Trending Now
POPULAR TODAY
- All
- Assistantes
- Dentistes
- Etudiants
- Etudiants en dentaire
- Fournisseurs
- Les news du site
- Patients
- Prothésistes
- Trucs & Astuces
More
Foyers infectieux dentaires et Radiothérapie cervico-faciale
Voici les recommandations à appliquer au cabinet dentaire pour un patient en cas de Radiothérapie cervico-faciale :
:: Avant irradiation :
12 Avant toute radiothérapie cervico-faciale (APF) :
un bilan bucco-dentaire doit être entrepris au plus tôt
il est impératif déliminer les FIBD situés dans les faisceaux (champs) dirradiation.
-Les gestes chirurgicaux destinés à assainir la cavité buccale doivent être entrepris au plus tôt de
façon à ce que la cicatrisation muqueuse soit acquise avant le début de la radiothérapie (APF).
:: Après irradiation (et quel que soit le délai) :
-Il ny a pas lieu de prendre des mesures particulières si la dose dirradiation reçue par le
maxillaire et/ou la mandibule est inférieure à 30 Gy (CR).
-Afin de diminuer le risque dostéo-radionécrose, les avulsions dentaires éventuellement
nécessaires doivent être effectuées :
après information sur la dose reçue et les faisceaux (champs) dirradiation (APF).
dans un plateau technique chirurgical adapté à la situation et apportant les garanties de
qualité et de sécurité (APF) ;
-Devant un risque dostéo-radionécrose, un traitement antibiotique doit être institué en cas de
geste invasif (avulsion dentaire, curetage ) (APF). Il convient de débuter cette prescription au
moins 1h avant le geste (APF) (pas de consensus pour un délai plus long) et de la poursuivre
jusquà la cicatrisation de la muqueuse (APF).
-Après irradiation supérieure à 30 Gy, un suivi bucco-dentaire est recommandé avec une fréquence
de 4 à 6 mois (CR)
----------------------------------------------------------------------------------------
Abréviations
FIDB : foyer infectieux bucco-dentaire
SRIP : situation à risque infectieux potentiel
Niveau de preuve 1 : preuve scientifique établie
Niveau de preuve 2 : présomption scientifique
Niveau de preuve 3 : faible niveau de preuve scientifique
APF : accord professionnel fort
CR : accord professionnel avec consensus relatif
Source : http://societechirorale.com/documents/Recommandations/recommandations_foyers_infectieux_texte_court_1.pdf
:: Avant irradiation :
12 Avant toute radiothérapie cervico-faciale (APF) :
un bilan bucco-dentaire doit être entrepris au plus tôt
il est impératif déliminer les FIBD situés dans les faisceaux (champs) dirradiation.
-Les gestes chirurgicaux destinés à assainir la cavité buccale doivent être entrepris au plus tôt de
façon à ce que la cicatrisation muqueuse soit acquise avant le début de la radiothérapie (APF).
:: Après irradiation (et quel que soit le délai) :
-Il ny a pas lieu de prendre des mesures particulières si la dose dirradiation reçue par le
maxillaire et/ou la mandibule est inférieure à 30 Gy (CR).
-Afin de diminuer le risque dostéo-radionécrose, les avulsions dentaires éventuellement
nécessaires doivent être effectuées :
après information sur la dose reçue et les faisceaux (champs) dirradiation (APF).
dans un plateau technique chirurgical adapté à la situation et apportant les garanties de
qualité et de sécurité (APF) ;
-Devant un risque dostéo-radionécrose, un traitement antibiotique doit être institué en cas de
geste invasif (avulsion dentaire, curetage ) (APF). Il convient de débuter cette prescription au
moins 1h avant le geste (APF) (pas de consensus pour un délai plus long) et de la poursuivre
jusquà la cicatrisation de la muqueuse (APF).
-Après irradiation supérieure à 30 Gy, un suivi bucco-dentaire est recommandé avec une fréquence
de 4 à 6 mois (CR)
----------------------------------------------------------------------------------------
Abréviations
FIDB : foyer infectieux bucco-dentaire
SRIP : situation à risque infectieux potentiel
Niveau de preuve 1 : preuve scientifique établie
Niveau de preuve 2 : présomption scientifique
Niveau de preuve 3 : faible niveau de preuve scientifique
APF : accord professionnel fort
CR : accord professionnel avec consensus relatif
Source : http://societechirorale.com/documents/Recommandations/recommandations_foyers_infectieux_texte_court_1.pdf
La microstructuration des surfaces implantaires au laser
Consultant suisse spécialisé dans le traitement de surface, Eoswiss Engineering voit dans le laser un excellent moyen de rendre les surfaces d’implants fonctionnelles, au travers de la microstructuration. Celle-ci facilite l’adsorption des protéines et des enzymes et favorise l’adhésion cellulaire… premières étapes de l’ostéo-intégration.
Les débats au sujet des implants se concentrent souvent sur les seuls matériaux. Pourtant, les couches supérieures peuvent présenter des spécificités chimiques très différentes du matériau plein. Il est même parfois approprié de réaliser un traitement chimique afin de rendre la surface biocompatible. C’est le cas des implants en titane avec des couches de surface en dioxyde de titane (hydraté).
Il s’est avéré récemment qu’à part la spécificité chimique de la surface, sa topologie joue un rôle crucial dans le processus d’intégration des implants et des tissus. Ce n’est donc pas uniquement l’exactitude chimique qui importe, mais également la précision de la taille et du type de structure de la surface.
Les technologies laser offrent une excellente capacité de structurer les surfaces afin de les rendre fonctionnelles. Seuls les lasers de la toute dernière génération comportent les dispositifs physiques nécessaires à la microstructuration des surfaces.
Cette nouvelle génération de lasers n’est pas encore largement accessible, mais ses premiers résultats sont prometteurs. Elle permet en effet de réaliser des structures d’environ 0,5 micron. Dans des dimensions de cet ordre, les propriétés de mouillage des fluides sur l’implant peuvent être modifiées. Cette modification est d’une très grande importance pour l’adhésion cellulaire.
Le laser offre un autre grand avantage lors de l’usinage : il évite les contaminations. De cette manière, aucune autre substance n’entre en contact avec la surface de l’implant comme c’est le cas avec le sablage ou l’attaque à l’acide.
Grâce à ces nouvelles technologies, les matériaux durs comme les céramiques et les métaux, mais également les matériaux plus souples comme les polymères peuvent être structurés avec des précision de l’ordre du micron. Cette structuration facilite l’adsorption des protéines et des enzymes et favorise l’adhésion cellulaire. Ces étapes sont considérées comme les premières phases de l’ostéo-intégration.
Source : http://www.devicemed.fr/dossiers/sous-traitance-et-services/traitement_surface/de-lutilisation-du-laser-pour-la-microstructuration-de-surfaces-dimplants/4245
Eoswiss Engineering, CH-1206 Genève, www.eoswiss-engineering.ch...>> Lire l'article complet...