Page 46

#ADF 2016, Le président de l’Union nationale patronale des prothésistes dentaires (UNPPD) prône la transparence sur la provenance des prothèses.

0

Selon Laurent Munerot dans un entretien au magazine Dentoscope (Hors série spécial ADF 2016) « Le patient n’est jamais informé de l’origine de la prothèse » Laurent Munerot : « Le patient n’est jamais informé de l’origine de la prothèse »

Dentoscope : Quelle est la mission de l’UNPPD ?
Laurent MUNEROT, président de l’UNPPD : Depuis plus de 50 ans, l’UNPPD représente les laboratoires de prothèse dentaire français. Au-delà de gérer la convention collective nationale et tous les aspects propres à sa fonction, en tant que seul syndicat représentatif, l’UNPPD défend et porte la parole des laboratoires auprès des pouvoirs publics et des syndicats dentaires.
Quels sont les challenges que vous vous êtes fixés ?
L. M. : Assurer la pérennité des laboratoires de proximité face aux bouleversements technologiques, réglementaires et économiques actuels et à venir. La filière dentaire est un écosystème qui doit permettre à ses acteurs de continuer à travailler et à se  développer dans de bonnes conditions. Les systèmes français et européen, basés sur la qualification professionnelle des individus et la répartition des fruits du travail de chacun, restent un équilibre fragile. Bouleverser la chaîne de responsabilités en supprimant l’un des maillons reviendrait à appauvrir l’ensemble des intervenants. Les prothésistes dentaires veulent conserver leur place au sein de la filière dentaire, aux côtés des chirurgiens-dentistes et des fabricants.
L’origine des prothèses dentaires figure parmi vospréoccupations. Quel est votre sentiment sur ce sujet ?

L. M. : L’UNPPD représente les laboratoires français : il est tout à fait normal qu’elle lutte contre l’importation. Il est d’ailleurs regrettable que ce soit une organisation syndicale de chirurgiens-dentistes de premier plan, comme la CNSD, qui en soit le principal vecteur de communication et de développement au travers de sa revue. Leur dénonciation de la marchandisation de la dentisterie perd tout son sens alors que l’importation de prothèses dentaires n’est qu’un moyen de faire du profit financier. Alors que la loi impose la transparence, le patient n’est jamais informé de l’origine de la prothèse. Le public n’est pas dupe et il sait que si un produit vient d’Asie, il a coûté beaucoup moins cher qu’en France. Refuser d’indiquer l’origine, c’est refuser de faire profiter le patient de la différence de coût entre une prothèse française et une prothèse d’importation.
Le patient doit être informé et faire son choix en toute connaissance de cause. Quant au praticien, il doit assumer ses responsabilités y compris le montant de ses honoraires.
Grâce au numérique, le binôme dentiste-prothésiste devrait retrouver une seconde jeunesse ?
L. M. : L’usage des outils numériques va permettre d’améliorer la qualité d’exercice de nos professions et de répondre encore mieux aux attentes des patients. La révolution numérique est un changement d’outils qui ne doit pas être l’alibi pour modifier les prérogatives, les champs
d’activité ce chacun afin de faire croître ses marges financière (les industriels ou les chirurgiens-dentistes qui feraient de la prothèse ou bien les prothésistes qui feraient de la dentisterie…J. À chacun son métier, à chacun ses compétences. Quand un prothésiste dentaire perd une partie de son  activité parce qu’elle est exercée directement par son client en cabinet, il ne faut pas s’étonner qu’il soit tenté de répondre aux nombreuses sollicitations des patients qui lui demande d’intervenir directement, notamment en matière de prothèse amovible.
À plus long terme, comment voyez-vous les rapports entre laboratoire et cabinet dentaire ?
L. M. : Si l’on veut que les bonnes relations entre prescripteurs, donneurs d’ordre et fabricants perdurent, il faut les adapter aux nouvelles donnes économiques et réglementaires. Il est anormal qu’aujourd’hui encore, des relations commerciales récurrentes ne soient pas officialisées par un contrat et des règles de bonnes pratiques. Alors que le devis préalable à la prothèse dentaire est obligatoire pour les chirurgiens- dentistes et que la traçabilité s’impose aux prothésistes dentaires, chacun doit être assuré du respect mutuel de ces obligations. La signature d’une convention entre le cabinet et son laboratoire permettra d’ d’atteindre cet objectif. Une parfaite coopération en toute transparence nos deux professions est gage de santé et de sécurité pour le patient.

Vers un plafonnement des prothèses dentaires

0

Ce vendredi, les chirurgiens-dentistes et l’Assurance maladie reprennent leurs discussions pour définir les tarifs des soins dentaires pour les cinq prochaines années.

Quels enjeux ?

Les soins dentaires sont très peu pris en charge par la sécurité sociale. Selon la Cour des comptes, l’Assurance maladie ne rembourse que 33 % des 10,6 milliards d’euros de dépenses dentaires en France, les assurances complémentaires en financent 39 % et les assurés 25 %. Hors Paris, le coût d’une couronne varie de 327 euros (pour les 10 % des dentistes les moins chers) à 686 euros (pour les 10 % les plus chers).

Quoi qu’il en soit, elle n’est remboursée que 75,25 euros par l’Assurance maladie. Résultat, en 2012, près de 4,7 millions de patients ont dû renoncer à des soins prothétiques.

Quels nouveaux tarifs ?

« On peut dire que les dentistes sont trop chers, mais on peut aussi voir la situation autrement et dire que la sécurité sociale ne rembourse pas assez », répond Philippe Denoyelle, président de l’Union dentaire.

Le problème actuel trouve ses racines dans un accord conclu entre les dentistes et la sécu au milieu des années 1980. L’Assurance maladie rembourse peu les soins de base dits « conservateurs » (caries…) et en échange, elle autorise les dentistes à fixer librement les prix des autres soins, dits « prothétiques » (couronne…).

Les négociations actuelles visent à changer le mode de fonctionnement. L’Assurance maladie est prête à mieux rembourser les soins opposables… à condition que les dentistes acceptent de plafonner le coût des prothèses.

Les syndicats veulent une revalorisation des actes, et le remboursement des nouveaux soins liés aux évolutions techniques. « Nous estimons que le tarif de la petite carie devrait passer de 19,28 euros aujourd’hui à 57 euros, et les grandes de 40,97 euros à 100 euros », précise ainsi à titre d’exemple Catherine Mojaïsky, présidente de la Confédération nationale des syndicats dentaires. Les calculs des syndicats reviendraient à demander 2.5 milliards d’euros supplémentaires à l’Assurance maladie… qui a fait savoir qu’elle n’avait pas cette enveloppe. En échange, les dentistes sont prêts à accepter un prix maximum pour les soins tels que les couronnes… À combien ? « Tout est une question de curseur. Si c’est 400 euros, il n’en est pas question », juge Philippe Denoyelle, président de l’Union dentaire. Les négociations, qui ont commencé en septembre, doivent aboutir d’ici fin janvier. À défaut, Marisol Touraine a indiqué que les choses seraient tranchées par un règlement arbitral le 1er février. Afin de pouvoir afficher, avant la présidentielle, des mesures pour limiter le coût des soins dentaires.

http://www.republicain-lorrain.fr/france-monde/2016/11/24/vers-un-plafonnement-des-protheses-dentaires

Convention dentaire #ADF2016 : les syndicats prêts à des revalorisations étalées dans le temps

0

APM News 23 11 2016 (Extrait)

Mercredi a eut lieu une conférence de presse dans le cadre de l’ADF, à laquelle la FSDL le nouveau syndicat représentif de la profession ne participe pas, car elle ne fait pas partie de la convention dentaire ADF.
Cependant les 3 syndicats se sont mis d’accord, car ont des revendications communes avant ces négociations qui commencent demain. L’UNCAM devrait y présenter des modifications plus « claires ».

Le gouvernement comme l’assurance maladie espère un plafonnement des tarifs prothétiques en contrepartie d’un meilleur remboursement des soins.
L’UNCAM souhaite une grille tarifaire fondée sur des « paramètres objectifs » (?), négocier des tarifs « maxima » atteints progressivement, et inscrire de nouveaux actes au remboursement. Un dispositif d’ajustement régulier permettrait aux partenaires de corriger les tarifs au fil du temps ; un texte dans ce sens a été remis aux syndicats.
Selon les syndicats, l’enveloppe allouée n’a pas encore été définie. Selon Mojaïsky, elle serait dans les 800 millions sur année pleine, mais Revel (UNCAM) dit que cette somme est surévaluée.
Il semble acquis que la revalorisation des soins sera sur des « paquets d’actes » afin d’éviter un saupoudrage.
Les conditions du plafonnement sont posées par les syndicats : pas sur tous les actes prothétiques !
De plus, les tarifs maximum doivent être revalorisés automatiquement d’année en année pour éviter de recommencer la stagnation. Denoyelle confirme que certains tarifs sont bloqués depuis 30 ans, et qu’on ne tient pas compte des nouvelles techniques de soins.

Un groupe de travail a commencé à définir les tarifs-cibles (valeur souhaitée de l’acte). L’UNCAM et l’UNOCAM participent à ces études et confirment qu’il faudrait (en théorie) investir 2,5 milliards d’€ !
« quand la sécu et les complémentaires ont vu les tarifs que ça allait engendrer, ils ont failli avoir une crise d’apoplexie ! » (Mojaïsky). Pour une petite carie, on passerait d’un tarif de 19,28 à 57.
Dès lors, l’enjeu de la négociation est de trouver comment répartir les sommes de façon intelligente par étapes.
Les deux présidents des syndicats se sont montrés plutôt optmiste pour la signature d’un avenant avant fin janvier, disant vouloir éviter un réglement arbitral en cas d’échec.
Selon M Denoyelle, M Revel (UNCAM) aurait compris la problématique à laquelle les dentistes font face.
Jusqu’ici, les complémentaires (UNOCAM) ont fait peu de propositions, hormis celle d’intégrer l’orthodontie à la CCAM (paiement par acte et non à la séance). Mme Mojaïsky pense que l’UNOCAM fera d’autres propositions vendredi.

 

http://www.apmnews.com/story.php?mots=dentaire&numero=276600&ctx=ee74a3305838bb55099ae4928c055569

Réseaux dentaires : Santéclair remporte sa bataille contre la CNSD

0

Victoire pour le réseau Santéclair. La plainte de la Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD) devant l’Autorité de la Concurrence, datée du 30 avril 2015, a été rejetée fin octobre : le syndicat considérait que Santéclair se livrait à «des pratiques de dénigrement» quant aux chirurgiens-dentistes.Petit rappel des faits : la CNSD entendait illustrer via cette saisine un détournement de la patientèle. «Le chirurgien-dentiste traitant est systématiquement critiqué sur ses honoraires pour détourner son patient vers un partenaire de Santéclair» dénonçait alors le syndicat, «dans le but de capter la patientèle des chirurgiens-dentistes non affiliés». Des «arguments fallacieux», avait alors réagi la directrice générale de Santéclair, Marianne Binst.L’énoncé des motifs de l’Autorité de la Concurrence, en sus de la qualité de ces arguments, note que ces derniers ne sont pas suffisamment nombreux : «Les faits invoqués dans le cadre de la saisine de la CNSD ne sont pas appuyés d’éléments suffisamment probants pour étayer l’existence de pratiques qui auraient eu pour objet ou pour effet d’entraver le libre jeu de la concurrence», considère ainsi l’Autorité de la Concurrence.

Source : L’Argus de l’Assurance – Réseaux dentaires : Santéclair remporte sa bataille contre la CNSD – Les Services de l’assurance

Conférence #ADF2016 : tout savoir sur l’intérêt des biocéramiques en Endodontie.

0

Les biocéramiques constituent une sous famille de biomatériaux à base de céramique qui sont considérées comme biocompatibles. « Céramique » est un terme très vaste qui englobe
(1) les matériaux inorganiques,
(2) les solides non métalliques mais pouvant contenir des métaux,
(3) les matériaux à base d’atomes non métalliques ou metalloïdes formant des liaisons covalentes ou ioniques. Le Mineral Trioxide Aggregate, distribué dans ses premières versions sous le nom de Pro-Root MTA® (DentsplySirona) depuis presque vingt ans fait partie de cette famille qui s’est récemment élargie dans le domaine de l’endodontie.
Les « Bioaggregate » constituent une nouvelle génération de matériaux à base de silicates tricalciques, qui peut être assimilé à la famille des biocéramiques ; ils sont libres de toute trace d’aluminium ou de métaux lourds tels que l’oxyde de bismuth qui était utilisé dans les matériaux pré- cédents pour améliorer leur radio-opacité. Ces matériaux présentent des capacités d’adhésion aux structures dentaires particulièrement intéressantes (Villat et al., 2010).


[pdfviewer width= »600px » height= »849px » beta= »true/false »]https://www.synergiedentaire.com/wp-content/uploads/2016/11/b318202bae29d8a1240571ca9a140b2a_10-11-2.pdf[/pdfviewer]


Intérêt des biocéramiques en endodontie.
– Mercredi 23 novembre – 11h
– Responsable scientifique : Stéphane SIMON
« PU-PH (université Paris Diderot (Paris 7) –
Groupe Hospitalier Pitié Salpêtrière. »
– Intervenant : Josette Camilleri

#ADF2016 Nouveautés au prix de l’innovation : Le ciment de scellement endodontique WELL ROOT ST – VERICOM

0

Well Root ST est un ciment de scellement endodontique prêt à l’emploi et présenté en seringue. Sa composition est basée sur un silicate de calcium qui requiert la présence d’eau pour sa mise en œuvre et durcir. Well Root est stable durant sa mise en application et présente d’excellentes propriétés physiques.
Les plus pour le praticien : excellente adhésion à la gutta percha et à la dentine – Pas de rétraction / Hydrophile -PH supérieur à 12 qui lui confère de bonnes propriétés anti bactériennes – Radio opaque et bio compatible (sans eugenol ni résine) – Facile d’utilisation et grande fluidité – 1 seringue = 15 à 20 dents traitées
Les polus pour le patient : très bonne tolérance et scellement durable de l’endodonte

#ADF2016 Nouveautés au prix de l’innovation : l’acide hyaluronique PERIOSYAL SHAPE – TEOXANE/PRED pour traitement des papilles et restauration des gencives

0

Cet acide hyaluronique réticulé de haut poids moléculaire, conserve les propriétés physico-chimiques et biologiques de l’acide hyaluronique endogène, tout en augmentant sa durabilité in vivo ce qui en fait un biomatériau idéal pour le traitement des papilles et la restauration des gencives. Il permet de repulper les papilles interdentaires – effet immédiat sur la dépression papillaire 100% de satisfaction pour le patient

#ADF2016 Nouveautés au prix de l’innovation : la brosse à dent INAVA HYBRID / PIERRE FABRE ORAL CARE La brosse à dents sonique

0

La brosse à dents sonique Inava hybrid est une brosse combinant la qualité d’une brosse à dents Inava classique avec la technologie sonique, avec vibration des brins à haute fréquence (28000 vibrations /mn) pour optimiser l’efficacité du brossage. Elle élimine 10 fois plus de plaque dentaire dans les espaces inter dentaires. Elle permet de conserver sa technique de brossage habituelle. Inava Hybrid possède une véritable tête Inava (identique à la brosse manuelle) c’est-à-dire fine et ovale. Elle a un col fin et flexible et est assainissable au micro-ondes (1mn à 600 watts dans un verre d’eau ). Elle existe avec 2 type de brosses interchangeables sensibilité et standard.
Les plus pour le praticien : le praticien retrouve la qualité des brosses Inava associée à une brosse électrique pour améliorer l’efficacité du brossage du patient sans changer forcément sa technique de brossage
Les plus pour le patient : efficacité de la technologie sonique pour éliminer plus efficacement la plaque dans les zones d’accès – Légère et ergonomique avec une grande autonomie (chargement 1 fois/mois avec 2 brossages quotidiens)

#ADF2016 Nouveautés au prix de l’innovation : Les lunettes autoclavables iSpec Steril Fit®

0

Les lunettes iSpec Steril Fit® sont des lunettes disposant de verres autoclavables uniques pour protéger contre les contaminations éventuelles liées aux projections de sang et de salive du patient Elles présentent un confort optimum au niveau des tempes grâce aux branches souples et anti dérapantes Leur revêtement extérieur est extrêmement résistant aux rayures, et à l’intérieur elle sont anti-buée. Elle sont Très légères (21g). 2 modèles sont disponibles : CR ou OTG pour les porteurs de verres correcteurs.Elles sont mixtes (modèles Hommes et femmes).

#ADF2016 Nouveautés au prix de l’innovation : la Lampe à photopolymériser autoclavable D-LIGHT PRO / GC

0

Il s’agit de la 1ère lampe à photo polymériser autoclavable avec un mode diagnostique /détection du marché. En 1 seconde, les composants peuvent être séparés afin d’autoclaver le guide lumineux ainsi que le corps de la lampe. De plus il n’existe pas de lampe à photopolymériser avec un mode de détection prêt à l’emploi. Grâce à la LED violette fonctionnant sur un cycle continu de 60 secondes, elle permet de visualiser instantanément l’activité bactérienne à la surface des dents, la profondeur des fissures et les matériaux fluorescents. Enfin elle possède d’autres innovations récentes : Deux types de Led violettes et bleues lui confèrent un large spectre de photopolymèrisation et permettent ainsi de polymériser tous les types de matériaux Le design particulier lui confère légèreté, esthétique et une quasi absence de joints, point fort pour l’hygiène.
Les plus pour le praticien : autoclavable -Possibilité d’avoir plusieurs pièces à main (disponibles séparément) à moindre coût – aide au diagnostic grâce à la fonction détection.
Les plus pour le patient : hygiène- outil de diagnostic participatif – Photopolymérisation en douceur pour ménager la pulpe

#ADF2016 Nouveautés au prix de l’innovation : l’absorbant salivaire DRYDENT SUBLINGUAL de DIRECTA DENTAL GROUP

0

Drydent sublingual est un absorbant salivaire sublingual conçu pour recueillir et contrôler la salive produite par les glandes sublinguales ainsi que par les glandes sous maxillaires. Son design unique permet de le placer sous la langue pour une collection optimale de l’humidité indésirable du secteur sublingual. Grâce à ses propriétés d’absorption, le Drydent Sublingual offre un environnement asséché idéal pour toute intervention. Ses capacités d’absorption permettent de retenir l’humidité même lorsqu’il est complètement saturé. Son matériau doux et souple réduit le réflexe de déglutition inconfortable. Drydent Sublingual se compose d’une face extérieure en mousse plastique non tissée pour conserver son côté lisse et doux. A l’intérieur le matériau super absorbant se lie au liquide sous forme de gel et permet d’absorber 20 fois son poids. Il est combiné avec des ultrasons : aucune colle n’est utilisée. Les matériaux sont entièrement non- toxiques et approuvés pour une utilisation dans la cavité buccale.

Retrouvez cet article sur : www.lefildentaire.com – « ADF Prix de l’Innovation. ET LES NOMMES SONT… »

#ADF2016 nouveautés au prix de l’innovation : l’aide à la décision des lésions buccales avec Bioscreen

0

BIOSCREEN travaille en fluorescence sur les tissus mous. Sa forte émission de lumière verte et ses optiques de haute qualité permettent d’identifier instantanément les tissus sains des tissus à lésions suspectes (dysplasies). Diagnostic précoce des cancers des VADS et le HPV qui leur est souvent lié. Peut se connecter à un appareil photo permettant la transmission vers d’autres professionnels de santé.

#ADF2016 Nouveautés au prix de l’innovation : les roues spirales de finition et de polissage dentaires Sof-Lex™

0

Ils réinventent la roue ! Il s’agit de roues spirales de finition et de polissage des matériaux de restauration directe et indirecte ; ce système remplace l’utilisation des traditionnelles cupules en caoutchouc, brossettes et pâtes diamantées. En effet, les particules diamantées sont intégrées directement dans l’élastomère constituant la roue combinant ainsi le brillant d’une pâte diamantée avec la facilité d’utilisation d’une roue de polissage. Il convient d’utiliser les instruments de dégrossissage et de sculpture préalablement aux roues spirales. C’est un système en 2 temps – 2 grains (15 s par roue) et multi-usages (stérilisables). Le résultat est optimal lorsque les roues Sof-Lex sont utilisées en milieu humide avec une pression modérée et avec une vitesse comprise entre 15 et 20 000 tr/min du CA

Les dentistes demandent 2,5 mds d’euros pour revaloriser les soins dentaires

0

Les syndicats de dentistes, en négociation avec l’Assurance maladie pour une nouvelle convention, estiment à 2,5 milliards d’euros le montant de l’enveloppe nécessaire selon eux pour revaloriser les soins dentaires.

« Un réinvestissement de 2,5 milliards d’euros (…) est nécessaire si l’on prend en compte ce que coûtent réellement les soins dentaires », a estimé mercredi la présidente de la CNSD (Confédération nationale des syndicats dentaires), Catherine Mojaïsky, expliquant que les syndicats s’étaient basés pour cette évaluation sur les 61 actes les plus fréquemment pratiqués.

« Le problème c’est que la Sécu ne les a pas, on en a conscience (….), mais on mérite au moins autant que les médecins », a-t-elle insisté lors d’une conférence de presse en marge du congrès de l’Association dentaire française.

Les syndicats de médecins libéraux ont obtenu cet été de la part de la Sécu un investissement qui atteindra 980 millions d’euros en 2019 pour financer des mesures de revalorisations d’honoraires, soit près de 1,3 milliard d’euros en intégrant les complémentaires santé.

Concernant les soins dentaires, le budget de la Sécurité sociale de 2017, qui sera débattu à l’Assemblée en deuxième lecture la semaine prochaine, prévoit 200 millions d’euros pour de meilleurs remboursements.

Source : http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2016/11/23/97002-20161123FILWWW00229-les-dentistes-demandent-25-mds-d-euros.php

La Cour des comptes suggère de réguler les dépassements d’honnoraires des prothèses par les complémentaires

0

La Cour des comptes suggère de plafonner la prise en charge des prothèses par les complémentaires et de leur donner plus de pouvoir pour réguler les dépenses.

La Cour des comptes ne va pas se faire d’amis parmi les chirurgiens-dentistes. Dans son rapport 2016 , elle conseille à l’Assurance-maladie d’imposer des mesures drastiques à ces professionnels de santé. Selon elle, ils n’ont pas tenu leurs engagements de modération tarifaire, pourtant formulés dans le cadre de la négociation conventionnelle en contrepartie d’importantes revalorisations et de la suppression des plafonds de prix pour certains actes prothétiques fréquents.

L’enjeu financier est de taille : les soins bucco-dentaires pèsent 10,6 milliards par an, dont 57 % sont constitués de dépassements d’honoraires ou d’actes non-remboursables. Les assureurs complémentaires sont depuis 2008 le premier financeur de ces soins, avec 39 % des ressources engagées contre 33 % pour l’assurance-maladie. De sorte que 18 % des Français en 2012 ont renoncé à aller chez le dentiste pour des raisons financières : deux fois plus que la moyenne européenne.

En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/economie-france/social/0211308899452-soins-dentaires-le-mauvais-remboursement-denonce-par-la-cour-des-comptes-2028742.php?IYZM0vk011YYh8QK.99

slot deposit qris