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Eye CAD Connect, l’empreinte optique avec des lunettes conectées

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Pendant la prise d’empreinte numérique, le moniteur externe du CEREC positionné sur le
côté oblige habituellement le dentiste à tourner la tête régulièrement pendant l’intervention. La coordination oeil-main est entravée et cela peut être
source d’inconfort chez le patient.
IDENT, une société de conseil et de formation professionnelle en dentisterie, a créé une solution : eyeCAD-connect. Ce système s’appuie
sur la plateforme Moverio BT-200 comme appareil de lecture afin de ne plus avoir à détourner le regard. Grâce à cet affichage tête haute, le
dentiste ne quitte plus le patient des yeux : l’image de la caméra se superpose à la dentition du patient toujours visible en transparence. Cela
permet une meilleure coordination oeil-main et un temps d’intervention plus précis.
Grâce à l’application eyeCAD-connect, vous voyez devant vous l’empreinte numérique du système CAO (conception assistée par ordinateur) tout en soignant le patient puisque les verres de lunettes transparents ne limitent aucunement votre champ de vision.
Issues des dernières technologies, les lunettes connectées multimédia Moverio BT 200 d’Epson combinées
au système eyeCAD-connect, vous assisteront lors de l’utilisation de votre système de CFAO.
Les lunettes seront connectées à votre CFAO via le réseau Wi-Fi et afficheront instantanément les informations
de l’empreinte numérique, ainsi vous n’avez plus besoin de regarder votre écran. Distribué en France par Schein, Eye Cad connect sera présenté en avant première cette année au congrès ADF. Ce produit est également sélectionné comme finaliste au prix de l’innovation ADF 2015.

>>> VOIR LA VIDEO : https://www.youtube.com/watch?v=cLZOSuALMx4
Source : http://www.eyecad-connect.com/
…>> Lire l’article complet…

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Eye CAD Connect, l’empreinte optique avec des lunettes conectées

Eye CAD Connect, l’empreinte optique avec des lunettes conectées

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Pendant la prise d’empreinte numérique, le moniteur externe du CEREC positionné sur le
côté oblige habituellement le dentiste à tourner la tête régulièrement pendant l’intervention. La coordination oeil-main est entravée et cela peut être
source d’inconfort chez le patient.
IDENT, une société de conseil et de formation professionnelle en dentisterie, a créé une solution : eyeCAD-connect. Ce système s’appuie
sur la plateforme Moverio BT-200 comme appareil de lecture afin de ne plus avoir à détourner le regard. Grâce à cet affichage tête haute, le
dentiste ne quitte plus le patient des yeux : l’image de la caméra se superpose à la dentition du patient toujours visible en transparence. Cela
permet une meilleure coordination oeil-main et un temps d’intervention plus précis.
Grâce à l’application eyeCAD-connect, vous voyez devant vous l’empreinte numérique du système CAO (conception assistée par ordinateur) tout en soignant le patient puisque les verres de lunettes transparents ne limitent aucunement votre champ de vision.
Issues des dernières technologies, les lunettes connectées multimédia Moverio BT 200 d’Epson combinées
au système eyeCAD-connect, vous assisteront lors de l’utilisation de votre système de CFAO.
Les lunettes seront connectées à votre CFAO via le réseau Wi-Fi et afficheront instantanément les informations
de l’empreinte numérique, ainsi vous n’avez plus besoin de regarder votre écran. Distribué en France par Schein, Eye Cad connect sera présenté en avant première cette année au congrès ADF. Ce produit est également sélectionné comme finaliste au prix de l’innovation ADF 2015.
>>> VOIR LA VIDEO : https://www.youtube.com/watch?v=cLZOSuALMx4
Source : http://www.eyecad-connect.com/
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Eye CAD Connect, l’empreinte optique avec des lunettes conectées

L’accès à l’imagerie sans contact au bloc opératoire désormais possible

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Consulter une image numérique 3D d’un scanner en cours d’intervention au bloc opératoire est un problème récurrent en raison des règles strictes d’asepsie. L’accès aux images médicales sans contact , c’est ce que propose désormais la société Française Therapixel. La start-up basée à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritime) vient de lever 600 000 euros auprès de business angels et de fonds de capital-risque régionaux. Elle fait suite à une première levée de fonds de pré-amorçage de 300 000 euros, fin 2014. Ce nouvel apport de capital va notamment lui permettre de recruter trois collaborateurs pour pousser les feux à l’international et faire passer l’équipe à 9 personnes dans le courant de premier trimestre 2015.

A l’origine de la jeune pousse, deux chercheurs de l’Inria. Olivier Clatz et Pierre Fillard qui veulent faciliter la vie des chirurgiens.

« Nous avions d’abord eu l’idée de travailler sur un projet de logiciel de traitement d’image, confie Olivier Clatz. Mais nous avons eu plusieurs retours de chirurgiens nous disant de nous intéresser d’abord à l’accès à l’information. »

Des médecins leur ont même cité la Microsoft Kinect, comme source d’inspiration : un moyen d’accéder aux informations sur leur patient, dans le bloc opératoire, sans contact donc sans risque de contamination.

Faire gagner du temps au chirurgien

Dès 2011, à l’abri de l’Inria, les deux chercheurs commence à développer leur dispositif. Plusieurs prototypes plus tard, ils réussissent à gagner le concours de création d’entreprises du ministère de la Recherche et de l’enseignement supérieur et créent l’entreprise en 2013. Fin 2014, le logiciel, baptisé Fluid, est prêt pour la commercialisation.

« Changer le mode de contrôle de l’information ne suffisait pas, explique Olivier Clatz. Il était très important de développer un produit qui soit efficace et qui fasse gagner du temps au chirurgien. »

Les deux fondateurs ont axé leurs recherches sur la simplicité du système et l’ergonomie de l’interface. Selon Therapixel, le logiciel Fluid serait treize fois plus efficace et rapide que le mode de recherche d’information traditionnel (qui consiste à… demander à l’infirmière d’aller chercher l’information).

Therapixel a par ailleurs poussé son concept encore plus loin. Elle a développé deux nouveaux produits complémentaires de Fluid. Le logiciel Anywhere permet au chirurgien de planifier son intervention à partir de n’importe quel terminal (smartphone, tablette, etc.). Et la station CD Feed permet d’importer les images médicales du patient contenues sur CD-Rom, dans le système.

http://www.usinenouvelle.com/editorial/therapixel-leve-600-000-euros-pour-faciliter-la-vie-des-chirugiens.N364115…>> Lire l’article complet…

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L’accès à l’imagerie sans contact au bloc opératoire désormais possible

OrthoAccel, fabricant d’AcceleDent, nommée au classement Technology Fast 500 2015 de Deloitte

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HOUSTON, le 14 novembre 2015 /PRNewswire/ — OrthoAccel® Technologies, Inc. se classe en deuxième position au Texas et à la soixante-neuvième place au niveau national au Technology Fast 500 2015 de Deloitte, un prestigieux classement qui reconnaît les sociétés à la croissance la plus rapide en Amérique du Nord. Seule société orthodontique parmi les 500 entreprises classées cette année, OrthoAccel fabrique AcceleDent®, un dispositif médical de classe II approuvé par la FDA qui accélère le mouvement orthodontique des dents de près de 50 pour cent. AcceleDent est recommandé par de nombreux orthodontistes leaders de l’industrie comme la solution la plus rapide, la plus sûre et la plus douce pour accélérer le traitement orthodontique.

Photo – http://photos.prnewswire.com/prnh/20151113/287120

OrthoAccel, qui fabrique AcceleDent au Texas, a rapporté une croissance de 1 171 pour cent de 2011 à 2014, ce qui fait d’elle la société ayant connu la plus forte croissance à Houston dans le classement Technology Fast 500 de Deloitte.

« En tant que société relativement jeune, OrthoAccel est honorée de figurer parmi le classement Fast 500 de Deloitte et d’être répertoriée parmi les marques technologiques les plus respectées et les plus dynamiques », a déclaré Michael K. Lowe, président-directeur général d’OrthoAccel. « Notre croissance rapide est attribuée à notre équipe talentueuse et motivée, qui met tout en œuvre pour s’assurer que les professionnels et consommateurs comprennent les avantages d’AcceleDent et la façon dont il révolutionne l’industrie orthodontique ».

Dispositif sur prescription médicale uniquement, AcceleDent est disponible auprès de plus de 2 900 sites orthodontiques en Amérique du Nord et 360 sites internationaux. Les patients orthodontiques mordent doucement l’embouchure d’AcceleDent pendant 20 minutes quotidiennement et de légères pulsations employées par la technologie brevetée SoftPulse Technology® travaillent au niveau cellulaire pour accélérer le modelage et le remodelage osseux dans la région craniofaciale. Les patients ont déclaré que les légères pulsations d’AcceleDent soulagent la douleur parfois associée au traitement orthodontique.

Selon le Journal of Clinical Orthodontics, AcceleDent est la technique de traitement accéléré la plus couramment utilisée par les orthodontistes. En outre, 100 pour cent des patients interrogés ont déclaré être satisfaits de leur expérience lors de l’utilisation d’AcceleDent, et de sa simplicité d’utilisation.

Avec l’American Association of Orthodontists signalant un record absolu de patients adolescents et adultes, le membre du Conseil d’OrthoAccel Brian R. Smith déclare que l’opportunité commerciale pour OrthoAccel est évidente, car les patients ont hâte de terminer leur traitement et AcceleDent leur offre un moyen simple et non invasif de le terminer plus rapidement.

« Le classement Fast 500 de Deloitte reconnaît en outre la position d’OrthoAccel en tant que leader de l’industrie orthodontique accélérée et encouragera encore plus la dynamique de la société », a déclaré Smith, directeur général de S3 Ventures, une société de capital-risque axée sur le Texas. « La croissance d’OrthoAccel au sein de l’industrie orthodontique est inégalée et la société continue à se concentrer sur les innovations qui améliorent l’expérience de traitement pour tous les patients ».

À propos d’OrthoAccel® Technologies, Inc.

Située à Houston, Texas, OrthoAccel® Technologies, Inc. est une société privée de dispositifs médicaux impliquée dans le développement, la fabrication et la commercialisation de produits visant à améliorer les soins dentaires et les traitements orthodontiques. OrthoAccel a mis au point et commercialise AcceleDent®, la première méthode clinique approuvée par la FDA pour accélérer le mouvement orthodontique des dents au moyen de douces micropulsations par le biais de la technologie SoftPulse Technology®, qui sert de complément aux traitements d’orthodontie existants. Vous pouvez trouver plus d’informations à l’adresse acceledent.com.

Source – 

OrthoAccel, fabricant d’AcceleDent, nommée au classement Technology Fast 500 2015 de Deloitte

OrthoAccel, fabricant d’AcceleDent, nommée au classement Technology Fast 500 2015 de Deloitte

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HOUSTON, le 14 novembre 2015 /PRNewswire/ — OrthoAccel® Technologies, Inc. se classe en deuxième position au Texas et à la soixante-neuvième place au niveau national au Technology Fast 500 2015 de Deloitte, un prestigieux classement qui reconnaît les sociétés à la croissance la plus rapide en Amérique du Nord. Seule société orthodontique parmi les 500 entreprises classées cette année, OrthoAccel fabrique AcceleDent®, un dispositif médical de classe II approuvé par la FDA qui accélère le mouvement orthodontique des dents de près de 50 pour cent. AcceleDent est recommandé par de nombreux orthodontistes leaders de l’industrie comme la solution la plus rapide, la plus sûre et la plus douce pour accélérer le traitement orthodontique.

Photo – http://photos.prnewswire.com/prnh/20151113/287120

OrthoAccel, qui fabrique AcceleDent au Texas, a rapporté une croissance de 1 171 pour cent de 2011 à 2014, ce qui fait d’elle la société ayant connu la plus forte croissance à Houston dans le classement Technology Fast 500 de Deloitte.

« En tant que société relativement jeune, OrthoAccel est honorée de figurer parmi le classement Fast 500 de Deloitte et d’être répertoriée parmi les marques technologiques les plus respectées et les plus dynamiques », a déclaré Michael K. Lowe, président-directeur général d’OrthoAccel. « Notre croissance rapide est attribuée à notre équipe talentueuse et motivée, qui met tout en œuvre pour s’assurer que les professionnels et consommateurs comprennent les avantages d’AcceleDent et la façon dont il révolutionne l’industrie orthodontique ».

Dispositif sur prescription médicale uniquement, AcceleDent est disponible auprès de plus de 2 900 sites orthodontiques en Amérique du Nord et 360 sites internationaux. Les patients orthodontiques mordent doucement l’embouchure d’AcceleDent pendant 20 minutes quotidiennement et de légères pulsations employées par la technologie brevetée SoftPulse Technology® travaillent au niveau cellulaire pour accélérer le modelage et le remodelage osseux dans la région craniofaciale. Les patients ont déclaré que les légères pulsations d’AcceleDent soulagent la douleur parfois associée au traitement orthodontique.

Selon le Journal of Clinical Orthodontics, AcceleDent est la technique de traitement accéléré la plus couramment utilisée par les orthodontistes. En outre, 100 pour cent des patients interrogés ont déclaré être satisfaits de leur expérience lors de l’utilisation d’AcceleDent, et de sa simplicité d’utilisation.

Avec l’American Association of Orthodontists signalant un record absolu de patients adolescents et adultes, le membre du Conseil d’OrthoAccel Brian R. Smith déclare que l’opportunité commerciale pour OrthoAccel est évidente, car les patients ont hâte de terminer leur traitement et AcceleDent leur offre un moyen simple et non invasif de le terminer plus rapidement.

« Le classement Fast 500 de Deloitte reconnaît en outre la position d’OrthoAccel en tant que leader de l’industrie orthodontique accélérée et encouragera encore plus la dynamique de la société », a déclaré Smith, directeur général de S3 Ventures, une société de capital-risque axée sur le Texas. « La croissance d’OrthoAccel au sein de l’industrie orthodontique est inégalée et la société continue à se concentrer sur les innovations qui améliorent l’expérience de traitement pour tous les patients ».

À propos d’OrthoAccel® Technologies, Inc.

Située à Houston, Texas, OrthoAccel® Technologies, Inc. est une société privée de dispositifs médicaux impliquée dans le développement, la fabrication et la commercialisation de produits visant à améliorer les soins dentaires et les traitements orthodontiques. OrthoAccel a mis au point et commercialise AcceleDent®, la première méthode clinique approuvée par la FDA pour accélérer le mouvement orthodontique des dents au moyen de douces micropulsations par le biais de la technologie SoftPulse Technology®, qui sert de complément aux traitements d’orthodontie existants. Vous pouvez trouver plus d’informations à l’adresse acceledent.com.

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OrthoAccel, fabricant d’AcceleDent, nommée au classement Technology Fast 500 2015 de Deloitte

Imprimante 3D et technologie 3D Polyjet appliquée au secteur dentaire chez Stratasys

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L’avenir de l’Odontologie est numérique et l’impression 3D va prendre une place de plus en plus grande dans ce développement.
La société Stratasys proposent plusieurs types d’imprimantes 3D à destination des cabinets dentaires ou d’orthodontie ou destiné à une plus grande production en laboratoire.
La technologie PolyJet permet de produire rapidement et simplement des guides chirurgicaux, des modèles pour ajustement, des facettes d’essayage et des appareils d’orthodontie à partir de matériaux spécialement conçu pour les applications dentaires.


Quelques imprimantes 3D proposées par la société Stratasys

Avi Cohen, Directeur du secteur Dentaire chez Stratasys, résume sa vision des tendances à venir:
“Un jour, dans un futur proche, 2013 représentera l’année pendant laquelle les laboratoires dentaires ont ont évolué d’un workflow manuel traditionnel vers un processus de conception et de fabrication complètement numérique… Pour de nombreux professionnels du secteur dentaire, cette évolution est la transition tant attendue vers une automation plus rapide de la CAO/CFAO. Elle permet d’améliorer la qualité et la précision tout en restant compétitif. »

« L’impression 3D étant adoptée par de plus en plus de laboratoires dentaires et d’orthodontie pour des raisons de précision et de production accrue, le paysage dentaire tel que nous le connaissons ne sera jamais plus le même ».

L’imprimante d’entrée de gamme l’Objet30 OrthoDesk présente plusieurs avantages :
-Plus de 20 modèles par passe d’impression
-Des matériaux spécialement conçus pour le secteur de l’orthodontie
-La seule imprimante 3D qui imprime aussi bien des modèles en plâtre que des guides chirurgicaux
-Un faible encombrement
-Facile à utiliser
-Silencieuse et propre. Convient pour un environnement « bureau »
-Intégration simple avec les outils de scan et de CAO


Comment fonctionne l’impression 3D Polyjet ?

L’impression 3D PolyJet est similaire à l’impression à jet d’encre. Mais au lieu d’injecter des gouttes d’encre sur le papier, les imprimantes PolyJet 3D injectent des couches de liquide photopolymère durcissable sur un plateau de fabrication.

Le processus est simple :

  1. Pré-traitement : Le logiciel de préparation de fabrication calcule automatiquement le placement des photopolymères et du matériau de support à partir d’un fichier CAO 3D.
  2. Production : L’imprimante 3D injecte et durcit instantanément aux UV de minuscules gouttelettes de photopolymère liquide. Les fines couches s’accumulent sur le plateau de fabrication afin de créer un modèle ou une pièce 3D précis(e). Lorsque des parties surélevées ou complexes nécessitent un support, l’imprimante 3D injecte un matériau de support amovible de type gel.
  3. Retrait du support : L’utilisateur peut retirer facilement les matériaux de support à la main ou avec de l’eau. Les modèles et les pièces sont prêts à l’utilisation dès leur sortie de l’imprimante 3D ; aucun séchage supplémentaire n’est nécessaire.

La technologie d’impression 3D PolyJet présente de nombreux avantages pour l’outillage et le prototypage rapides, ainsi que pour les pièces finales, notamment des détails incroyablement fins, des surfaces lisses, une vitesse et une précision optimales.

  • Créer des prototypes lisses et détaillés qui ressemblent au produit final.
  • Produire en petits volumes des outils de fabrication, des gabarits et des fixations.
  • Produire des formes complexes, des détails précis et des surfaces lisses.
  • Incorporer la couleur et diverses propriétés de matériaux en un seul modèle, avec la plus grande polyvalence de matériaux disponible.

Les matériau d’impression 3D Polyjet

La technologie PolyJet donne des armes aux cabinets et aux laboratoires dentaires, avec trois matériaux dentaires conçus spécialement pour fournir des couches d’une épaisseur incroyablement fine de 16 microns, qui détaillent parfaitement les plus petits éléments.

VeroDent (MED670), un matériau de couleur pêche naturelle qui présente des détails d’une grande qualité et offre une résistance et une durabilité incomparables
VeroDentPlus (MED690), un matériau beige foncé qui offre une finesse et une finition élevées, d’une grande résistance et d’une excellente précision et durabilité.
VeroGlaze (MED620), un matériau opaque avec nuance de couleur A2 pour offrir la meilleure nuance du secteur. Idéal pour les facettes d’essayage et les modèles de diagnostic en cire, VeroGlaze est médicalement approuvé pour un placement temporaire dans la bouche, jusqu’à 24 heures.
L’imprimante 3D Objet260 Dental Selection offre une gamme de palettes dentaires spécifiques pour obtenir des modèles réalistes des dents et des gencives.
De plus, le matériau bio-compatible (MED610) est un photopolymère PolyJet transparent médicalement approuvé pour un placement temporaire dans la bouche. Il fonctionne avec la plupart des imprimantes 3D basées sur la technologie PolyJet.

Source : http://www.stratasys.com

Fabrication de modèles dentaires en impression 3D pour pour la prothèse et l’orthodontie avec le matériau VeroDentPllus MED69

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Pour l’impression 3D de modèles dentaires et orthodontiques, Stratasys propose le matériaux VeroDentPlus MED690, ce qui étend la gamme de matériaux dentaires disponibles pour ses imprimantes3D.

« le secteur dentaire requiert les plus standards en matière de précision et d’apparence des modèles en plâtre »,

déclare Avi Cohen, Directeur de secteur dentaire chez Stratasys. « l’introduction sur le marché du matériau VeroDentPllus MED690 confirme notre engagement d’être à l’initiative de ces standards. »
Le matériau VeroDentPlus MED690 est idéal pour imprimer des modèles comme des couronnes, des bridges, des implants et des appareils orthodontiques. Les données de modélisation peuvent être obtenues à partir de tout scanner intraoral, d’empreinte ou de plâtre, puis imprimées en couches de 16 microns sur la gamme d’impression 3D Objet EdenV de Stratasys.
Comme vous pouvez le constater sur les images, grâce à sa capacité à fabriquer des modèles à la fois très précis et opaque et dont l’aspect est très proche des plâtres dentaires, le matériau VeroDentPlus MED690 permet une incroyable visualisation des détails des modèles dentaires imprimés en 3D.


ClearCorrect (située à Houston au Texas) fabrique des gouttières transparentes et sert plus de 11 000 orthodontistes. Dans cette vidéo, le PDG, Jarrett Pumphrey et son équipe discute de la manière dont leur business s’est développé en passant d’un processus manuel et basé sur une fabrication par fraisage à un processus complètement numérique et informatisé avec des imprimantes 3D. Les imprimantes 3D Objet de Stratasys peuvent rapidement produire des plateaux entiers de modèles numériques en pierre, chacun sur mesure. Ils serviront ensuite d’outil de moulage précis sur lesquels les gouttières transparentes seront thermoformées. Les dentistes reçoivent les gouttières sur le modèle numérique en pierre.

Voici comment quel est le workflow en Orthodontie numérique lorsque le cabinet dentaire aussi bien que le laboratoire est équipé.


Apport de l’impression 3D au laboratoire de prothèse dentaire – Laboratoires dentaires Albensi

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L’impression 3D est le cœur de la révolution numérique qui est en train de s’opérer dans le domaine dentaire. L’histoire est la même pour la plupart des laboratoires dentaires : le goulet d’étranglement causé par un workflow manuel traditionnel les a empêchés d’acquérir de nouveaux clients, de nouveaux marchés.
Avec une imprimante 3D en interne, la production de pièces dentaires sur mesure devient facile, très précises et extrêmement cohérente.
Pourquoi l’impression 3D plutôt que n’importe quel autre processus de fabrication ? L’impression 3D est désormais capable de fabriquer des modèles dentaires sur mesure et uniques de manière efficace.
Les laboratoires dentaires Albensi expliquent ici comment une imprimante 3D Objet a amélioré leur workflow par la numérisation de leur processus dentaire. Depuis, ils produisent des prothèses dentaires beaucoup plus précises, des modèles 3D d’une plus grande précision, leurs délais de livraison sont passés de 5-7 jours à 2-3 jours et leurs clients sont plus contents.

En 2012, L’imprimante Objet Eden260V s’était vu décerner la plus haute distinction (« Best of the Best ») par le magazine Dental Lab Products.
Objet a sorti son matériau bio-compatible MED610, un matériau transparent ada pté pour la fabrication de guides chirurgicaux lors de la pose d’implants dentaires.


La gestion des impayés en Orthodontie

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Les impayés sont malheureusement connus dans la quasi-totalité des corps de métiers et les cabinets d’orthodontie n’y échappent pas.
• Quelles sont les solutions pour éviter les impayés ?
• Comprendre les raisons de l’impayé.
• Comment effectuer la relance des impayés ?
C’est à ces trois grandes questions que nous tenterons de répondre. En règle générale, ce travail est géré par l’assistante qui se trouve au secrétariat.

Quelles sont les solutions pour les éviter ?

Tout d’abord, pour éviter toute confusion ou incompréhension des honoraires, il est important d’expliquer au responsable financier le coût total du traitement et de s’assurer que ces informations ont bien été assimilées.

Dès le premier rendez-vous, lors de la consultation, l’assistante expliquera le déroulement du traitement en prenant appui sur le devis. Elle détaillera alors toutes les étapes du traitement avec le montant des honoraires et le montant du remboursement de la sécurité sociale cor­respondant. Elle mettra particulièrement l’accent sur le tarif semestriel en indiquant le nombre de fois qu’il sera à régler en fonction de la durée du traitement.
Ensuite, l’assistante demandera systématiquement au responsable financier d’envoyer la copie du devis à sa mutuelle afin qu’il connaisse exactement le montant à sa charge pour toute la durée du traitement. Cette étape est primordiale et permettra d’anticiper d’éventuels soucis au moment du règlement.

Lire la suite sur http://www.information-dentaire.fr/011025-23193-La-gestion-desimpayes.html

WAKS-UP la 1ère plateforme d’échange entre chirurgiens-dentistes et prothésistes

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À l’heure où tout se fait en ligne et où tout le monde est connecté… il semble que les dentistes et prothésistes
fassent encore de la résistance !
Alors, pourquoi continuer à fonctionner avec des fiches papier pour transmettre une commande de prothèse et
être confronté régulièrement à des problèmes de lisibilité, de délai, d’archivage, de conformité qui font perdre
du temps à ces deux acteurs dans leur pratique quotidienne ?
Pour répondre à ces problématiques, WAKS UP, plateforme collaborative entièrement en ligne permet la
gestion numérique des commandes de prothèses dentaires : création, organisation et archivage en un
seul clic !

La volonté de WAKS UP :
-Numériser le circuit prothétique
-Centraliser les données (fiches de liaison, photos) sur une seule et même plateforme
-Garantir la traçabilité des prothèses auprès des praticiens et de leurs patients en conformité
avec la réglementation
-Permettre l’archivage numérique des données
-Accompagner la profession dentaire dans l’adoption des technologies numériques

UNE RELATION TRIANGULAIRE VALORISÉE : DENTISTE – PROTHÉSISTE – PATIENT

Pourquoi la traçabilité rassure les patients ?
Si cela peut être une habitude pour les consommateurs, de regarder d’où provient la viande qu’ils mangent, de
savoir si le jouet qu’ils achètent à leur enfant n’est pas “Made in China”, il en est de même pour les patients
concernant leur prothèse dentaire.
Le gouvernement souhaite plus de transparence et impose désormais aux dentistes de mentionner sur leur
devis le prix d’achat de la prothèse, le nom et l’adresse du fabricant. Cette mesure obligatoire reste difficile à faire
appliquer chez les praticiens libéraux.
WAKS UP permet l’intégration du patient au circuit prothétique, il peut ainsi savoir où sa prothèse est
fabriquée et être averti par mail et sur son « espace patient » de la date de livraison de sa prothèse. Une fois sa prothèse en bouche, il reçoit également son certificat de conformité garantissant la fabrication et la provenance
de sa prothèse.
1ÈRE PLATEFORME DE COMMUNICATION ENTRE CHIRURGIENS-DENTISTES ET PROTHÉSISTES
LE DUO GAGNANT : CHIRURGIEN – DENTISTE/PROTHÉSISTE

 

Il est aujourd’hui indispensable pour le chirurgien-dentiste de fournir au prothésiste un certain nombre
d’informations pour lui permettre de confectionner un travail prothétique parfait. La prise de photo en fait partie
et s’avère être un élément central : une simple photo prise avec un I phone peut bien souvent éviter une erreur
de prise de teinte qui obligerait le patient à se déplacer de nouveau. C’est également un gage de crédibilité
vis-à-vis du patient.
Les échanges téléphoniques entre les deux acteurs ne devraient se limiter qu’à l’aspect technique. Or, ces appels
récurrents entre le prothésiste et le cabinet dentaire concernent la plupart du temps les délais de livraison, ou
un éventuel manque d’information sur une fiche de travail.
WAKS UP offre désormais un outil permettant au chirurgien-dentiste de redevenir « maître de sa
communication », en luttant contre la désinformation et en se distinguant aux yeux de l’opinion publique des
qualificatifs qu’on peut lui attribuer tels que « revendeurs de prothèses » .
La confiance d’un patient dépend du professionnalisme et de la transparence du binôme dentiste/prothésiste.
UN SEUL ET MÊME OUTIL POUR GAGNER DU TEMPS

WAKS UP a souhaité se différencier des logiciels patients aux prix exorbitants en proposant un outil simple et
peu couteux pour simplifier le circuit prothétique :
-Un tableau de bord avec gestion des commandes de prothèses et des livraisons du jour
-La centralisation de tous les envois (fiches de liaison, photos) via une seule plateforme
-Des alertes par notifications pour tout changement de statut de la commande
-Un système entièrement en ligne et sécurisé, permettant un accès de n’importe quel endroit
-Un archivage numérique de toutes les fiches de liaison (délai légal de 30 ans)

Pour en savoir plus rendez-vous sur www.waks-up.com – Ouverture et lancement prévu le 2 novembre 2015
Contact : Maïka RUITORT – Responsable marketing – 06 22 04 81 08 – contact@waks-up.com..

WAKS-UP la 1ère plateforme d’échange entre chirurgiens-dentistes et prothésistes

38 % des Français renoncent aux soins dentaires faute d’argent

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Une nouvelle étude sur les prix pratiqués par les dentistes met en lumière un taux très élevé d’abandon des soins, surtout quand le reste à charge dépasse 1 000 €.

Si la phobie du dentiste en freine plus d’un, c’est bien la facture qui reste la plus dissuasive pour les Français : 38 % ont déjà renoncé à se faire soigner faute de moyens selon une étude menée sur 500 devis envoyés par des adhérents de la société Santéclair.
Un renoncement proportionnel au montant de la facture

Dans le détail, 200 devis sur 500 affichaient un reste à charge de plus de 1.000 euros, 197 un reste à charge de 250 à 1.000 euros et 103 un reste à charge de moins de 250 euros. Au total, seuls 203 assurés (40 %) ont effectué le traitement dans sa totalité.

« Dès que le reste à charge, c’est-à-dire la somme à payer au bout du compte par le patient, dépasse 1.000 euros, le renoncement grimpe à 60 %, démontrant un lien entre coût et abandon », explique Marianne Binst, directrice de Santéclair citée par Le Parisien. Si le reste à la charge du patient dépasse les 2.000 euros, seuls 20 % des patients décident de se faire soigner.

nterrogée, la Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD) se défend en renvoyant la balle dans le camp de l’Etat et des complémentaires santé. « Je ne suis pas surprise par ces résultats, réagit sa présidente, Catherine Mojaïski, car les bases de remboursement de la Sécurité sociale n’ont pas augmenté depuis vingt-sept ans. Les tarifs des soins conservateurs (traitement des caries, détartrages…) sont gelés, contrairement aux prothèses où nous pouvons faire des dépassements d’honoraires pour faire face aux charges. Je note que le reste à charge, 2,2 milliards en dentaire, n’a pas bougé depuis 1991 ». Marianne Binst dénonce, elle, une « profession figée sur ses pratiques qui laissent les patients sur le carreau. Les dentistes gagnent bien leur vie, pourquoi changer ? Pourtant, des marges existent. La spécialisation, les cabinets de groupe pour partager les charges, la délégation de tâches permettent de réduire la facture ». Les pratiques et les tarifs de la profession sont aussi regardés de près par la Cour des comptes qui vient d’ouvrir une enquête. Ses résultats devraient être connus avant la renégociation de la convention entre les dentistes et l’Assurance maladie l’an prochain.

Selon Catherine Mojaïski, présidente de la Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD), les dentistes ne doivent pas être pointés du doigt: « Je ne suis pas surprise par ces résultats car les bases de remboursement de la Sécurité sociale n’ont pas augmenté depuis vingt-sept ans, explique-t-elle au quotidien. Les tarifs des soins conservateurs (traitement des caries, détartrages…) sont gelés, contrairement aux prothèses où nous pouvons faire des dépassements d’honoraires pour faire face aux charges. Je note que le reste à charge, 2,2 milliards en dentaire, n’a pas bougé depuis 1991 ».

Sources :
http://www.20minutes.fr/societe/1717395-20151026-sante-38-francais-renoncent-soins-dentaires-faute-argent
http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/soins-dentaires-4-patients-sur-10-renoncent-a-cause-des-tarifs-24-10-2015-5215041.php…>> Lire l’article complet…

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38 % des Français renoncent aux soins dentaires faute d’argent

38 % des Français renoncent aux soins dentaires faute d’argent

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Une nouvelle étude sur les prix pratiqués par les dentistes met en lumière un taux très élevé d’abandon des soins, surtout quand le reste à charge dépasse 1 000 €.
Si la phobie du dentiste en freine plus d’un, c’est bien la facture qui reste la plus dissuasive pour les Français : 38 % ont déjà renoncé à se faire soigner faute de moyens selon une étude menée sur 500 devis envoyés par des adhérents de la société Santéclair.
Un renoncement proportionnel au montant de la facture
Dans le détail, 200 devis sur 500 affichaient un reste à charge de plus de 1.000 euros, 197 un reste à charge de 250 à 1.000 euros et 103 un reste à charge de moins de 250 euros. Au total, seuls 203 assurés (40 %) ont effectué le traitement dans sa totalité.
« Dès que le reste à charge, c’est-à-dire la somme à payer au bout du compte par le patient, dépasse 1.000 euros, le renoncement grimpe à 60 %, démontrant un lien entre coût et abandon », explique Marianne Binst, directrice de Santéclair citée par Le Parisien. Si le reste à la charge du patient dépasse les 2.000 euros, seuls 20 % des patients décident de se faire soigner.
nterrogée, la Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD) se défend en renvoyant la balle dans le camp de l’Etat et des complémentaires santé. « Je ne suis pas surprise par ces résultats, réagit sa présidente, Catherine Mojaïski, car les bases de remboursement de la Sécurité sociale n’ont pas augmenté depuis vingt-sept ans. Les tarifs des soins conservateurs (traitement des caries, détartrages…) sont gelés, contrairement aux prothèses où nous pouvons faire des dépassements d’honoraires pour faire face aux charges. Je note que le reste à charge, 2,2 milliards en dentaire, n’a pas bougé depuis 1991 ». Marianne Binst dénonce, elle, une « profession figée sur ses pratiques qui laissent les patients sur le carreau. Les dentistes gagnent bien leur vie, pourquoi changer ? Pourtant, des marges existent. La spécialisation, les cabinets de groupe pour partager les charges, la délégation de tâches permettent de réduire la facture ». Les pratiques et les tarifs de la profession sont aussi regardés de près par la Cour des comptes qui vient d’ouvrir une enquête. Ses résultats devraient être connus avant la renégociation de la convention entre les dentistes et l’Assurance maladie l’an prochain.
Selon Catherine Mojaïski, présidente de la Confédération nationale des syndicats dentaires (CNSD), les dentistes ne doivent pas être pointés du doigt: « Je ne suis pas surprise par ces résultats car les bases de remboursement de la Sécurité sociale n’ont pas augmenté depuis vingt-sept ans, explique-t-elle au quotidien. Les tarifs des soins conservateurs (traitement des caries, détartrages…) sont gelés, contrairement aux prothèses où nous pouvons faire des dépassements d’honoraires pour faire face aux charges. Je note que le reste à charge, 2,2 milliards en dentaire, n’a pas bougé depuis 1991 ».
Sources :
http://www.20minutes.fr/societe/1717395-20151026-sante-38-francais-renoncent-soins-dentaires-faute-argent
http://www.leparisien.fr/laparisienne/sante/soins-dentaires-4-patients-sur-10-renoncent-a-cause-des-tarifs-24-10-2015-5215041.php…>> Lire l’article complet…

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38 % des Français renoncent aux soins dentaires faute d’argent

Amende de 90 € par tube de dentifrice périmé stocké au cabinet dentaire

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Une amende de 90 € par tube de dentifrice périmé maintenu en stock au cabinet dentaire ! C’est la mauvaise blague à laquelle ont été confrontés des confrères à l’issue de contrôles inopinés de certaines Directions départementales de la protection des personnes (DDPP, plus connues sous leur ancienne appellation, la DGCCRF, c’est-à-dire la « répression des fraudes »). Certes, nul n’est censé ignorer la loi ni la réglementation. En l’espèce, les praticiens ne peuvent conserver dans leur stock des produits ayant dépassé, même de peu, leur date de péremption. Mais on est tout de même en droit de se poser la question du niveau d’irresponsabilité (ou d’infantilisme) dans lequel veulent nous confiner nos élites politiques et administratives. Qu’il soit rigoureusement interdit de recourir à des produits périmés dans le cadre de notre exercice, rien n’est plus évident. Nous exerçons une profession médicale et, à ce titre, la sécurité des soins – primum non nocere- figure parmi nos devoirs élémentaires de thérapeutes. Mais il faut croire que, pour nos élites, notre seule responsabilité de médecin ne suffise pas puisque c’est le stockage de produits périmés qui est interdit. Nous ne pouvons donc qu’inviter les confrères à vérifier régulièrement leurs matériels à usage unique, leurs médicaments, antiseptiques, produits désinfectants, etc.

Source : Journal de La SOP Novembre 2015…>> Lire l’article complet…

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Amende de 90 € par tube de dentifrice périmé stocké au cabinet dentaire

Une résine anti-caries pour l’impression 3D

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Des chercheurs de l’Université de Groningen aux Pays-Bas, ont développé un plastique antimicrobien imprimable en 3D. Selon les tests menés en laboratoire, lorsque le plastique est recouvert de salive, plus de 99 % des bactéries responsables de la carie (mutans Streptococcus) sont éliminées. Le matériau se compose de sels d’ammonium quaternaire antimicrobiens. Chargés positivement, ces sels viennent perturber les bactéries chargées négativement qui éclatent et meurent à leur contact. Pour autant ce matériau est complètement inoffensif pour les cellules humaines. Un échantillon témoin dépourvu de sels chargés positivement, a éliminé moins de 1% des bactéries incriminées. Se présentant sous la forme d’une résine, ce matériau s’imprime par stéréolithographie, un procédé d’impression 3D qui consiste à durcir une résine avec un rayon UV. Les chercheurs ont pu imprimer diverses prothèses dentaires et appareils orthodontiques qui ont été utilisés pour les tests mentionnés ci-dessus. Les résultats étant très prometteurs, les chercheurs de l’Université de Groningen pensent déjà à étendre leurs recherches à d’autres applications comme le dentifrice et d’autres produits d’hygiène dentaire. Selon le Docteur Andreas Hermann, l’un des chercheurs de l’équipe, d’autres tests seront prochainement menés afin d’évaluer la résistance du matériau et son efficacité sur différentes durées d’exposition. Soumis aux bactéries pendant une période de 6 jours lors des tests, le matériau devra confirmer ses résultats sur des périodes plus courtes et plus longues.

source : Une résine anti-caries pour l’impression 3D

Une résine anti-caries pour l’impression 3D

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Des chercheurs de l’Université de Groningen aux Pays-Bas, ont développé un plastique antimicrobien imprimable en 3D. Selon les tests menés en laboratoire, lorsque le plastique est recouvert de salive, plus de 99 % des bactéries responsables de la carie (mutans Streptococcus) sont éliminées. Le matériau se compose de sels d’ammonium quaternaire antimicrobiens. Chargés positivement, ces sels viennent perturber les bactéries chargées négativement qui éclatent et meurent à leur contact. Pour autant ce matériau est complètement inoffensif pour les cellules humaines. Un échantillon témoin dépourvu de sels chargés positivement, a éliminé moins de 1% des bactéries incriminées.

Se présentant sous la forme d’une résine, ce matériau s’imprime par stéréolithographie, un procédé d’impression 3D qui consiste à durcir une résine avec un rayon UV. Les chercheurs ont pu imprimer diverses prothèses dentaires et appareils orthodontiques qui ont été utilisés pour les tests mentionnés ci-dessus. Les résultats étant très prometteurs, les chercheurs de l’Université de Groningen pensent déjà à étendre leurs recherches à d’autres applications comme le dentifrice et d’autres produits d’hygiène dentaire.

Selon le Docteur Andreas Hermann, l’un des chercheurs de l’équipe, d’autres tests seront prochainement menés afin d’évaluer la résistance du matériau et son efficacité sur différentes durées d’exposition. Soumis aux bactéries pendant une période de 6 jours lors des tests, le matériau devra confirmer ses résultats sur des périodes plus courtes et plus longues.

source : http://www.priximprimante3d.com/antimicrobien/

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