire belge.

«Les dentistes sont nombreux à constater les effets néfastes du cannabis au niveau de la santé bucco-dentaire », a expliqué au quotidien belge Le Soir Véronique Seha, dentiste généraliste et chargée de cours sur l’impact du tabagisme sur la santé bucco-dentaire au Fonds des affections respiratoires (Fares).

« La dose et la durée de la consommation constituent des facteurs aggravants »

« La dose et la durée dans le temps de la consommation constituent des facteurs aggravants », souligne Véronique Seha qui précise que les personnes fumant le cannabis sont plus susceptibles d’être victimes de « colorations, d’érosion dentaire, de caries, de dents manquantes, de troubles sensoriels, de mycoses et lésions précancéreuses ».

La substance active contenue dans le cannabis, le THC, est le principal responsable des problèmes buccaux. Les dentistes estiment que cette substance modifie la flore buccale, diminue la production de salive, épaissit et rend la plaque dentaire plus collante et difficile à éliminer. «  Tout fumeur de cannabis devrait consulter régulièrement son dentiste, qui pourrait l’informer sans juger, dépister les atteintes bucco-dentaires, les soigner voire, si nécessaire, référer le patient à un autre spécialiste », précise la dentiste Véronique Seha.

 

https://www.20minutes.fr/societe/2320611-20180813-mycoses-lesions-decoloration-dentistes-mettent-garde-contre-dangers-cannabis

LYNCH Biologics clôt la transaction concernant l’achat de la matrice améliorée du facteur de croissance GEM 21S® pour la régénération osseuse…

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FRANKLIN, Tennessee, 28 septembre 2018 /PRNewswire/ — LYNCH Biologics LLC (LBIO) a annoncé aujourd’hui avoir clos une transaction avec Luitpold Pharmaceuticals Inc. (LPI), en vertu de laquelle LBIO a acquis les droits relatifs à la matrice améliorée du facteur de croissance GEM 21S, ainsi que certains actifs supplémentaires liés aux activités de régénération dentaire de LPI. La transaction transfert tous les droits de propriété à LBIO pour la commercialisation mondiale de GEM 21S, y compris les droits de production pour la formulation, le remplissage et la finition en aval. LYNCH Biologics commercialisera le produit GEM 21S avec une suite de produits biologiques régénératifs complémentaires directement aux chirurgiens stomatologistes, parodontistes, et dentistes spécialisés en implantologie par le biais de sa division crânio-maxillo-faciale. Les termes de la transaction n’ont pas été divulgués.

À propos de LYNCH Biologics LLC

Lynch Biologics (« LBIO » ou « la société »), est une société de biotechnologie qui se concentre sur la médecine régénérative, en utilisant des protéines bioactives spéciales pour donner aux professionnels de la santé des options de traitement pour les patients confrontés à divers problèmes complexes de cicatrisation, du mal perforant plantaire aux opérations chirurgicales dentaires majeures et tout ce qui se trouve en les deux… presque littéralement de la tête aux pieds. Cette mission est atteinte grâce à la commercialisation de produits biologiques, biomatériaux et thérapies cellulaires innovants acquis à travers des fusions et acquisitions, des octrois de licences et de la R&D réalisée en interne. La commercialisation est effectuée grâce à une force de vente directe aux États-Unis et des partenaires sous licence dans le monde entier. La société intervient actuellement dans quatre domaines d’intérêt : l’amélioration de la cicatrisation des plaies telles que le mal perforant plantaire et les complications post-opératoires des plaies, la régénération des os et des tissus mous dentaires/crânio-faciaux, l’approvisionnement en facteurs de croissance protéiniques utilisés dans la fabrication des thérapies par cellules souches mésenchymateuses et la mondialisation de ses activités. Le Dr. Sam Lynch, fondateur et PDG de LBIO, est le fondateur et l’ancien PDG de BioMimetic Therapeutics, Inc. Il est l’inventeur de la technologie et a dirigé l’équipe qui a obtenu avec succès l’accord de commercialisation aux États-Unis et à l’étranger de GEM 21S et d’Augment Bone Graft.

À propos de Luitpold Pharmaceuticals, Inc.

Luitpold Pharmaceuticals, Inc. est une société du groupe Daiichi Sankyo Co., Ltd. au Japon. Depuis 1994, Luitpold est fière de commercialiser des produits de greffe osseuse et de régénération des tissus utilisés par les professionnels dentaires dans le monde entier à travers sa division Osteohealth. L’objectif majeur de la société est de développer et de distribuer, avec professionnalisme et intégrité, des produits de la meilleure qualité dont il a été prouvé scientifiquement et cliniquement qu’ils améliorent les soins dispensés aux patients.

Pour de plus amples informations, veuillez visiter www.lynchbiologics.com.

Contacts

LYNCH Biologics LLC
Marie Bukowski, 615-567-6364 ou 615-397-0688 (mobile)
Directrice du marketing et de la formation médicale

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Sunstar soutient la publication d’un  guide de consultationsur la prévention et le traitement du cancer buccal

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BUENOS AIRES, Argentine, September 3, 2018 /PRNewswire/ —

Sunstar est fière d’annoncer le lancement de Oral Cancer: Prevention and patient management (Cancer buccal : prévention et prise en charge des patients), une guide de consultation de la Fédération dentaire internationale (FDI) destiné aux professionnels de la santé buccale. Ce guide est soutenu par Sunstar et vise à atténuer les effets du cancer buccal en faisant la promotion de dépistages complets du cancer buccal en tant que partie intégrante des contrôles dentaires de routine. Il met en exergue les facteurs de risque les plus fréquents pour le cancer buccal et souligne l’importance d’un diagnostic et d’un traitement précoces en fournissant des solutions pratiques pour le parcours de soins.

Le guide a été publié aujourd’hui à l’occasion du Congrès dentaire mondial de la FDI à Buenos Aires, en Argentine. « La FDI sait bien que les professionnels de santé buccale jouent un rôle essentiel dans la lutte contre le cancer buccal », a déclaré le Dr Kathryn Kell, présidente de la FDI. « Le cancer buccal figure parmi les 10 cancers les plus fréquents à l’échelle mondiale, mais les professionnels de santé buccale peuvent aider à réduire ses effets grâce à une détection précoce et à une intervention thérapeutique rapide. »

Le guide de consultation fournit aux professionnels de santé buccale des informations à la fois concises et complètes sur la prévention, les facteurs de risque et la prise en charge du cancer buccal. Il les aide également à maximiser les examens cliniques et les diagnostics grâce à un arbre de décision. Il se concentre sur les sites les plus courants du cancer buccal : la langue, l’intérieur des joues et le plancher buccal.

« Chez Sunstar, nous enquêtons en permanence sur la puissance d’une approche de santé holistique pour prévenir et traiter des conditions potentiellement fatales aussi tôt que possible. Ce guide de consultation est un excellent exemple d’outil qui soutient les professionnels de santé dans leurs dépistages quotidiens auprès des patients. Les contrôles dentaires peuvent constituer le cadre idéal pour la détection précoce de plusieurs maladies, donnant aux professionnels dentaires un rôle de prévention central », a commenté le Dr Marzia Massignani, responsable principal des affaires scientifiques chez Sunstar.  

Les taux de survie du cancer buccal peuvent être améliorés grâce à une détection précoce. Il est donc vital que les professionnels de santé buccale comme les dentistes, les hygiénistes dentaires, les thérapeutes dentaires et les thérapeutes de santé buccale comprennent l’importance de réaliser un examen de dépistage buccal approfondi pour les lésions malignes et potentiellement malignes dans le cadre de leurs examens cliniques de routine, même chez les populations plus jeunes considérées comme à plus faible risque de cancer buccal. Le guide de consultation encourage et facilite l’intégration de cet examen dans les contrôles dentaires de routine.

« Environ 500 000 nouveaux cas de cancers buccaux et oropharyngiens sont diagnostiqués chaque année, dont les trois quarts dans le monde en développement », a ajouté le Dr Ihsane Ben Yahya, membre du conseil de la FDI et expert en cancer buccal. « La FDI s’engage à réduire le fardeau des maladies buccales et à améliorer les résultats de santé buccale à l’échelle mondiale. En élaborant un outil informatif pour prévenir, détecter rapidement et traiter le cancer buccal, nous agissons conformément à notre mission de mener le monde vers une santé bucco-dentaire optimale. »

Le guide Oral Cancer: Prevention and patient management peut être consulté et téléchargé sur le site Internet de Sunstar GUM. Des exemplaires imprimés en anglais et en espagnol seront distribués lors du Congrès dentaire mondial de la FDI au stand de Sunstar à Buenos Aires, en Argentine.

À propos de Sunstar   

Axée sur l’avenir, la vision de Sunstar est d’être le pionnier d’une nouvelle ère d’innovation, de défendre de nouveaux partenariats revigorants et de s’exprimer au cœur d’une nouvelle génération de consommateurs du monde entier. Nous nous efforçons d’aider les gens partout dans le monde à bénéficier d’une meilleure santé et à améliorer leur qualité de vie grâce à nos produits et services. En s’appuyant sur sa devise d’entreprise « Toujours s’efforcer d’aider les gens partout dans le monde à bénéficier d’une meilleure santé et à améliorer leur qualité de vie », le groupe Sunstar continuera d’être attentif et réactif aux valeurs et attentes variées de ses consommateurs du monde entier. http://www.sunstar.com/company/philosophy

À propos de la Fédération dentaire internationale (FDI)   

La Fédération dentaire internationale (FDI) est une organisation de membres internationale qui agit à titre de représentante principale de plus d’1 million de dentistes dans le monde entier. Ses membres comprennent quelque 200 associations dentaires nationales (NDA) et des groupes spécialisés dans près de 130 pays. La FDI a une vision ambitieuse : mener le monde vers une santé bucco-dentaire optimale. En tant que voix unifiée du corps dentaire, nous travaillons en étroite collaboration avec nos membres, des experts en santé buccale, des professionnels paramédicaux ainsi que des partenaires du secteur afin d’atteindre cette vision ensemble. http://www.fdiworlddental.org ; http://www.facebook.com/FDIWorldDentalFederation ; http://www.twitter.com/fdiworlddental

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Nouveau scandale sanitaire en Espagne : des centaines de patients des centres dentaires iDental manifestent

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Ce sont près de 400 personnes qui se sont rendues devant le Ministère de la Santé à Madrid le 18 juillet dernier, pour faire part de leur mécontentement. Depuis la fermeture des cliniques dentaires low cost iDental, ces patients se retrouvent aujourd’hui dans des situations très délicates et réclament l’intervention du gouvernement.

Scandant des slogans tels que « iDental en prison », « iDental, fraude nationale », les patients attendent de pouvoir récupérer leur dossier médical et espèrent des conseils juridiques gratuits pour obtenir réparation.

Le gouvernement espagnol dit étudier toutes les solutions possibles (médicales et financières) et une demande d’enquête a été soumise au Bureau du Procureur.

En attendant, certains patients qui ont emprunté beaucoup d’argent pour se soigner, ne peuvent même plus faire face à leurs dépenses quotidiennes. Démarchés par des publicités racoleuses (de type implant à partir de 200 €), ils ont cru pouvoir se soigner à moindre coûts, mais la réalité est bien différente de leurs espoirs passés. Aujourd’hui, ils sont pressés par les établissements financiers de rembourser des soins qu’ils n’ont même pas reçus.

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