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Diagnostic des caries sous une prothèse fixe avec l’imagerie Cone Beam
Vérifier la présence ou l'absence de caries sous une couronne ou un bridge par une radiographie sans avoir à déposer la restauration prothétique pourrait être intéressant pour le clinicien. Le but de cette étude était de déterminer la possibilité de détecter et diagnostiquer les caries sous des restaurations prothétique à l'aide de faisceau conique tomodensitométrie en fonction de différents matériaux.
Une gamme de dents avec de grade 3 à 6 caries, selon des critères de détection international Caries et système d'évaluation, ont été sélectionnés. Toutes les dents ont été préparées, et trois différents types d'échantillons de restauration ont été mis en place pour
-Bridges "tout céramique"
-Céramo-zircone
-Bridges "tout céramique"
-Discilicate de lithium
-Bridges Céramo-Métallique
Chaque spécimen a été soumis à un balayage par faisceau conique tomodensitométrie. Les valeurs d'opacité ont été enregistrées et évaluées en utilisant une analyse bidirectionnelle de la variance. Le test de Tukey a été réalisée pour le matériel et les différences de coupes, et le test de t pour les différences de gris de valeur moyenne, entre les zones caries et absence de caries pour chaque matériau.
RÉSULTATS:
Des différences significatives ont été détectées par rapport à l'emplacement horizontal (antérieur / postérieur), type de restauration (couronne / pont), matériau (zircone / disilicate de lithium / métal), et de la situation (caries / absence de caries) (P <0,001). Les valeurs moyennes de gris des régions avec caries ou absence de caries ont été trouvées diffèrentes pour chaque matériau. Il n'y a eu aucune différence significative par rapport respect de la position verticale.
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CONCLUSIONS:
L'analyse d'images réalisée par tomographie Cône Beam, assistée par ordinateur peut être utilisée comme une technique de diagnostic pour la détection de post-traitement des caries sous des prothèses dentaires fixes numériques des plaques. En combinant des paramètres de hautes résolution et une précision, une tomographie Cône Beam pourrait fournir les moyens pour diagnostiquer les caries sans dépose des prothèses fixes.
Oral Surg Oral Med Pathol Oral Oral Radiol. 2015 May; 119 (5): 579-83. doi: 10.1016 / j.oooo.2015.02.004. Epub 2015 14 février.
Est-il possible de diagnostiquer les caries sous les prothèses partielles fixes avec faisceau conique tomodensitométrie?
Aglarci OS 1, Bilgin MS 2, Erdem A 2, Ertas ET 3. ...>> Lire l'article complet...
38 % des Français renoncent aux soins dentaires faute d’argent
Une nouvelle étude sur les prix pratiqués par les dentistes met en lumière un taux très élevé d'abandon des soins, surtout quand le reste à charge dépasse 1 000 €.
Si la phobie du dentiste en freine plus d’un, c’est bien la facture qui reste la plus dissuasive pour les Français : 38 % ont déjà renoncé à se faire soigner faute de moyens selon une étude menée sur 500 devis envoyés par des adhérents de la société Santéclair.
Un renoncement proportionnel au montant de la facture
Dans le détail, 200 devis sur 500 affichaient un reste à charge de plus de 1.000 euros, 197 un reste à charge de 250 à 1.000 euros et 103 un reste à charge de moins de 250 euros. Au total, seuls 203 assurés (40 %) ont effectué le traitement dans sa totalité.
« Dès que le reste à charge, c’est-à-dire la somme à payer au bout du compte par le patient, dépasse 1.000 euros, le renoncement grimpe à 60 %, démontrant un lien entre coût et abandon », explique Marianne Binst, directrice de Santéclair citée par Le Parisien. Si le reste à la charge du patient dépasse les 2.000 euros, seuls 20 % des patients décident de se faire soigner.
nterrogée, la Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD) se défend en renvoyant la balle dans le camp de l'Etat et des complémentaires santé. « Je ne suis pas surprise par ces résultats, réagit sa présidente, Catherine Mojaïski, car les bases de remboursement de la Sécurité sociale n'ont pas augmenté depuis vingt-sept ans. Les tarifs des soins conservateurs (traitement des caries, détartrages...) sont gelés, contrairement aux prothèses où nous pouvons faire des dépassements d'honoraires pour faire face aux charges. Je note que le reste à charge, 2,2 milliards en dentaire, n'a pas bougé depuis 1991 ». Marianne Binst dénonce, elle, une « profession figée sur ses pratiques qui laissent les patients sur le carreau. Les dentistes gagnent bien leur vie, pourquoi changer ? Pourtant, des marges existent. La spécialisation, les cabinets de groupe pour partager les charges, la délégation de tâches permettent de réduire la facture ». Les pratiques et les tarifs de la profession sont aussi regardés de près par la Cour des comptes qui vient d'ouvrir une enquête. Ses résultats devraient être connus avant la renégociation de la convention entre les dentistes et l'Assurance maladie l'an prochain.
Selon Catherine Mojaïski, présidente de la Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD), les dentistes ne doivent pas être pointés du doigt: « Je ne suis pas surprise par ces résultats car les bases de remboursement de la Sécurité sociale n’ont pas augmenté depuis vingt-sept ans, explique-t-elle au quotidien. Les tarifs des soins conservateurs (traitement des caries, détartrages…) sont gelés, contrairement aux prothèses où nous pouvons faire des dépassements d’honoraires pour faire face aux charges. Je note que le reste à charge, 2,2 milliards en dentaire, n’a pas bougé depuis 1991 ».
Sources :
http://www.20minutes.fr/societe/1717395-20151026-sante-38-francais-renoncent-soins-dentaires-faute-argent
http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/soins-dentaires-4-patients-sur-10-renoncent-a-cause-des-tarifs-24-10-2015-5215041.php...>> Lire l'article complet...