Voici un tableau comparatif pour mieux comprendre le danger du règlement arbitral.
A gauche,colonne de l’avenant 4 refusé par l’ensemble des syndicats pendant les négociations, à droite celle du règlement arbitral validé par la ministre……
Voici un tableau comparatif pour mieux comprendre le danger du règlement arbitral.
A gauche,colonne de l’avenant 4 refusé par l’ensemble des syndicats pendant les négociations, à droite celle du règlement arbitral validé par la ministre……
La réforme des tarifs des soins dentaires sera effective à partir du 1er janvier 2018. L’arrêté du ministère de la Santé, qui entérine le règlement arbitral remis par Bertrand Fragonard à Marisol Touraine début mars, a été publié ce vendredi au Journal officiel.
Ce règlement arbitral a été pris après l’échec fin janvier des négociations entre l’Assurance-maladie et les syndicats de chirurgiens-dentistes libéraux, la Fédération des syndicats dentaires libéraux (FSDL), la Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD) et Union dentaire.
Selon le règlement joint à l’arrêté, « un dispositif de rééquilibrage de l’activité dentaire est mis en place de manière échelonnée et progressive sur quatre ans, à compter du 1er janvier 2018. »
Revalorisation étalée sur 4 ans
Ainsi, les actes prothétiques (couronnes, bridges), plus rémunérateurs pour les professionnels, seront plafonnés, tandis que les soins conservateurs et de prévention (carie, détartrage) vont être revalorisés.
La revalorisation de ces soins fréquents sera « échelonnée sur quatre ans, jusqu’au 1er janvier 2021 », précise l’arrêté ministériel.
Que prévoit le règlement arbitral ?
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La Cour de Luxembourg vient de rendre une importante décision autorisant les dentistes à faire de la publicité pour les soins bucco-dentaires. Une interdiction générale et absolue de toute publicité pour des prestations de soins buccaux et dentaires est incompatible avec le droit de l’Union.
Les objectifs de la protection de la santé publique et de la dignité de la profession de dentiste peuvent néanmoins justifier un encadrement des formes et des modalités des outils de communication utilisés par les dentistes
M. Luc Vanderborght, un dentiste établi en Belgique, a fait de la publicité pour des prestations de soins dentaires. Entre 2003 et 2014, il a installé un panneau comportant trois faces imprimées, indiquant son nom, sa qualité de dentiste, l’adresse de son site Internet ainsi que le numéro d’appel de son cabinet. En outre, il a créé un site Internet informant les patients des différents types de traitement proposés au sein de son cabinet. Enfin, il a inséré des annonces publicitaires dans des journaux locaux.
Suite à une plainte émanant d’une association professionnelle de dentistes, des poursuites pénales ont été engagées à l’encontre de M. Vanderborght. En effet, le droit belge interdit de manière absolue toute publicité relative à des prestations de soins buccaux et dentaires et impose des exigences de discrétion auxquelles doit répondre l’enseigne du cabinet d’un dentiste destinée au public.
À sa décharge, le praticien soutient que les règles belges en question sont contraires au droit de l’Union, notamment à la directive sur le commerce électronique ainsi qu’à la libre prestation de services.
Dans son arrêt d’aujourd’hui, la Cour de Justice conclut que la directive sur le commerce électronique s’oppose à une législation qui, telle la législation belge, interdit toute forme de communication commerciale par voie électronique visant à promouvoir des soins buccaux et dentaires, y compris au moyen d’un site Internet créé par un dentiste.
La Cour estime en effet que, si le contenu et la forme des communications commerciales peuvent valablement être encadrés par des règles professionnelles, de telles règles ne peuvent comporter une interdiction générale et absolue de toute forme de publicité en ligne destinée à promouvoir l’activité d’un dentiste.
En outre, la libre prestation de services s’oppose à une législation nationale qui interdit de manière générale et absolue toute publicité relative à des prestations de soins buccaux et dentaires.
À cet égard, la Cour estime qu’une interdiction de la publicité pour une certaine activité est de nature à restreindre la possibilité, pour les personnes exerçant cette activité, de se faire connaître auprès de leur clientèle potentielle et de promouvoir les services qu’elles se proposent d’offrir à cette dernière.
Les brosses a dents electriques sont plébiscitées, tout autant par les praticiens que par les patients, pour leur commodité et leur efficacité sur la plaque dentaire. Pour autant, leur mouvement de brossage ne serait pas anodin sur les dents fragilisées. Des chercheurs ont montré qu’elles pouvaient être plus agressives, rapporte Le Figaro. Ces chercheurs universitaires allemands de Witten et américains de San Antonio ont analyse le degré précis d ’érosion provoqué par les brosses électrique et manuelle. Les auteurs de la recherche, publiée dans la revue Plus One, ont testé quatre brosses à dents différentes. Deux d’entre elles étaient électriques : l’une dite « sonique », qui reproduit un mouvement de va-et-vient vertical, l’autre oscillo-rotative, tournant dans un sens, puis dans un autre. Les deux autres brosses étaient manuelles : l’une a tête plate, l’autre avec des poils de hauteurs différentes. Les quatre brosses ont été testées sur la dentine isolée de 72 molaires non cariées extraites de la bouche de patients. Les tests ont été réalisés, avec une machine simulant 8,5 années de brossages biquotidiens, sur 18 extraits de dentine par type de brosse a dents, pour 260 minutes de brossage. Le dentifrice avait été choisi avec un haut pouvuir abrasif, mélé a 10 ml d’eau injectée par minute. La force du brossage était identique pour toutes les brosses : 2 Newtons chacune. Les résultats de l’étude montrent que la dentine frottée avec la brosse à dents sonique avait perdu 21 microns d’épaisseur en moyenne et 15, 7 pour l’oscillo-rotative, indique le quotidien. Les brosses à dents manuelles ont démontré une érosion moindre 5,6 microns de dentine perdue avec la brosse a tête plate, et 2,5 microns pour la tête a poils de longueurs différentes.
Source Dentoscope Mai 2017
Docteur Amzallag : « L’avènement des implants dentaires, c’est l’équivalent du viagra »
La profession conteste toujours vivement la réforme de ses tarifs. Le mouvement s’amplifie : près de 80 % des chirurgiens-dentistes costarmoricains fermeront leur cabinet du 12 au 18 juin.
À quand remonte la grogne de votre profession ?
En janvier, les négociations sur les nouveaux tarifs de soins dentaires et leur niveau de remboursement ont capoté. Faute d’accord entre les chirurgiens-dentistes et l’Assurance maladie, un arbitre que l’on estime non neutre a été désigné par cette dernière afin d’établir une nouvelle convention que l’on désapprouve.
Votre profession a déjà manifesté cet hiver. Et maintenant ?
Nous lançons une « semaine blanche » qui se traduira par la fermeture de nos cabinets dentaires, du 12 au 18 juin. Une petite permanence de soins sera maintenue en cas d’urgence. Et à ce jour, près de 80 % des dentistes libéraux costarmoricains ont indiqué rejoindre notre mouvement. Durant cette semaine, nous ferons de la prévention en Ehpad (Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) notamment, et de nombreuses formations et tables rondes auprès de la profession, le tout à Saint-Brieuc.
Qu’est-ce qui coince à vos yeux ?
Cet arbitrage fixe un plafonnement des prothèses, dont les professionnels peuvent aujourd’hui choisir librement les tarifs, avec tact et mesure. En contrepartie, il accorde une revalorisation a minima d’une dizaine de soins sur les 500 existants. Non seulement elle est insuffisante mais, en plus, elle n’aura pas lieu. C’est de la poudre aux yeux : une clause dans la réforme imposée indique qu’aucune revalorisation n’interviendra et que les plafonds diminueront.
L’objectif fixé par Marisol Touraine, alors ministre de la Santé, était pourtant de faciliter l’accès aux soins dentaires…
Les gens s’imaginent que les dentistes abusent, or les tarifs de soins sont cinq fois inférieurs en France par rapport à nos voisins européens. Pas étonnant : les tarifs de remboursement de la Sécurité sociale et des mutuelles n’ont pas évolué depuis 30 ans ! Mais cette réforme pose aussi un problème de santé publique.
Pourquoi ?
Ces cinq dernières années ont été marquées par des avancées significatives : aujourd’hui, des matériaux et des techniques innovantes nous permettent d’apprendre aux étudiants à conserver la dent sans l’endommager. Or pour préserver leurs cabinets, les jeunes praticiens seront contraints de se détourner de ces connaissances pour traiter la dent en fonction de la rentabilité de l’acte, et non pas de son état. En ne revalorisant pas à leur juste mesure ces soins dits « conservateurs », il y a le risque de voir la profession s’orienter vers des solutions plus radicales et mutilantes.
Et ça donnerait quoi, pour le patient ?
Plutôt que d’opter pour une dévitalisation de dent nécessitant du matériel et un traitement chronophage (environ 1 h 30 à 2 h), certains praticiens pourraient lui préférer une extraction (15 minutes) à laquelle s’ajoutera plus tard un implant.
Et si vous ne ralliez pas à votre cause les nouveaux députés ?
Située au coeur des élections législatives, notre action vise à les sensibiliser afin qu’ils reviennent sur les termes de cette convention qui, si rien n’est fait, entrera en vigueur en janvier prochain. Dès lors, nous nous déconventionnerons massivement. C’est-à-dire que nos tarifs ne seront plus soumis aux remboursements la Sécurité sociale.
……. »
http://www.ouest-france.fr/bretagne/cotes-darmor/les-dentistes-grincent-des-dents-5010452
Après l’obtention d’un bac professionnel de prothésiste dentaire, Célia Jacquemmoz, 25 ans et médaillée Meilleure apprentie de France en 2013, s’est lancée dans l’entrepreneuriat en créant son propre laboratoire.
“C’est après un bac S et un échec au concours de première année de médecine (filière dentaire) que j’ai découvert le métier de prothésiste dentaire. Un jour, le père d’un ami qui exerce cette profession m’a proposé de venir visiter son laboratoire. J’ai tout de suite été séduite par l’environnement de travail, les odeurs, le fait de le voir manipuler les matériaux tel un orfèvre.
Quelques semaines plus tard, j’ai rencontré lors d’un salon Isabelle Dutel, Meilleur ouvrier de France en prothèse dentaire et directrice de l’Académie d’art dentaire. Cela n’a fait que renforcer mon intérêt pour ce métier : je me suis alors inscrite en bac professionnel pour deux ans à Aix-en-Provence.
À 23 ans et tout juste diplômée, j’ai décidé d’ouvrir mon propre laboratoire après une brève expérience de salariée en orthodontie. C’est l’envie d’indépendance qui m’a poussée à prendre cette décision
Des débuts formateurs
N’ayant aucune expérience en gestion d’entreprise et personne de ce métier dans mon entourage, seules ma motivation et mon ambition m’ont permies de surmonter chaque difficulté. Le soutien familial a été ma plus grande source d’énergie et il l’est encore aujourd’hui. Il est nécessaire d’être bien entouré pour garder un équilibre entre vie professionnelle et personnelle.
Tout s’apprend petit à petit : gérer les tâches administratives, réaliser une étude de marché, élaborer une stratégie de lancement, la comptabilité, l’installation du matériel, le relationnel avec les dentistes… Le milieu étant très concurrentiel, il est très difficile de recevoir des conseils avisés de la part d’autres prothésistes.
Etant jeune prothésiste, les premiers cas complexes ont représenté des challenges pour moi. Je me suis rendu compte que ma formation à l’Académie d’art dentaire a été primordiale. Sans elle, je n’aurais pas pu acquérir une maîtrise des matériaux, ni travailler en totale autonomie.
En savoir plus sur https://start.lesechos.fr/entreprendre/temoignages-entrepreneurs/23-ans-j-ai-monte-mon-laboratoire-de-prothesiste-dentaire-8337.php?x8EPiJpFw1XkYE5W.99
La Mutualité Française et le Réseau national des centres de santé mutualistes veulent construire une nouvelle ordonnance des centres de santé, garante de l’intérêt général, dans une réelle concertation
L’inscription dans la loi du 26 janvier 2016, dite de « modernisation de notre système de santé », de l’habilitation du gouvernement à légiférer par ordonnance sur les conditions de création et de fonctionnement des centres de santé, était le fruit d’une concertation déjà engagée entre les acteurs concernés : gestionnaires de centres de santé, professionnels de santé, Agences régionales de santé, Assurance maladie, Ministère, afin de moderniser la définition des centres de santé, de conforter leur fonctionnement et de les adapter à un cadre conventionnel profondément rénové en 2015.
Les agissements dangereux et frauduleux révélés par l’affaire DENTEXIA ont pointé du doigt les pratiques condamnables de quelques opérateurs peu scrupuleux, se prévalant de manière usurpée de la dénomination de « Centre de santé ».
Si la première partie du rapport IGAS (2016_075R) sur cette affaire, publiée en juillet 2016, proposait des mesures pour la prise en charge des patients lésés, la deuxième partie faisant des recommandations pour éviter que de telles situations ne se reproduisent, a été remise en janvier à la Ministre de la santé mais n’a toujours pas été publiée.
La Mutualité Française et le Réseau national des centres de santé mutualistes sont favorables à des mesures d’urgence et d’importance, permettant de mieux sécuriser l’accès aux soins dans l’ensemble des structures de premier recours.
http://www.miroirsocial.com/membre/LESUEUR/post/la-mutualite-fran-aise-et-le-reseau-national-des-centres-de-sante-mutualistes-veulent-construire-une-nouvelle-ordonnance-des-centres-de-sante
Près de 36 000 dentistes libéraux, combien à la manif ? C’est ce constat qui est à l’origine de la naissance des CCDeli, Cellules de Coordination des Dentistes Libéraux.
Certains sont mal informés, certains croient pouvoir passer outre, certains bradent notre pratique dans des centres sans se rendre compte qu’ils scient la branche…
Les Cellules de coordination des dentistes libéraux sont des structures asyndicales, apolitiques et non ordinales qui se créent jour après jour dans les départements. Il s’agit de regrouper les praticiens volontaires pour mobiliser leurs confrères et coordonner au plus près du terrain les actions nécessaires pour contrer le règlement arbitral. Toutes les bonnes volontés sont les bienvenues. Une quinzaine de départements ont déjà créé leur structure (voir les coordonnées ici : http://bit.ly/2nisrMM).
Les syndicats soutiennent ces mouvements et se mobilisent eux aussi. La FSDL propose dans l’immédiat d’établir une feuille de soins papier à l’encre verte (impossible à scanner) pour chaque patient et « pour l’acte le moins cher de la séance de soins, afin d’encombrer les CPAM sans pénaliser les patients, ni devoir faire une avance de trésorerie importante ». Le syndicat souhaite également mettre en place « une procédure en vue d’un déconventionnement massif, au plus tard au 1er janvier 2018, au plus tôt pour les départements ayant atteint l’objectif au 30 octobre 2017 ».
L’objectif, pour déclencher le déconventionnement, est d’atteindre au moins 51 % de praticiens prêts à le faire. Chacun est invité à envoyer à sa CPAM une lettre signifiant « qu’aux vues des conditions du règlement arbitral, il souhaite connaître les démarches à suivre pour se déconventionner ».
Dans le même temps, il envoie sa véritable lettre de déconventionnement auprès d’un huissier mandaté par la FSDL (les lettres types sont disponibles auprès du syndicat). Troisième action : une semaine de mobilisation avec les étudiants et l’ensemble de la filière du 12 au 16 juin, entre les deux tours des élections législatives. « La ministre a voulu une relation conflictuelle avec la profession, montrons-lui que nous ne sommes pas des moutons, et que nous ne sommes pas prêts à vendre la santé de nos patients pour quelques euros supplémentaires par jour, lance la FSDL. Notre salut ne passera que par la mobilisation de tous et nous devrons prendre nos responsabilités. »
Du côté de l’Union Dentaire, on n’est pas en reste. Elle a décidé de stopper sa participation à toutes les commissions paritaires départementales, régionales et nationales, et appelle la CNSD (qui est déjà partie prenante dans plusieurs régions) à se joindre à ce mouvement de protestation. « Nous demanderons à nos représentants de se rendre à ces commissions, d’expliquer simplement les raisons de notre retrait, puis de quitter les lieux, détaille l’UD. Leur intervention sera donc actée dans le procès-verbal. » Le syndicat va également rencontrer les candidats à l’élection présidentielle et leur demander de se positionner en faveur d’une reprise des négociations et de la suppression du règlement arbitral.
COORDINATION DES CHIRURGIENS DENTISTES LIBERAUX
https://www.ccdeli.fr
Interview Dr Thomas Hamon, président Île-de-France de la FSDL (Fédération des syndicats dentaires libéraux) qui explique très bien la raison pour laquelle les dentistes, prothésistes et étudiants manifestent et pourquoi les étudiants en dentaires sont en grève hospitalo-universitaire depuis des semaines
L’ORT France, réseau d’établissements d’enseignement technologique et professionnel, annonce l’ouverture dès la rentrée 2017 de l’un des tous premiers Bachelor (BAC+3) « Prothésiste Dentaire Numérique », une première en France.
L’ambition affichée de ce nouveau cursus : préparer les futurs prothésistes aux évolutions technologiques de leur métier, et les accompagner dans une démarche entrepreneuriale. Cette formation s’appuie sur un partenariat pédagogique et industriel avec la société LYRA.
Une offre de formation novatrice pour une plus grande qualification des prothésistes.
Le premier Bachelor « Prothésiste Dentaire Numérique » d’ORT France ouvrira dès le mois d’octobre 2017 au Lycée ORT-Daniel Mayer de Montreuil (93). Construit sur double socle de compétences, technologiques et de gestion, la formation a une durée de 350 heures. Les futurs diplômés maîtriseront les appareils de scannage, et sauront utiliser les technologies de CFAO (conception et fabrication assistées par ordinateur) pour modéliser, concevoir et réaliser des prothèses. Cette nouvelle génération de prothésistes sera aussi formée à la gestion et au marketing, un impératif académique dans un univers bouillonnant en mode start-up. Elle est ouverte aux titulaires d’un Bac+2 et aux prothésistes en poste depuis 5 ans.
Une formation cohérente avec la révolution technologique du secteur et les nouveaux besoins du marché.
Avec l’avènement du numérique dans l’ensemble du secteur dentaire, les laboratoires comme les praticiens dentistes ont besoin de collaborer avec des prothésistes qui maîtrisent parfaitement ces nouvelles technologies.
Pour Thierry Sebagh, directeur général d’ORT-France, cette formation était très attendue : « La France souffre d’une lacune problématique dans de multiples secteurs : l’inadéquation entre l’offre de formation et les besoins des entreprises. Nous voulons éviter que ce décalage ne se produise dans le secteur de la dentisterie ! Pour cela, nous devions réagir vite et faire évoluer notre offre de formation.
Afin de faire face à la concurrence des laboratoires européens, le marché a aujourd’hui besoin de prothésistes qualifiés, qui soient à même d’évoluer sur des équipements de haute technologie. C’est la vocation de ce Bachelor. »
Cette formation, une toute-première en France, est le fruit d’un partenariat pédagogique et industriel d’ampleur avec LYRA, leader français de l’intégration de solutions numériques en dentisterie.
Le contenu pédagogique de la formation, comme les investissements réalisés ont été pensés et financés en mode collaboratif entre l’ORT France et LYRA.
Michaël Ohana, directeur général LYRA-ETK, explique les raisons de cet engagement : « Nous sommes convaincus que les laboratoires ont un rôle de pivot dans cette révolution numérique du secteur dentaire. Il était donc naturel de proposer une formation adaptée à la future génération de prothésistes. Nous sommes ravis et honorés de pouvoir nous associer à l’ORT-France autour d’un dispositif innovant. »
L’entrepreneuriat, facteur clé de la réussite des futurs prothésistes.
La préparation des jeunes diplômés à leur insertion professionnelle est une priorité absolue. Au cœur du dispositif de formation, LYRA interviendra pour accompagner les futurs professionnels dans l’aventure entrepreneuriale, de la création d’une structure à la conquête de sa clientèle.
A Propos de l’ORT-France. Institution privée d’éducation et de formation, l’ORT France compte 550 collaborateurs et 7 établissements d’enseignement sous contrat d’association avec l’Etat. Elle accueille chaque année 3400 élèves et étudiants. Spécialisée dans les formations supérieures technologiques et professionnelles, l’ORT France propose notamment des cursus en Commerce, banque et finances ; Gestion et entrepreneuriat ; Mode et design ; Electronique, Informatique et Systèmes Numériques ; Optique et Prothèse Dentaire ; classes préparatoires aux Grandes écoles d’ingénieurs. Créée en 1921 et reconnue d’utilité publique en 1961, l’ORT France fait partie du réseau World ORT, première ONG mondiale en matière d’éducation et de formation.
– Les ventes de MISOKA, la brosse à dents japonaise haut de gamme, atteignent 3,8 millions d’unités
MINOH, Japon, 6 avril 2017 /PRNewswire/ — Yumeshokunin Co., Ltd. a annoncé sa participation à la Semaine du design de Milan qui se tient du 4 au 9 avril 2017. L’édition de cette année a pour thème le « jet d’eau ». Avec plus de 600 brosses à dents, l’installation artistique embellit une vitrine sur la rue Brera.
MISOKA est une marque japonaise de brosses à dents haut de gamme et ses poils sont spécialement revêtus de minéraux nanométriques développés par l’entreprise. Fabriquée avec un savoir-faire artisanale, elle a été sélectionnée pour les « 500 merveilles » en 2015 par le ministère de l’économie, du commerce et de l’industrie comme l’un des produits dont le Japon peut être fier.
(Photo1 : http://prw.kyodonews.jp/prwfile/release/M101582/201704040628/_prw_PI1fl_J1i698Y8.jpg)
(Photo2 : http://prw.kyodonews.jp/prwfile/release/M101582/201704040628/_prw_PI2fl_sIV6nZKl.jpg)
Lieu : Via Brera 2a, 20121 Milan, Italie
Date : 4 – 9 avril 2017 (de 10 h à 20 h)
*Une réception sera organisée pour la presse et les personnes intéressées le 6 avril de 18 h à 22 h au même endroit.
Caractéristiques du produit.
– Fabriqué en qualité de luxe grâce à la collaboration de plusieurs fabricants japonais.
– Avec un seul verre d’eau, il nettoie les dents et polie leur surface. La brosse à dents MISOKA vous permet de voir par vous-même la présence de résidus de polissage.
– Une étude de l’école d’odontologie de l’université d’Osaka a observé une baisse significative du dépôt de plaque dentaire qui est à l’origine des caries et entraîne des maladies parodontales.
La MISOKA-ISM, notre modèle étendard, a reçu cinq prix mondiaux de design notamment aux Good Design Awards 2015 et beaucoup la considèrent parmi les plus belles brosses à dents du monde. Elle est disponible à la boutique du Ritz Paris, l’un des hôtels les plus luxueux de la capitale, ainsi que chez Collette et Leclaireur, à Paris également.
Site web de MISOKA : http://www.yumeshokunin.jp/
Taken from:
– Les ventes de MISOKA, la brosse à dents japonaise haut de gamme, atteignent 3,8 millions d’unités
MINOH, Japon, 6 avril 2017 /PRNewswire/ — Yumeshokunin Co., Ltd. a annoncé sa participation à la Semaine du design de Milan qui se tient du 4 au 9 avril 2017. L’édition de cette année a pour thème le « jet d’eau ». Avec plus de 600 brosses à dents, l’installation artistique embellit une vitrine sur la rue Brera.
MISOKA est une marque japonaise de brosses à dents haut de gamme et ses poils sont spécialement revêtus de minéraux nanométriques développés par l’entreprise. Fabriquée avec un savoir-faire artisanale, elle a été sélectionnée pour les « 500 merveilles » en 2015 par le ministère de l’économie, du commerce et de l’industrie comme l’un des produits dont le Japon peut être fier.
(Photo1 : http://prw.kyodonews.jp/prwfile/release/M101582/201704040628/_prw_PI1fl_J1i698Y8.jpg)
(Photo2 : http://prw.kyodonews.jp/prwfile/release/M101582/201704040628/_prw_PI2fl_sIV6nZKl.jpg)
Lieu : Via Brera 2a, 20121 Milan, Italie
Date : 4 – 9 avril 2017 (de 10 h à 20 h)
*Une réception sera organisée pour la presse et les personnes intéressées le 6 avril de 18 h à 22 h au même endroit.
Caractéristiques du produit.
– Fabriqué en qualité de luxe grâce à la collaboration de plusieurs fabricants japonais.
– Avec un seul verre d’eau, il nettoie les dents et polie leur surface. La brosse à dents MISOKA vous permet de voir par vous-même la présence de résidus de polissage.
– Une étude de l’école d’odontologie de l’université d’Osaka a observé une baisse significative du dépôt de plaque dentaire qui est à l’origine des caries et entraîne des maladies parodontales.
La MISOKA-ISM, notre modèle étendard, a reçu cinq prix mondiaux de design notamment aux Good Design Awards 2015 et beaucoup la considèrent parmi les plus belles brosses à dents du monde. Elle est disponible à la boutique du Ritz Paris, l’un des hôtels les plus luxueux de la capitale, ainsi que chez Collette et Leclaireur, à Paris également.
Site web de MISOKA : http://www.yumeshokunin.jp/
Link –
BENSHEIM, Allemagne et SALZBURG, Autriche, March 21, 2017 /PRNewswire/ —
La satisfaction de l’utilisateur CEREC est au cœur du développement du grand nombre d’options d’applications. La dernière en date est l’export de données numérisées au format STL. Cela signifie que les données de l’empreinte numérique peuvent aussi être utilisées dans des solutions logicielles tiers. Ainsi, les dentistes peuvent utiliser les numérisations CEREC Omnicam en collaboration avec leur laboratoire dentaire ou un autre logiciel de planification clinique.
Les attentes d’un cabinet en terme de numérisation n’ont cessé de se diversifier au cours de ces dernières années. Dentsply Sirona répond à ces besoins en constante évolution avec l’extension des applications pour CEREC. Le but est toujours d’améliorer le confort des patients, gagner du temps pendant le traitement et d’afficher un meilleur rapport qualité-prix pour le cabinet. L’exportation au format STL des données numérisées est le dernier exemple illustrant cette tendance : « La mise en place de soins dentaires en un seul rendez-vous grâce à CEREC n’a pas besoin de fichier ouvert, car CEREC est en soit un système complet. Toutefois, nous constatons depuis ces dernières années qu’un grand nombre d’applications cliniques tierces sont utilisées dans la pratique », a expliqué Roddy MacLeod, Group Vice President Dentsply Sirona CFAO.
Les dentistes peuvent envoyer leurs données numérisées CEREC au laboratoire de leur choix pour commander des restaurations. Le format STL garantit la compatibilité avec tous les logiciels de conception les plus répendus au sein des laboratoires. Le format ouvert permet également à l’équipe de praticiens d’importer les données numériques générées par CEREC Omnicam dans d’autres logiciels de gestion de cabinet et de les y archiver. Les licences logicielles correspondantes seront disponibles en même temps que le nouveau CEREC SW 4.5.
Contact Presse : Marion Par-Weixlberger, T +43-(0)-662-2450-588, marion.par-weixlberger@dentsplysirona.com
Source article:
GENÈVE, March 20, 2017 /PRNewswire/ —
Aujourd’hui, à l’occasion de la Journée mondiale de la santé bucco-dentaire, la Fédération dentaire internationale (FDI) détruit le mythe selon lequel les personnes dans le monde entier croient avoir de bonnes pratiques bucco-dentaires, et les encourage à mieux s’informer et à prendre des mesures en conséquence. La santé bucco-dentaire est inhérente à notre santé en général et à notre bien-être, et elle a des répercussions sur tous les aspects de notre vie quotidienne.
Pour découvrir le communiqué de presse multimédia, veuillez cliquer sur :
https://www.multivu.com/players/uk/8061551-global-survey-world-oral-health-day/
Les résultats d’une enquête menée dans 12 pays par YouGov, au nom de la FDI, a montré un écart significatif entre ce que les personnes croient être de bonnes pratiques de santé bucco-dentaire et ce qu’elles font en réalité. Huit des pays entrant dans le cadre de cette enquête ont rapporté que 50 pour cent ou plus de la population interrogée pense qu’il est important de se brosser les dents juste après tous les principaux repas. Le Brésil, le Mexique, l’Égypte et la Pologne sont les pays qui enfreignent le plus cette pratique bucco-dentaire (avec 84%, 81%, 62% et 60% respectivement). La FDI recommande d’attendre au moins 30 minutes après le repas pour se brosser les dents afin de ne pas fragiliser l’émail des dents.
«Les résultats de cette enquête mettent en évidence une divergence alarmante entre les connaissances et les bonnes pratiques réelles de santé bucco-dentaire», a déclaré le Dr Patrick Hescot, président de la FDI. « À l‘occasion de cette Journée mondiale de la santé bucco-dentaire, nous voulons que tout un chacun prenne le contrôle de sa santé bucco-dentaire et comprenne qu’en adoptant de bonnes habitudes d’hygiène bucco-dentaire, en évitant les facteurs de risque et en effectuant un contrôle dentaire régulier, il peut aider à protéger sa bouche. Une bouche saine permet de parler, de sourire, de sentir, de goûter, de toucher, de mastiquer, d’avaler et de transmettre une gamme d’émotions avec confiance et sans douleur, ni gêne ou maladie. Une bonne santé bucco-dentaire est primordiale et se traduit par une meilleure qualité de vie.»
La majeure partie des pays interrogés croient à tort que le fait de se rincer la bouche avec de l’eau après le brossage est important ; le Brésil, l’Afrique du Sud, le Mexique, l’Inde et le Canada se sont révélés les plus nombreux à pratiquer ce mythe (77 %, 75 %, 73 %, 67 % et 67 % respectivement). Il est en fait recommandé de ne pas se rincer à l’eau juste après le brossage pour permettre une exposition maximale au fluorure, ce qui optimisera les effets préventifs.
Près de la moitié de la population interrogée en Inde, en Afrique du Sud, au Brésil et en Pologne (52 %, 49 %, 48 % et 42 %, respectivement) estimait que boire des jus de fruits plutôt que des boissons gazeuses était important pour une bonne santé bucco-dentaire. Cependant, les jus de fruits peuvent également être riches en sucres, ce qui peut occasionner des caries. La FDI recommande de consommer un minimum de boissons sucrées dans le cadre d’une alimentation saine et équilibrée.
Le Dr Edoardo Cavalle, président de l’équipe de travail de la Journée mondiale de la santé bucco-dentaire, a déclaré : « Comprendre les bonnes pratiques de santé bucco-dentaire et les adopter tôt dans la vie, aidera à maintenir une santé bucco-dentaire optimale jusqu’à la vieillesse et vous assurera une longue vie sans les douleurs physiques et souvent les souffrances émotionnelles causées par les maladies bucco-dentaires. ».
Parmi les autres résultats essentiels sur les pratiques de santé bucco-dentaires, on trouve :
77 pour cent des personnes interrogées ont convenu qu‘aller une fois par an chez le dentiste est une bonne pratique de santé bucco-dentaire, mais seulement 52 pour cent ont tendance à le faire.
Seulement 28 pour cent des personnes interrogées ont identifié qu‘une consommation modérée d‘alcool est importante pour une bonne santé bucco-dentaire.
À propos de la Journée mondiale de la santé bucco-dentaire
Célébrée chaque année le 20 mars, la Journée mondiale de la santé bucco-dentaire (WOHD selon l’anglais) a été lancé par la FDI, la Fédération dentaire internationale pour augmenter la sensibilisation sur la prévention et le contrôle des maladies bucco-dentaires. http://www.worldoralhealthday.org; #WOHD17 #LiveMouthSmart
Les partenaires mondiaux de la WOHD sont : Henry Schein, Philips Sonicare, Unilever
Au sujet de l‘enquête
Tous les chiffres, sauf indication contraire, proviennent de YouGov Plc. La taille totale de l’échantillon était de 12 849 adultes. Le travail de terrain a été effectué entre le 20 et le 31 janvier 2017. L’enquête a été effectuée en ligne. Les chiffres ont été pondérés et sont représentatifs à l’échelle nationale pour des adultes âgés de 18 ans et plus en Grande-Bretagne (2 090), aux États-Unis (1 145), en Australie (1 018), en Nouvelle-Zélande (1 055), au Japon (1 006) et au Canada (1 002). Ils sont représentatifs à l’échelle nationale en se basant sur des adultes de 18 ans et plus vivant dans différentes régions au Brésil (1 000), au Mexique (1 006), en Pologne (1 004) et en Afrique du Sud (500). Ils sont représentatifs d’adultes de 18 ans et plus vivant dans des villes en Inde (1 011) et en Égypte (1 012).
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https://www.multivu.com/players/uk/8061551-global-survey-world-oral-health-day/
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