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Augmentation osseuse et insertion d’implant dans un maxillaire postérieur sévèrement atrophié

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L’édentation du maxillaire postérieur est une situation clinique fréquente, et son traitement fait souvent appel à une technique de régénération osseuse associée à la pose immédiate ou différée d’implants dentaires.
Dans les faibles volumes osseux, l’insertion des implants en même temps que le matériau de comblement peut générer des problèmes cliniques, comme la faible stabilité primaire, la perte de stabilité secondaire au remaniement osseux, voire la migration de l’implant dans la cavité sinusienne.

Quelle hauteur osseuse résiduelle permet d’envisager la pose simultanée des implants dentaires ?
Quelle forme d’implant est la plus adaptée à ces situations ?
Quelle séquence de forage est idéale pour obtenir un torque suffisant sans provoquer une ischémie de l’os crestal ?
Toutes ces questions seront abordées lors de cette conférence entièrement consacrée à la réhabilitation des secteurs postérieurs présentant de faibles volumes osseux.

Les dents de lait pourraient un jour aider à identifier les enfants à risque de troubles mentaux plus tard dans la vie

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Comme les anneaux d’un arbre, les dents contiennent des lignes de croissance qui peuvent révéler des indices sur les expériences de l’enfance.

L’épaisseur des marques de croissance dans les dents primaires (ou « de bébé ») peut aider à identifier les enfants à risque de dépression et d’autres troubles de santé mentale plus tard dans la vie, selon une enquête révolutionnaire.

Selon une étude réalisée à l’Université de Bristol « Les dents de bébé pourraient un jour aider à identifier les enfants à risque de troubles mentaux plus tard dans la vie : comme les anneaux d’un arbre, les dents contiennent des lignes de croissance qui peuvent révéler des indices sur les expériences de l’enfance.

L’origine de cette étude remonte à plusieurs années, lorsque l’auteur principal Erin C. Dunn, ScD, MPH, a découvert des travaux dans le domaine de l’anthropologie qui pourraient aider à résoudre un problème de longue date dans sa propre recherche. Dunn est épidémiologiste sociale et psychiatrique et chercheur à l’Unité de génétique psychiatrique et neurodéveloppementale de l’HGM. Elle étudie les effets de l’adversité infantile, dont la recherche suggère qu’elle est responsable d’un tiers de tous les troubles de santé mentale. Dunn s’intéresse particulièrement au moment de ces événements indésirables et à la découverte s’il existe des périodes sensibles au cours du développement de l’enfant où l’exposition à l’adversité est particulièrement nocive.

Pourtant, Dunn note qu’elle et d’autres scientifiques manquent d’outils efficaces pour mesurer l’exposition à l’adversité infantile. Interroger les gens (ou leurs parents) sur les expériences douloureuses de leurs premières années est une méthode, mais c’est vulnérable à une mauvaise mémoire ou à une réticence à partager des souvenirs difficiles. « C’est un obstacle pour ce domaine », déclare Dunn.

Cependant, Dunn a été intrigué d’apprendre que les anthropologues ont longtemps étudié les dents des personnes d’époques passées pour en savoir plus sur leur vie. « Les dents créent un enregistrement permanent de différents types d’expériences de vie », dit-elle.

L’exposition à des sources de stress physique, telles qu’une mauvaise alimentation ou une maladie, peut affecter la formation de l’émail dentaire et entraîner des lignes de croissance prononcées à l’intérieur des dents, appelées lignes de stress, qui sont similaires aux cernes d’un arbre qui marquent son âge. Tout comme l’épaisseur des cernes de croissance des arbres peut varier en fonction du climat entourant l’arbre au fur et à mesure qu’il se forme, les lignes de croissance des dents peuvent également varier en fonction de l’environnement et des expériences vécues par un enfant in utero et peu de temps après, au moment où les dents se forment. On pense que les lignes de stress plus épaisses indiquent des conditions de vie plus stressantes.

Dunn a développé une hypothèse selon laquelle la largeur d’une variété en particulier, appelée la ligne néonatale (NNL), pourrait servir d’indicateur pour savoir si la mère d’un nourrisson a subi des niveaux élevés de stress psychologique pendant la grossesse (lorsque les dents sont déjà en train de se former) et au début période suivant la naissance.

Pour tester cette hypothèse, Dunn et deux co-auteurs principaux – la chercheuse postdoctorale Rebecca V. Mountain, PhD, et l’analyste de données Yiwen Zhu, MS, qui faisaient tous deux partie de l’unité de génétique psychiatrique et neurodéveloppementale au moment de l’étude – a dirigé une équipe qui a analysé les dents.
L’équipe a analysé 70 dents primaires recueillies auprès de 70 enfants inscrits à l’étude sur les enfants des années 90 Les parents ont fait don de dents primaires (plus précisément, les canines) qui sont naturellement tombées de la bouche des enfants âgés de 5 à 7 ans.

La largeur du NNL a été mesurée à l’aide de microscopes. Les mères ont rempli des questionnaires pendant et peu après la grossesse qui portaient sur quatre facteurs connus pour affecter le développement de l’enfant : événements stressants pendant la période prénatale, antécédents maternels de problèmes psychologiques, qualité du quartier (que le niveau de pauvreté soit élevé ou dangereux, par exemple ) et le niveau de soutien social.

Plusieurs modèles clairs ont émergé. Les enfants dont les mères avaient des antécédents de dépression sévère ou d’autres problèmes psychiatriques, ainsi que les mères qui avaient souffert de dépression ou d’anxiété à 32 semaines de grossesse, étaient plus susceptibles que les autres enfants d’avoir des NNL plus épais. Pendant ce temps, les enfants de mères qui ont reçu un soutien social important peu de temps après la grossesse avaient tendance à avoir des NNL plus minces. Ces tendances sont restées intactes après que les chercheurs ont contrôlé d’autres facteurs connus pour influencer la largeur du NNL, notamment la supplémentation en fer pendant la grossesse, l’âge gestationnel (délai entre la conception et la naissance) et l’obésité maternelle.

Personne ne sait exactement ce qui provoque la formation du NNL, dit Dunn, mais il est possible qu’une mère souffrant d’anxiété ou de dépression produise plus de cortisol, «l’hormone du stress», qui interfère avec les cellules qui créent l’émail. L’inflammation systémique est un autre candidat, dit Dunn, qui espère étudier comment le NNL se forme. Et si les résultats de cette recherche peuvent être reproduits dans une étude plus vaste, elle pense que le NNL et d’autres marques de croissance dentaire pourraient être utilisés à l’avenir pour identifier les enfants qui ont été exposés à l’adversité au début de la vie. « Ensuite, nous pouvons connecter ces enfants à des interventions », explique Dunn, « afin de prévenir l’apparition de troubles de santé mentale et de le faire le plus tôt possible dans la vie. »

Les résultats de cette étude pourraient un jour conduire au développement d’un outil indispensable pour identifier les enfants qui ont été exposés à l’adversité précoce, facteur de risque de problèmes psychologiques, permettant de les suivre et de les orienter vers des traitements préventifs. , si nécessaire.

 

source : https://www.sciencedaily.com/releases/2021/11/211110104603.htm

Les implants dentaires échouent à un taux 10 fois supérieur à celui des dents naturelles chez les patients atteints de parodontite chronique traitée

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Les implants dentaires sont un traitement couramment utilisé pour remplacer les dents existantes et manquantes. Le taux de survie à long terme des implants dentaires est bien documenté dans la littérature. La rétention à long terme des dents chez les patients présentant une perte osseuse modérée à avancée, qui sont traités par thérapie parodontale et inscrits à des programmes d’entretien parodontal, donne des taux de réussite à long terme similaires ou plus élevés.

Une étude récente comparant les taux de rétention entre les implants dentaires et les dents naturelles sur 10 ans ou plus chez des patients ayant des antécédents de maladie parodontale chronique a révélé que les implants dentaires étaient perdus à un taux 10 fois supérieur à celui des dents naturelles perdues en raison d’une maladie parodontale. Avec la popularité croissante des extractions buccales complètes et du remplacement par des prothèses implanto-portées au lieu d’une thérapie parodontale préservant les dents, la sélection du cas doit être envisagée avant le traitement implantaire.

Le taux de survie à long terme des implants dentaires est bien documenté dans la littérature 1 et constitue une méthode de traitement largement mise en œuvre dans les cabinets dentaires généralistes. De même, la rétention des dents traitées parodontale avec une perte osseuse modérée à avancée a des taux de réussite à long terme similaires à plus élevés. 2 Même les dents naturelles souffrant d’une perte osseuse avancée avec un pronostic réservé à mauvais et traitées avec un traitement initial, chirurgical et de soutien ont des taux de réussite à long terme élevés dans la littérature. 3,4 La littérature a également montré que les patients qui adhèrent à des rendez-vous d’hygiène stricts combinés à des soins à domicile diligents peuvent empêcher la progression des maladies parodontales et entretenir leurs dents sur une longue période de temps. 5

Radiographie d’un patient qui souffrait d’une maladie parodontale chronique et dont toutes les dents ont été remplacées par des implants. Le patient souffre maintenant d’une péri-implantite avancée.

Analyse de l’étude rétrospective

Une étude rétrospective récente avec un suivi de 10 ans a évalué les taux de survie à long terme des dents naturelles par rapport aux implants dentaires chez 58 patients qui ont été traités pour une maladie parodontale chronique puis inscrits à des programmes de maintenance parodontale. 6 L’étude a révélé que sur 10 ans, la perte totale des dents naturelles (due à des caries, à des raisons endodontiques et/ou à des raisons parodontales) était de 0,07 dent par patient et par an et de 0,04 dent par patient et par an pour des raisons parodontales.

D’autre part, la perte d’implants dentaires était 10 fois plus élevée, à 0,4 implants perdus par patient et par an. Quatre-vingt-dix pour cent des dents altérées parodontales traitées avec un traitement parodontal actif (c.-à-d. détartrage/surfaçage radiculaire, chirurgie, entretien parodontal) ont survécu au cours de la période de 10 ans de l’étude. De plus, les dents désignées avec des pronostics douteux au départ ont diminué de 1,9%, tandis que les dents attribuées avec de bons pronostics ont augmenté de 3,6%. La survie globale des implants dans cette population d’étude était de 90 %, avec 100 % des implants survivant jusqu’à cinq ans, puis échouant à un taux de 10,08 % dans la plage de six à 10 ans.

Les résultats de cette étude concordent avec d’autres études suggérant que les patients ayant des antécédents de maladie parodontale sont plus susceptibles d’échec de l’implant sur une période prolongée en fonction, probablement en raison d’une dysbiose bactérienne associée à des augmentations de la production de cytokines, telles que l’interleukine-1, l’interleukine- 6, facteur de nécrose tumorale alpha et bêta. Cette combinaison pathogène peut conduire à de multiples épisodes de péri-implantite au fil du temps avec un échec implantaire potentiel. 7

Une autre découverte intéressante de l’étude était qu’au cours de la période de suivi de 10 ans, les implants avec une profondeur de sondage de six ou plus et une perte osseuse de 50 % ou plus ont augmenté de 13,5% et 3,1%, respectivement, tandis que les dents naturelles ont diminué de 8% et 10,7 %, respectivement. Cela suggérerait que le pronostic dentaire a augmenté au cours de la période d’étude, tandis que le pronostic des implants a diminué. De plus, les patients avec des profondeurs de sondage de cinq ou plus et/ou des scores de saignement buccal complet de 25 % ou plus présentaient un risque significativement accru de maladie péri-implantaire, soulignant l’importance de contrôler la maladie parodontale chez les patients candidats à un traitement implantaire. 8

Les auteurs de cette étude déclarent : Il est généralement admis que les dents dont le pronostic est défavorable ne doivent pas être traitées parodontale car le pronostic d’une thérapie complexe peut ne pas correspondre aux niveaux élevés de succès du traitement implantaire. La littérature ne supporte pas cette croyance et a indiqué que le traitement parodontal combiné avec la thérapie d’entretien des dents compromises offre des niveaux élevés de succès. 9

Historiquement, on pensait que chez un patient atteint d’une maladie parodontale, une fois les dents retirées et le traitement implantaire initié, les agents pathogènes qui causaient la perte des dents parodontales seraient éliminés et n’affecteraient donc pas l’implant dentaire. 10 La littérature plus récente a suggéré que cela est inexact, et les patients atteints d’une maladie parodontale chronique ou agressive peuvent souffrir de complications plus biologiques avec la thérapie implantaire. 11

Un article historique qui vient d’être publié qui évalue la difficulté d’éliminer les agents pathogènes parodontaux de la bouche déclare : Le repeuplement des poches parodontales traitées par des agents pathogènes microbiens peut également provenir de plusieurs réservoirs oraux, notamment l’épithélium et la lamina propria de la paroi de la poche et l’épithélium de la muqueuse buccale , le dos de la langue, les cryptes amygdaliennes et la salive. 12

L’une des implications de cet article serait qu’une fois les dents altérées parodontalement extraites, les surfaces des implants dentaires peuvent être colonisées par des agents pathogènes parodontaux potentiellement pathogènes sans un contrôle adéquat du biofilm dans l’environnement buccal global. Cela s’appliquerait même dans les cas d’extraction buccale complète avec un traitement implantaire immédiat ou retardé.

Décider du traitement

En conclusion, au moment de décider entre la sauvegarde de la dentition naturelle et l’extraction et la pose d’implants, de nombreux facteurs doivent être pris en compte. En plus des taux de réussite à long terme, le praticien et le patient doivent évaluer l’ impact économique à long terme que le patient devra endurer. Avec l’adoption universelle des extractions buccales complètes et du traitement ultérieur avec des solutions d’arcade complètes soutenues par des implants, la volonté d’extraire des dents pouvant être récupérées avec un traitement parodontal s’est accrue. Les implants dentaires et la thérapie parodontale pour sauver les dents naturelles ont des taux de réussite initiaux élevés ; cependant, les dents naturelles présentent souvent moins de complications au fil du temps et ont moins d’impact financier lorsqu’une correction est nécessaire. 13

Note de l’éditeur : cet article a été publié à l’origine dans Perio-Implant Advisory

la source en Anglais est  : https://www.perioimplantadvisory.com/clinical-tips/article/14200690/dental-implants-fail-at-a-rate-10-times-that-of-natural-teeth-in-patients-with-treated-chronic-periodontitis-new-study

 

References

  1. Howe MS, Keys W, Richards D. Long-term (10-year) dental implant survival: a systematic review and sensitivity meta-analysis. J Dent. 2019;84:9-21. doi:10.1016/j.jdent.2019.03.008
  2. Levin L, Halperin-Sternfeld M. Tooth preservation or implant placement: a systematic review of long-term tooth and implant survival rates. J Am Dent Assoc. 2013;144(10):1119-1133. doi:10.14219/jada.archive.2013.0030
  3. Setzer F, Syngcuk K. Preserving the natural tooth versus extraction and implant placement: an evidence-based approach. In: Rosen E, Nemcovsky CE, Tsesis I, eds. Evidence-Based Decision Making in Dentistry. Springer; 2017:73-95. doi:10.1007/978-3-319-45733-8_6
  4. Axelsson P, Lindhe J, Nyström B. On the prevention of caries and periodontal disease. J Clin Periodontol. 1991;18(3):182-189. doi:10.1111/j.1600-051x.1991.tb01131.x
  5. Hirschfeld L, Wasserman B. A long-term survey of tooth loss in 600 treated periodontal patients. J Periodontol. 1978;49(5):225-237. doi:10.1902/jop.1978.49.5.225
  6. Guarnieri R, Di Nardo D, Di Giorgio G, Miccoli G, Testarelli L. Longevity of teeth and dental implants in patients treated for chronic periodontitis following periodontal maintenance therapy in a private specialist practice: a retrospective study with a 10-year follow-up. Int J Periodontics Restorative Dent. 2021;41(1):89-98. doi:10.11607/prd.4674
  7. Karoussis IK, Salvi GE, Heitz-Mayfield LJA, Brägger U, Hämmerle CHF, Lang NP. Long-term implant prognosis in patients with and without a history of chronic periodontitis: a 10-year prospective cohort study of the ITI Dental Implant System. Clin Oral Implants Res. 2003;14(3):329-339. doi:10.1034/j.1600-0501.000.00934.x
  8. Gay IC, Tran DT, Weltman R, et al. Role of supportive maintenance therapy on implant survival: a university‐based 17 years retrospective analysis. Int J Dent Hyg. 2016;14(4):267-271. doi:10.1111/idh.12188
  9. Trombelli L, Franceschetti G, Farina R. Effect of professional mechanical plaque removal performed on a long‐term, routine basis in the secondary prevention of periodontitis: a systematic review. J Clin Periodontol. 2015;42(Suppl 16):S221-S236. doi:10.1111/jcpe.12339
  10. Karoussis IK, Kotsovilis S, Fourmousis I. A comprehensive and critical review of dental implant prognosis in periodontally compromised partially edentulous patients. Clin Oral Implants Res. 2007;18(6):669-679. doi:10.1111/j.1600-0501.2007.01406.x
  11. Roccuzzo M, Bonino F, Aglietta M, Dalmasso P. Ten‐year results of a three arms prospective cohort study on implants in periodontally compromised patients. Part 2: clinical results. Clin Oral Implants Res. 2012;23(4):389-395. doi:10.1111/j.1600-0501.2011.02309.x
  12. Cobb CM, Sottosanti JS. A re‐evaluation of scaling and root planing. J Periodontol. 2021. Published online: March 4, 2021. doi:10.1002/JPER.20-0839
  13. Donos N, Laurell L, Mardas N. Hierarchical decisions on teeth vs. implants in the periodontitis‐susceptible patient: the modern dilemma. Periodontol 2000. 2012;59(1):89-110. doi:10.1111/j.1600-0757.2011.00433.x

Les CDF contestent la régularisation des aides compensatoires de perte d’activité (DIPA) pendant la crise COVID 19

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Les CDF contestent le mode de régularisation et accompagneront les confrères pénalisés pour avoir trop soigné !

En 2020, les chirurgiens-dentistes ont perçu des avances sur les aides compensatoires de perte d’activité (DIPA), calculées sur un mode déclaratif via leur compte AMELIPRO. Il s’agissait d’une avance de fonds assortie d’une régularisation ultérieure sur le principe d’un calcul séquencé par période.

Ni la chronologie ni la méthode de la régularisation n’avaient été définies en raison des incertitudes liées à la durée et à l’intensité de la crise sanitaire.

Dès la fin du 1er confinement, les CDF ont réclamé la méthode détaillée de calcul de ces régularisations.

Ces détails nous ont enfin été fournis ce jour.

Les CDF sont en total désaccord tant sur l’esprit qui instaure des règles de régularisation différentes de celles ayant prévalu lors des déclarations initiales, que sur le mode de calcul qui pénalise les praticiens qui ont répondu aux besoins de soins après deux mois de fermeture.

Depuis le début de la crise de la COVID-19, les CDF ont été présents pour accompagner les consœurs et les confrères. Comme ils s’y sont engagés, ils continueront à le faire en leur fournissant les éléments pour leur permettre d’évaluer leur situation individuelle et de contester, le cas échéant, les sommes à rembourser.

 

https://lescdf.fr/actualites-publications-espace-presse/dipa-le-scandale-dune-regularisation-abusive

 

PRECISIONS DE LA FSDL :

Vous n’êtes pas sans savoir que notre organisation syndicale a été écartée des discussions concernant ce dispositif d’aide lors de sa mise en place. Seuls les CDF et l’UD ont discuté et validé celui-ci sans qu’aucun mode de calcul ni termes d’application n’aient été fournis par l’UNCAM. 
Après avoir accepté le simple fait de devoir rembourser ces aides, il est un peu facile de jouer les vierges effarouchées !

La FSDL, avec l’aide de son service juridique, prépare un dossier complet pour accompagner ses adhérents et leur apporter des éléments de réponse pour une éventuelle démarche de contestation, le délai pour ce faire étant de seulement 2 mois.

Plus que jamais, soutenez-nous, rejoignez-nous !

À lire sur le site de la FSDL 

Covid-19. Opticiens, assistants dentaires : de nouvelles professions autorisées à vacciner

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De nouveaux corps de métier sont désormais autorisés à vacciner contre le Covid-19, annonce un décret paru dans le Journal officiel ce jeudi 8 juillet. Les opticiens-lunetiers, diététiciens, assistants dentaires psychomotriciens ou audioprothésistes viennent ainsi s’ajouter à la liste des aides-soignants, des physiciens médicaux, des techniciens de laboratoire médical ou des ambulanciers. « Sous la responsabilité d’un médecin »

https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/covid-19-opticiens-assistants-dentaires-de-nouvelles-professions-autorisees-a-vacciner-c115aea2-dfbf-11eb-b44c-63c2df644ddd

 

 

 

Aucune trace du SRAS-CoV-2 dans la salive en aérosol même avec des patients porteurs, selon une étude américaine

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« Dans les limites d’un échantillon de petite taille, nous concluons que le risque de transmission du SRAS-CoV-2 et d’autres agents pathogènes respiratoires à partir de la salive en aérosol dans les cabinets dentaires est modérément faible et que les pratiques actuelles de contrôle des infections sont suffisamment robustes pour protéger le personnel et les patients », concluent les auteurs d’une étude publiée dans le « Journal of Dental Research » le 12 mai.

Pour cela ils ont analysé les origines microbiennes dans les aérosols générés pendant les traitements de 28 patients, dont 15 détartrages, 10 poses d’implant et 3 restaurations prothétiques, au « College of Dentistry » dans l’Etat de l’Ohio entre le 4 mai et le 10 juillet 2020, après la réouverture des cabinets dentaires américains. Ces patients qui n’ont pas été testés au Covid-19 avant les soins, et ont été soignés par cinq praticiens et assistants différents dans deux salles d’opération fermées d’environ 10 m2 avec aération entre chaque patient.

78 % du microbiote pouvait être attribué aux produits d’irrigation dentaire (eau ou solution saline pour les implants), tandis que la salive contribuait à une médiane de seulement 1 % de ce microbiote en aérosol. Mieux encore, aucune trace du virus SRAS-CoV-2 n’a été retrouvée dans les aérosols générés par des patients atteints mais asymptomatiques (les patients symptomatiques ont été exclus de l’étude). Et cela y compris pour le participant dont la charge virale salivaire était la plus élevée, et bien que des traces de sa salive aient pu être identifiées sur le praticien et dans le cabinet.

« Lorsque des mesures de contrôle des infections sont utilisées, telles que les bains de bouche préopératoires et l’évacuation intra-orale à haut volume, le traitement dentaire n’est pas un facteur d’augmentation du risque de transmission du SRAS-CoV-2, souligne l’étude. Les pratiques standard de contrôle des infections sont suffisamment capables de protéger le personnel et les patients contre une exposition à des agents pathogènes potentiels ».

 

l’Information dentaire n° 21/22 – 26 mai 2021

Colorations noires sur les dents, origine et facteurs liés à l’alimentation

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Les colorations noires extrinsèques d’origine bactérienne, appelées communément « black stains » par les anglo-saxons, touchent essentiellement les enfants et sont caractérisées par un liseré noir au collet des dents qui suit le feston gingival.= Ces taches sont retrouvées aussi bien en denture temporaire, qu’en denture mixte ou définitive, même si elles peuvent être observées à n’importe quel âge, y compris chez le jeune adulte. Il a cependant été constaté une expression plus importante sur les dents temporaires. Ces colorations ayant une forte expression durant l’enfance auront tendance à diminuer avec l’âge et disparaître chez le jeune adulte

 

PROCESSUS CHIMIQUE DE FORMATION
De nombreux auteurs à travers leurs études ont révélé la présence d’ions métalliques tel que le fer et le cuivre dans le biofilm des colorations noires extrinsèques d’origine bactérienne. Le sulfure de fer serait responsable de la coloration noire. Celui-ci est le produit d’une réaction chimique à la surface dentaire entre le sulfure d’hydrogène formé par les bactéries anaérobies, en particulier le genre Actinomyces, et le fer présent dans la salive ou le fluide gingival. Le sulfure ferreux est insoluble, il forme donc des dépôts à la surface de l’émail. Ces dépôts se calcifient grâce à la présence de calcium et de phosphates en concentration élevée chez les sujets atteints de colorations noires extrinsèques d’origine bactérienne.

HABITUDES ALIMENTAIRES
La flore buccale est largement influencée par les habitudes alimentaires. En effet une alimentation « cariogène » (alimentation sucrée, boisson sucrée et acide, biberon la nuit etc.…) favorise la prolifération des bactéries cariogènes (Streptoccocus, Lactobacillus…). S’il y a un changement de ces habitudes vers une alimentation moins cariogène, la proportion des bactéries cariogènes va diminuer au profit d’autres bactéries comme par exemple les bactéries chromogènes provoquant des colorations noires extrinsèques. Les enfants qui dormaient tout petits avec un biberon la nuit ont moins de colorations que ceux qui n’en prenaient pas. La consommation de nourriture riche en fer (comme les légumineuses, les légumes, les produits laitiers, les œufs, la viande rouge) favorise la croissance et la prolifération des bactéries chromogènes mais aussi la formation des colorations noires extrinsèques d’origine bactérienne elles-mêmes par une concentration importante de fer. Les enfants consommant des boissons contenant de la vitamine C seraient plus sujets aux colorations noires extrinsèques d’origine bactérienne. Chen et al. [4] ont étudié, dans une population d’enfants vivants à Shanghai, une potentielle corrélation entre les colorations noires extrinsèques d’origine bactérienne et certains aliments (curry, café, thé, sauce de soja) reconnus pour favoriser les colorations dentaires extrinsèques. Parmi ceux-ci, seule la sauce de soja favoriserait la survenue de ces colorations ; en effet les enfants ajoutant de la sauce de soja dans leurs plats sont plus touchés par les colorations noires que ceux n’en consommant peu ou pas du tout. L’origine de l’eau consommée aurait aussi une influence sur leur survenue. Dans les résultats de l’étude de Gasparetto et al. réalisée au Brésil , les enfants buvant l’eau du robinet ont plus de colorations que ceux consommant de l’eau minérale en bouteille ou de l’eau provenant d’une autre source.

Les colorations noires attirent l’attention des parents et des enfants eux-mêmes, ce qui peut influencer l’hygiène bucco-dentaire par un brossage plus précautionneux et plus régulier afin d’essayer « d’éliminer » ou ne pas aggraver ces colorations. De plus celles-ci amènent souvent à consulter un chirurgien-dentiste car elles inquiètent les parents et gênent parfois les enfants.

Ces enfants ont ainsi un examen bucco-dentaire plus précoce que ceux qui viennent consulter uniquement lors de douleurs dentaires dues à une lésion carieuse. Ceci permet au chirurgien-dentiste de faire de la prévention, d’instaurer des contrôles réguliers et par conséquent de diminuer le risque d’apparition de caries.

Les habitudes alimentaires jouent aussi un rôle important puisqu’il a été observé que la diminution des apports cariogènes réduit la prolifération des bactéries cariogènes, permettant de créer un environnement favorable aux autres bactéries de la flore buccale et notamment celles à l’origine des colorations noires extrinsèques d’origine bactérienne. Ces bactéries se développent dans un environnement « peu sucré » contrairement à celles des caries. Donc s’il y a des colorations noires extrinsèques d’origine bactérienne, il y a peu de sucre et peu de bactéries cariogènes.

Conclusion : en l’absence de traitement autre que l’élimination physique de ces tâche par détratrage et / ou aéropolissage, il peut être judicieux d’insister sur le changement ou l’adaptation des habitudes alimentaires.

Source : T H E S E POUR LE DIPLOME D’ETAT DE DOCTEUR EN CHIRURGIE DENTAIRE Présentée et soutenue publiquement le : 10 décembre 2015 par DESGRANGES Maëlle Née le 20 mai 1990, à Montélimar (26) _____________ LE POINT SUR LES COLORATIONS NOIRES EXTRINSEQUES D’ORIGINE BACTERIENNE EN 2015

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Formation des futurs chirurgiens-dentistes : après les chiffres, quels engagements ?

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Le 20 Avril dernier, l’ONDPS (Observatoire National de la Démographie des Professions de Santé) publiait le rapport de la Conférence Nationale de Consensus au sujet des objectifs nationaux de formation des professionnels de santé lors du quinquennat 2021-2025. Les analyses des besoins en santé, délivrées, démontrent la nécessité de former 7 265 nouveaux chirurgiens-dentistes, soit 20 % supplémentaires, sur l’ensemble du territoire lors des cinq prochaines années. L’inégale répartition des praticiens y est soulignée, et corrélée à l’absence d’UFR Odontologie dans certaines régions. Les capacités d’accueil des UFR d’Odontologie sont actuellement saturées : le nombre grandissant d’étudiants est associé à une diminution des encadrants. Les chiffres envisagés d’étudiants admis par UFR d’origine provoqueraient un très fort déséquilibre de la répartition mise en place depuis des années. Il est délicat de les appliquer de la même manière pour les 16 UFR d’Odontologie que pour les UFR de Pharmacie ou de Médecine, plus nombreuses. Un lissage tenant compte à la fois de la subdivision d’origine mais aussi des capacités d’accueil des UFR d’odontologie devra certainement s’opérer. L’apprentissage des gestes techniques en odontologie dépend de moyens matériels (simulateurs, fauteuils, salles de TP, terrains de stage…), coûteux et/ou limités, ainsi que de moyens humains pour assurer un compagnonnage efficace. Le manque criant d’attractivité des carrières HU contribue à expliquer la décroissance des effectifs enseignants. Le rapport recommande l’ouverture de nouvelles UFR d’Odontologie dans des régions qui en sont dépourvues, chose à laquelle les acteurs de la profession sont favorables. Nous souhaitons la création d’une nouvelle UFR d’ici la rentrée 2022 mais ne saurions accepter que cette procédure se fasse sans moyens matériels et humains supplémentaires indispensables à la qualité de notre formation. L’UNECD prend note des conclusions de ce rapport et demande des engagements forts, pérennes et concrets, tout en s’assurant que la qualité de la formation en odontologie ne soit en aucun cas négligée face aux problématiques démographiques.

Alexandre VIGNE Président de l’UNECD 07 70 70 15 26 Avec le soutien de : Thierry SOULIE, Président – CDF Patrick SOLERA, Président – FSDL Nathalie DELPHIN, Présidente – SFCD Franck MOUMINOUX, Président

Source : https://www.unecd.com/communiquepresse/formation-des-futurs-chirurgiens-dentistes-apres-les-chiffres-quels-engagements/ – UD

Un groupe de chercheurs détermine la raison de la sensibilité dentaire au froid

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Un groupe de chercheurs de l’Institut médical Howard Hughes a déterminé que la raison de la sensibilité au froid des dents est en partie due à un canal ionique appelé TRPC5, selon un communiqué de presse de l’institut.

Cette découverte est survenue lorsque les chercheurs ont découvert que la capacité de détection du froid du TPRC5 était dans les dents. Le canal ionique y réside et en particulier dans les dents avec des cavités.

Le TRPC5 existe dans l’odontoblaste qui réside entre la pulpe et la dentine. Lorsque la dentine est exposée et que quelqu’un mord sur quelque chose de froid avec elle, elle ressentira cette sensation de froid vive due au TRPC5.

Cette découverte vient après de nombreuses années de recherche et de tests.

Pour en savoir plus sur l’étude, visitez le journal ici .

3DISC annonce la dernière version du logiciel de numérisation HeronClinic 3.2

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3DISC a annoncé la sortie de la dernière version de son logiciel de gestion de cas et de numérisation IOS appelé HeronClinic 3.2.

Ce logiciel est censé produire des résultats plus fiables et plus précis pour les médecins et les cliniciens, selon un communiqué de presse de la société.

Pour obtenir ces résultats plus précis, HeronClinic 3.2 offrira une résolution plus élevée, plus de modèles pour la bibliothèque d’implants et un meilleur alignement occlusal.

Le nouveau i700 de Medit conçu pour le confort du patient et du clinicien

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Medit a présenté son scanner intra-oral de nouvelle génération, le i700, un suivi du scanner i500 de la société. La nouvelle unité est conçue pour capturer jusqu’à 70 images par seconde, ce qui signifie plus de données à chaque passage – dont le résultat serait une expérience de numérisation fluide et rapide avec des images nettes et des couleurs réalistes.

Medit a inclus une LED UV-C dans le nouveau scanner, ce qui ferait du i700 le seul scanner doté de capacités d’auto-désinfection. L’appareil dispose également d’un nouveau mode de contrôle à distance conçu pour permettre aux utilisateurs de garder leurs mains sur l’appareil et de montrer aux patients les données de numérisation.

«Je suis heureux d’annoncer le scanner intra-oral de nouvelle génération de Medit, le i700. Nous avons pris en compte les commentaires que nous avons reçus après la sortie de l’i500 et les avons utilisés pour guider le développement des logiciels i700 et MEDIT Link tout en restant fidèles à la volonté innovante de Medit de créer le scanner intra-oral de nouvelle génération. Et nous pensons que le nouveau i700 favorisera l’adoption de la dentisterie numérique », déclare GB Ko, PDG de Medit

Ivoclar Vivadent et 3Shape poursuivent leur collaboration

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Les fabricants dentaires intensifient leurs efforts de collaboration dans le but commun de développer les meilleures solutions de santé bucco-dentaire possibles pour la santé et le bien-être des patients.

Les fabricants mondiaux de produits dentaires Ivocalr Vivadent et 3Shape ont travaillé ensemble dans le passé sur des solutions de santé bucco-dentaire et élargissent maintenant leurs efforts de collaboration.

Ivoclar Vivadent est spécialisé dans les matériaux dentaires et dans la production de systèmes de produits intelligents pour l’industrie dentaire dans le but de donner le sourire aux gens du monde entier. 3Shape est un développeur de scanners 3D et des logiciels associés qui établit de nouvelles normes dans les applications numériques. Le portefeuille de produits de la société danoise complète idéalement les systèmes composés de matériaux dentaires et d’équipements de production Ivoclar Vivadent.

Les deux entreprises s’efforcent d’offrir des flux de travail numériques hautement efficaces et entièrement intégrés. Les solutions logicielles de numérisation et de CAO de 3Shape sont coordonnées avec les machines FAO PrograMill et PrograPrint d’Ivoclar Vivadent. Cette combinaison intelligente est conçue pour garantir des résultats exceptionnels qui favorisent la santé et le bien-être.

Les 2 entreprises collaborent dans les domaines suivants:

  • Consultation du patient avec IvoSmile, un logiciel de réalité augmentée qui fournit au patient un aperçu du résultat du traitement en 3D en temps réel.
  • Une solution entièrement intégrée au fauteuil comprenant les scanners intra-oraux PrograScan One et PrograMill One, une fraiseuse compacte à 5 axes conçue pour IPS e.max.
  • Intégration du système Ivotion Denture et des flux de travail brevetés d’Ivoclar Vivadent dans le 3Shape Dental System 2020.

Diego Gabathuler, PDG d’Ivoclar Vivadent, affirme que la dernière collaboration offre des solutions de bout en bout compétitives non seulement pour les cabinets dentaires, mais également pour les laboratoires et les cabinets d’orthodontie.

Créer ensemble le futur sourire des patients
IvoSmile est un logiciel basé sur la réalité augmentée conçu pour aider les professionnels dentaires à conseiller efficacement leurs patients. IvoSmile a été intégré dans le simulateur de traitement 3Shape TRIOS. Par conséquent, les patients peuvent avoir un aperçu en temps réel de leur nouveau sourire potentiel après un traitement orthodontique. IvoSmile est désormais entièrement compatible avec le système dentaire 3Shape. La nouvelle version de l’application * garantit une intégration CAO complète. Les données IvoSmile sont transférées rapidement et facilement au laboratoire dentaire via une interface spéciale. Par la suite, les données de construction sont renvoyées du système dentaire 3Shape au cabinet, où le patient voit la proposition de traitement en détail. Le laboratoire et le dentiste peuvent alors coordonner efficacement le travail nécessaire pour créer le nouveau sourire du patient.

Un système entièrement intégré pour les dentistes
Deux nouveaux scanners intra-oraux PrograScan One alimentés par 3Shape ont rejoint le système entièrement intégré au fauteuil d’Ivoclar Vivadent, qui permet aux dentistes de fabriquer en interne des restaurations dentaires hautement esthétiques et précises. PrograScan One est parfaitement coordonné avec la fraiseuse PrograMill One – une fraiseuse au fauteuil spécialement développée pour le traitement d’IPS e.max – pour une expérience utilisateur inégalée. Ce processus est conçu pour changer la façon dont les dentistes font leur travail. Le logiciel polyvalent PrograDesign propose des flux de travail intuitifs impliquant à la fois PrograScan One et PrograMill One. Ce système clinique complet et intégré offre aux dentistes une flexibilité exceptionnelle:

Une révolution dans la fabrication de prothèses
Le système Ivotion Denture d’Ivoclar Vivadent fournit un flux de travail numérique complet et fluide pour la fabrication de prothèses amovibles de haute qualité. Le disque CAD / CAM Ivotion monolithique bicolore – en combinaison avec les fraiseuses PrograMill – vous permet de fabriquer des prothèses supérieures et inférieures de manière efficace et prévisible en un seul processus de fraisage. La «géométrie de la coque» qui est située à l’intérieur du disque est une structure d’arcade dentaire tridimensionnelle qui définit la transition entre la dent et les sections gingivales du disque. On dit qu’il garantit des résultats sans stress, très forts et homogènes. Le logiciel intuitif Ivotion CAD Design, intégré au 3Shape Dental System 2020, vous permet de personnaliser la prothèse amovible en fonction des besoins individuels du patient. Une fois la prothèse usinée,

PrograMill ©, PrograPrint®, IPS e.max® et IvoSmile®  sont des marques déposées d’Ivoclar Vivadent AG.

* L’application IvoSmile est disponible sur certains marchés.

Maintenant on répare les dents avec… des INLAYS ! (késako?)

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Qu’est-ce qu’un inlay ? à quoi ça sert ? comment c’est fait ? Toutes les réponses dans cette vidéo !
Ces restaurations ont des indications et peuvent des fois ne pas correspondre à ce qu’il vous faut, le diagnostic d’un chirurgien-dentiste est au préalable indispensable.

Vidéo et montage : Dr. Inès Meisels
Contenu informatif / Script : Dr. Damien Offner / Dr. Inès Meisels

Straumann va distribuer les scanners intra-oraux Mediti500

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SEOUL, Corée du Sud, 22 décembre 2020 /PRNewswire/ — Medit et Straumann ont conclu un partenariat mondial de distribution de scanners intra-oraux qui entrera en vigueur le 1er janvier 2021. Cet accord s’appuie sur le partenariat existant entre les deux sociétés pour les scanners de laboratoire dentaire.

L’accord de distribution inclut le très populaire scanner intra-oral de Medit, l’i500. Le scanner offre d’excellentes performances pour un large éventail d’applications et le mois dernier, la société a publié une mise à jour logicielle qui améliore encore les capacités de l’i500.

Le groupe Straumann est un leader mondial dans le domaine des solutions de remplacement dentaire et d’orthodontie qui développe, fabrique et fournit des marques mondiales innovantes pour la dentisterie de remplacement, la dentisterie corrective et la dentisterie numérique.

Avec la forte présence de Medit en tant que fournisseur de systèmes ouverts et le vaste écosystème numérique du groupe Straumann, le partenariat repose sur de puissantes synergies et sur l’objectif commun de favoriser l’adoption de la dentisterie numérique. Avec l’accord de distribution, le Medit i500 sera intégré dans les solutions de flux de travail de Straumann pour les prothèses et les gouttières transparentes, telles que ClearCorrect. L’alliance comprendra également le flux de travail entre la plate-forme de collaboration ouverte de Medit, Medit Link, et les plates-formes logicielles ouvertes du groupe Straumann pour la planification chirurgicale, les prothèses CAO/FAO et les services de traitement.

GB (Gyu Bum) Ko, PDG de Medit : « Nous sommes heureux et fiers d’annoncer le partenariat avec le groupe Straumann, une société de renommée mondiale dans le domaine de l’industrie dentaire. Le scanner intra-oral i500 de Medit a été très apprécié pour sa superbe qualité et ses excellentes performances dans les applications dentaires. Nous sommes vraiment enthousiastes à l’idée de nous rapprocher de notre objectif de promouvoir l’adoption de la dentisterie numérique dans le cadre de ce partenariat. »

Guillaume Daniellot, PDG du groupe Straumann : « Un objectif stratégique clé pour le groupe Straumann est de créer le principal écosystème pour la dentisterie esthétique, en connectant toutes nos solutions, services et équipements numériques avec des partenaires et des tiers, afin de fournir des flux de travail continus pour les dentistes et des résultats de traitement optimaux pour les patients. Les scanners intra-oraux jouent un rôle essentiel à cet égard et, grâce à Medit, nous pourrons inclure un très large segment de dentistes pour lesquels le prix a été un obstacle majeur ».

À propos du groupe Straumann

Le groupe Straumann (SIX: STMN) est un leader mondial dans le domaine du remplacement des dents et des solutions orthodontiques qui redonnent le sourire et la confiance. Il réunit des marques mondiales et internationales qui sont synonymes d’excellence, d’innovation et de qualité dans le domaine de la dentisterie de remplacement, corrective et numérique, notamment Anthogyr, ClearCorrect, Dental Wings, Medentika, Neodent, Straumann et d’autres sociétés et partenaires à part entière ou à participation. En collaboration avec des cliniques, des instituts et des universités de premier plan, le groupe effectue des recherches, développe, fabrique et fournit des implants dentaires, des instruments, des prothèses CFAO, des biomatériaux et des solutions numériques utilisés pour le remplacement et la restauration des dents ou pour prévenir la perte des dents.

Situé à Bâle, en Suisse, le groupe emploie actuellement plus de 7 200 personnes dans le monde entier et ses produits, solutions et services sont disponibles dans plus de 100 pays grâce à un vaste réseau de filiales de distribution et de partenaires.

À propos de Medit Corp

Medit est un fournisseur mondial de solutions de numérisation 3D pour les cliniques et les laboratoires dentaires, y compris de scanners intra-oraux. La société développe également des solutions de plateforme pour la dentisterie numérique qui prennent en charge des flux de travail collaboratifs. L’objectif de l’entreprise est de fournir une technologie innovante et des produits de la plus haute qualité pour aider à l’adoption de la dentisterie numérique.

Medit a son siège à Séoul, en Corée du Sud, depuis sa création en 2000. La société a également des représentants en Amérique et en Europe et dispose d’un réseau de distribution mondial dans plus de 70 pays.

3Shape Dental System : conception 3D des barres sur implants

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Astem Digital vous propose de découvrir les fonctionnalités et les possibilités du 3Shape Dental System (Implant et barre)

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